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Creature - half·alive ♫
Sous la Terre
Quand il le vit sortir, une part de lui non rationnel lui hurla qu'il devait faire attention, qu'il allait mourir, qu'il ne reviendrait plus, que lui-même allait crever comme un rat crevé ici, qu'il ne retrouverait plus jamais cette chaleur. Heureusement, son cerveau était plus présent que son instinct paranoïaque. Il eut une petite pensée pour les traitements contre cette pathologie qu'avait eu une bonne partie de sa famille... ça datait d'au moins 5 générations en arrière cette merde d'ailleurs. Le pire devait être son arrière arrière grand-père, un homme austère est craint. Il aurait aimé le connaître, peut-être aurait-il était un meilleur homme s'il l'avait connu... peut-être quelqu'un de pire. Il ne le sait pas vraiment lui-même et son esprit est en train de partir dans une réflexion loin de la réalité pour éviter de songer qu'il va peut-être le perdre. Dans ce genre de moment, il a tellement besoin d'une clope.
Le regard rassura l'homme stressé. Il se redressa donc avec pas mal de soucis technique. Sa jambe était engourdie, sa main agrippa la pierre comme elle le pouvait. Il fut débout en une longue minute mais ça avait au moins réveillé ses membres bien trop tendus pour rester comme il venait de le faire là depuis tout ce temps. Il se hissa aux côtés de l'ijobien calmement et essaya de voir devant lui. C'était de plus en plus possible mais pas assez pour que la jument chérie soit visible.
Genzo attrapa donc la main de Thadas et commença à avancer avec motivation devant lui. Son esprit avait repris le dessus sur son corps. Cette jument était un amour et il avait développé en une journée un vrai attachement pour elle. Plus que leur provision qui – clairement – pouvait se retrouver dans la nature, elle, elle était irremplaçable. Décidément, il était vraiment trop sentimental avec les bêtes. Encore une fois, il songea à ce fameux arrière arrière grand-père dont la seule vraie attache claire avait été son amour pour les pouliches.
Il ne dit pas un mot à son acolyte ; en même temps, il se doutait qu'il avait ensemble le même avis sur la question. Encore plus pour le natif en fait... C'était sa préféré, sa jument... Il lui avait dit. Merde, il avait encore plus en vie qu'elle soit en vie. Ses pas accélèrent sans qu'il ne s'en rende compte. Il était quasiment en train de courir.
Parfois, il avait comme l'intuition que cette fameuse mission allait changer sa façon de voir le monde, voir même sa vie. Il ne serait plus jamais la même personne – pas après avoir frôlé la mort et s'être à ce point attacher à ces deux êtres. Une part de lui savait déjà qu'il allait avoir besoin de temps pour évacuer, pour accepter, pour se construire après tout ce qui éclatait en lui. Il se sentait frêle depuis quelques temps, moralement plus que physiquement. Les gens autours de lui commençaient à vraiment devenir important, et il commençait à l'accepter. La dernière partie était nouvelle.
Quelques pas encore et il remarqua la jument. Elle s'était mise contre l'arbre, et les attendait même si totalement stressée. Kokurepu ne s'était ni faite attaquée ni enfuie. Quelle bonne bête chanceuse. Un grand sourire grimpa sur les lèvres de Genzo. Un peu comme un enfant, il lâcha la main de Thadas pour aller la câliner, la papouiller, vérifier que tout ait bien. Il se précipita pour lui donner de l'eau. P'tain, il réagissait vraiment en automatisme là. Il devait dormir... Tout les trois. Le pire... c'est que la nuit commençait déjà à se rapprocher de la fin. Il voyait au loin les quelques filets de lumières qui vont avec son lever.
« ...Bon... Que fait-on ? »
Le regard rassura l'homme stressé. Il se redressa donc avec pas mal de soucis technique. Sa jambe était engourdie, sa main agrippa la pierre comme elle le pouvait. Il fut débout en une longue minute mais ça avait au moins réveillé ses membres bien trop tendus pour rester comme il venait de le faire là depuis tout ce temps. Il se hissa aux côtés de l'ijobien calmement et essaya de voir devant lui. C'était de plus en plus possible mais pas assez pour que la jument chérie soit visible.
Genzo attrapa donc la main de Thadas et commença à avancer avec motivation devant lui. Son esprit avait repris le dessus sur son corps. Cette jument était un amour et il avait développé en une journée un vrai attachement pour elle. Plus que leur provision qui – clairement – pouvait se retrouver dans la nature, elle, elle était irremplaçable. Décidément, il était vraiment trop sentimental avec les bêtes. Encore une fois, il songea à ce fameux arrière arrière grand-père dont la seule vraie attache claire avait été son amour pour les pouliches.
Il ne dit pas un mot à son acolyte ; en même temps, il se doutait qu'il avait ensemble le même avis sur la question. Encore plus pour le natif en fait... C'était sa préféré, sa jument... Il lui avait dit. Merde, il avait encore plus en vie qu'elle soit en vie. Ses pas accélèrent sans qu'il ne s'en rende compte. Il était quasiment en train de courir.
Parfois, il avait comme l'intuition que cette fameuse mission allait changer sa façon de voir le monde, voir même sa vie. Il ne serait plus jamais la même personne – pas après avoir frôlé la mort et s'être à ce point attacher à ces deux êtres. Une part de lui savait déjà qu'il allait avoir besoin de temps pour évacuer, pour accepter, pour se construire après tout ce qui éclatait en lui. Il se sentait frêle depuis quelques temps, moralement plus que physiquement. Les gens autours de lui commençaient à vraiment devenir important, et il commençait à l'accepter. La dernière partie était nouvelle.
Quelques pas encore et il remarqua la jument. Elle s'était mise contre l'arbre, et les attendait même si totalement stressée. Kokurepu ne s'était ni faite attaquée ni enfuie. Quelle bonne bête chanceuse. Un grand sourire grimpa sur les lèvres de Genzo. Un peu comme un enfant, il lâcha la main de Thadas pour aller la câliner, la papouiller, vérifier que tout ait bien. Il se précipita pour lui donner de l'eau. P'tain, il réagissait vraiment en automatisme là. Il devait dormir... Tout les trois. Le pire... c'est que la nuit commençait déjà à se rapprocher de la fin. Il voyait au loin les quelques filets de lumières qui vont avec son lever.
« ...Bon... Que fait-on ? »