Fructifiant grâce à ses marchés et à ses artisans de renom, la ville d'Isokan est l'antre de la débauche, de la luxure et du vice. Ses quartiers chauds sont réputés, et leurs murs peu épais, mais à côté de ça, ses marchands s'enrichissent aux trois coins de l'Ouest, et participent au développement de la ville, dont la taille dépasse largement les deux autres.
Isokan est avant tout un plateau constitué de plaines utilisées pour l'agriculture. Plaque tournante du commerce, elle contribue au développement d'Ijọba en nourrissant presque la totalité de cette dernière. Isokan est la mère nourricière de l'île, et ses habitants vouent un culte tout particulier à Ogbin, dieu de l'agriculture et de la fertilité.