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The Other Side - Bastian Cortés ♪
Les hommes aussi, mais quel peuple fabuleux. Son sourire ne pouvait pas être plus grand à cet instant. Il sauta et fit un petit POUF entre ses pattes : décidément, il étaient en forme aujourd'hui. Il suffit de le réveiller cette tempête rouge. Malheureusement pour le mexicain, là il était plus chaud que la braise, motivé comme avant un spectacle ou un grand coup. Son sourire à la fois séducteur et paternel avait de quoi à amener n'importe quelle âme dans les catacombes de la lubricité. Seulement, là il ne le faisait pas pour amener l'homme dans son lit, mais bien pour lui enseigner son art ! Il était doué pour bouger son fessier autours d'une barre que voulez-vous ? On peut avoir la crampe d'un Heisenberg et aimer les plaisirs tout simples de la vie.
Il ne s'était au final pas présenté tant que ça en public. Il avait énormément fait de privé, chanter en public avec ses frères, ses acolytes ou même des étrangers d'un soir, mais ainsi... en performance pour de l'argent, c'était le niveau au dessus. Peut-être qu'il fallait commencer dans les trottoirs avant de monter les rangs ? Finira-t-il par être vraiment connu comme une star quelque part un jour ? Bonne question. Ça le ferait bien rire si ça arrivait sur une île en dehors du temps et de leur monde d'origine !
Il prit la main du mexicain dans la sienne et l'amena face à un bambou.
« Je te rassure, si tu es vraiment aussi mauvais que tu le prétends, je ne t'obligerai pas à danser devant les natifs. » Il leva sa main libre vers le ciel : « Mais mon ami, il n'y a que nous et cette magnifique bouteille d'un alcool assez mauvais pour créer un problème à nos deux foies à la fois ! »
Son œil se ferma alors qu'il laissa partir un léger rire grave. Non, mais il s'éclatait comme un petit fou là, c'était la première fois depuis quoi, des semaines – ? – qu'il avait l'impression de faire une vraie petite fête ? Il posa la main de son compagnon de beuverie sur le bambou et fit de même en ramenant sa propre main contre le sien.
« On va commencer doucement. Déjà, bois. » Il lui plaqua la bouteille dans sa mimine libre : « Ça aide toujours dans ce genre de situation, crois-en mes employés. » Et le nombre qui avait fini alcoolique suite aux soirées endiablées du clan. Il attendit de le voir boire la quasi-fin de la bouteille. « Yes, now, imagine que c'est à la femme de ta vie à qui tu vas faire plaisir. »
Bien-sûr, il n'arrêta pas son conte là.
« Imagine qu'elle te retrouve enfin, que cette fois elle a accepte de tout te pardonner, de tout te donner, mais à une seule condition... Tu dois la séduire de nouveau. Tu dois lui montrer qu'elle peut encore être stimulée ; émue par toi, excitée, qu'elle retrouve encore qui elle veut en toi... Pour ça ? Tout simple, fais comme moi Esteban. » Son sourire se fit fendu, quel beau diable.
Ses pas félins, presque ceux d'un vrai fauve firent le tour de la barre en exemple. Son œil se ferma à moitié et il caressa l'arbre avec langueur. Sa bouche s'ouvrit à peine, montrant sa langue mordue pour ne pas la laisser sortir. Son épaule se colla au végétaux en s'abaissant, laissant son bras en faire le tour, là où sa main se colla sur sa hanche. Alors que son corps s'abaissait, sa main contre son corps remontait. Il finit avec un bras autours du végétaux, les jambes à califourchon écartés autours du bambou et sa main remontée jusqu'au visage en étant passé par son torse.
Ses mots recommencèrent :
« Là, tu sais déjà qu'elle t'a suivi, elle a été étonné, elle trouvait en toi un charmeur, magnifique, comme elle ne pouvait plus espérer de le voir. Tu as débloqué qui elle voyait en toi, qui les gens, elle le sait, voit en toi. Car là, à ce moment, tu es bien plus beau que tu le crois. »
Son visage se pencha vers son acolyte :
« Montre moi ? »
Il ne s'était au final pas présenté tant que ça en public. Il avait énormément fait de privé, chanter en public avec ses frères, ses acolytes ou même des étrangers d'un soir, mais ainsi... en performance pour de l'argent, c'était le niveau au dessus. Peut-être qu'il fallait commencer dans les trottoirs avant de monter les rangs ? Finira-t-il par être vraiment connu comme une star quelque part un jour ? Bonne question. Ça le ferait bien rire si ça arrivait sur une île en dehors du temps et de leur monde d'origine !
Il prit la main du mexicain dans la sienne et l'amena face à un bambou.
« Je te rassure, si tu es vraiment aussi mauvais que tu le prétends, je ne t'obligerai pas à danser devant les natifs. » Il leva sa main libre vers le ciel : « Mais mon ami, il n'y a que nous et cette magnifique bouteille d'un alcool assez mauvais pour créer un problème à nos deux foies à la fois ! »
Son œil se ferma alors qu'il laissa partir un léger rire grave. Non, mais il s'éclatait comme un petit fou là, c'était la première fois depuis quoi, des semaines – ? – qu'il avait l'impression de faire une vraie petite fête ? Il posa la main de son compagnon de beuverie sur le bambou et fit de même en ramenant sa propre main contre le sien.
« On va commencer doucement. Déjà, bois. » Il lui plaqua la bouteille dans sa mimine libre : « Ça aide toujours dans ce genre de situation, crois-en mes employés. » Et le nombre qui avait fini alcoolique suite aux soirées endiablées du clan. Il attendit de le voir boire la quasi-fin de la bouteille. « Yes, now, imagine que c'est à la femme de ta vie à qui tu vas faire plaisir. »
Bien-sûr, il n'arrêta pas son conte là.
« Imagine qu'elle te retrouve enfin, que cette fois elle a accepte de tout te pardonner, de tout te donner, mais à une seule condition... Tu dois la séduire de nouveau. Tu dois lui montrer qu'elle peut encore être stimulée ; émue par toi, excitée, qu'elle retrouve encore qui elle veut en toi... Pour ça ? Tout simple, fais comme moi Esteban. » Son sourire se fit fendu, quel beau diable.
Ses pas félins, presque ceux d'un vrai fauve firent le tour de la barre en exemple. Son œil se ferma à moitié et il caressa l'arbre avec langueur. Sa bouche s'ouvrit à peine, montrant sa langue mordue pour ne pas la laisser sortir. Son épaule se colla au végétaux en s'abaissant, laissant son bras en faire le tour, là où sa main se colla sur sa hanche. Alors que son corps s'abaissait, sa main contre son corps remontait. Il finit avec un bras autours du végétaux, les jambes à califourchon écartés autours du bambou et sa main remontée jusqu'au visage en étant passé par son torse.
Ses mots recommencèrent :
« Là, tu sais déjà qu'elle t'a suivi, elle a été étonné, elle trouvait en toi un charmeur, magnifique, comme elle ne pouvait plus espérer de le voir. Tu as débloqué qui elle voyait en toi, qui les gens, elle le sait, voit en toi. Car là, à ce moment, tu es bien plus beau que tu le crois. »
Son visage se pencha vers son acolyte :
« Montre moi ? »