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Thadas le prêtre beauf et Tùpka l'anarcho volcanique
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Je n'étais pas le seul à être gaga, visiblement. Ces anecdotes avaient un côté touchant. Les souvenirs restaient quelque chose de précieux même par-delà la mort. Les partager était toujours une expérience enrichissante. J'appréciais le fait qu'elle puisse se passer avec ce spectre. Être un simple spectateur était parfois lourd, alors seul... C'était toujours bon de savoir qu'on n'était pas le seul à habiter le monde énergétique sans avoir d'enveloppe physique. Avoir des camarades, en somme - pas dans le sens communiste du terme, urf.
Ils semblaient tous deux être très attachés à la jeunesse. Cela faisait du bien, des gens bienveillants. J'imagine que beaucoup de personnes tiennent à eux, par-delà les océans.
Je haussai un "sourcil" vaguement amusé ou ironique.
"Les a-t-on réellement, en un sens ?"
Je ne sais pas pour lui, mais ma Ju n'est pas forcément le genre à se laisser facilement apprivoiser en profondeur. Je levai légèrement les "épaules".
"Tu as des regrets vis-à-vis d'elle, à part de ne pas avoir pu fonder un foyer avec elle ?"
Un peu cash, mais on était dans le type de conversation qui permettait d'aller un peu plus en introspection sur nous-mêmes. S'il ne voulait pas en parler, il n'aurait qu'à changer de sujet. L'avantage d'être morts, c'est que l'utilité illusoire des jugements se fait complètement éventer. On est libérés de ces carcans plus lourds et toxiques qu'autre chose. Cela ne veut pas dire que l'on est obligés de s'ouvrir sur tout, ceci dit. J'ai parfois croisé des spectres qui continuaient de garder leurs secrets même après la mort.
Le duo de vivantes arriva au début d'une artère marchande, non loin du palais. Ju semblait contente de tenir la main de la policière. Depuis qu'elle avait fait la paix avec elle-même, elle aimait plus que tout apaiser les autres quand ils le lui permettaient. La connaissant, elle était dans une humeur à laisser ses pas les porter où bon le vent le voudrait. Elles pouvaient atterrir devant une échoppe vendant de la nourriture comme devant des magasins d'artisanat ou un temple. En réalité, elle laissait aussi le choix à Rakel, selon ses envies profondes. C'était sa journée, après tout... La journée où elle pouvait se laisser librement à ses désirs. Une respiration, en somme.
Ils semblaient tous deux être très attachés à la jeunesse. Cela faisait du bien, des gens bienveillants. J'imagine que beaucoup de personnes tiennent à eux, par-delà les océans.
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"Les a-t-on réellement, en un sens ?"
Je ne sais pas pour lui, mais ma Ju n'est pas forcément le genre à se laisser facilement apprivoiser en profondeur. Je levai légèrement les "épaules".
"Tu as des regrets vis-à-vis d'elle, à part de ne pas avoir pu fonder un foyer avec elle ?"
Un peu cash, mais on était dans le type de conversation qui permettait d'aller un peu plus en introspection sur nous-mêmes. S'il ne voulait pas en parler, il n'aurait qu'à changer de sujet. L'avantage d'être morts, c'est que l'utilité illusoire des jugements se fait complètement éventer. On est libérés de ces carcans plus lourds et toxiques qu'autre chose. Cela ne veut pas dire que l'on est obligés de s'ouvrir sur tout, ceci dit. J'ai parfois croisé des spectres qui continuaient de garder leurs secrets même après la mort.
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après-midi
Jardins du palais