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How Do I live - Michael Guy Bowman ♫
Ce grognement bestial amena un long sentiment d'appréciation dans ses veines. Bien loin de la folie furieuse dont il faisait preuve, il savait que la fatigue remplaçait sa façon d'être. En fait, il était assurément bien plus enclin à des caresses qu'à une brutale association de corps. Pourtant chaque phase de l'animal contre lui, son corps se serra au sien... Il en avait l'eau à la bouche. Son regard avait prit une autre couleur. La voix narratrice commença à s'étendre et lui se laissa à suivre d'une ondulation la main sur ses hanches. Pas une seconde son corps évita le contact avec celui Thadas, bien que plus calme, le rythme de son corps continuait à transparaître. Son corps se courba légèrement à sa langue sur son cou. Son souffle dérailla légèrement, un bref instant qui signifiait tellement venant d'une personne aussi contrôlé que lui. Le souffle à son oreille aurait pu être celui d'un kitsune. Un kitsune qui raconte l'histoire d'oiseau... est-ce un message de prédateur ?
Genzo ramena ses deux mains sur le cou de son narrateur. Avec lenteur, presque seulement avec les doigts, de frôlement aussi lent que la voix caverneuse, il fit son contours, dessina ses traits. Un léger sourire félin harmonisait toujours ses lèvres. Ses yeux se firent à demi-clos, retenant chacune des paroles. Il aimait les légendes, il aimait les mythes et les contes. Son pays de naissance en avait tellement, sa famille lui en avait raconté d'autres et à travers le temps, il avait fini par en être de plus en plus passionné. Écouter les histoires des autres, c'était les écouter eux, écouter les contes, c'était écouter la base de leur vision du monde. Lui qui avait grandi dans un monde de yokai, ne pouvait que savoir ça, au plus profond de lui-même, il avait toujours cette croyance encrée en lui... Les légendes ne traversent pas le temps pour rien.
Celle qu'on lui racontait non plus. Un chanteur, et un danseur... La caresse sur ses lèvres le fit rouvrir son œil qu'il ne s'était pas aperçu fermer. Il vivait vraiment ce moment comme s'il était transporter à travers les sensations. Le toucher et l'ouïe étaient déjà malmené par le prêtre, mais la vue lui ramena un point en plus. Il suffisait qu'il se perde à le sentir, et ce sera sans retour en arrière.
La voix de Thadas reprit, Genzo se laissa prendre au piège. Il ne retient que le sourire légèrement triste, tout en gardant son côté sauvage. Sans le vouloir, l'innocence de l'enfant dans le yakuza ressortit. Il eut presque peur de cette tristesse, s'inquiétant déjà plus qu'il ne le devrait pour les personnages. Son visage se rapprocha avec lenteur de celui du prêtre :
« ...Qu'est-ce qu'il s'est passé ensuite ? »
Sa voix avait été un mélange de gémissement, d'un grognement et d'un chant à moitié voulu. Son souffle chaud s'amena jusqu'aux lèvres de son interlocuteur. Il inscrit avec douceur une de ses mains sur sa joue, l'autre entourant de nouveau son cou pour attraper une de ses mèches de cheveux en fond. Son sourire se fit à la fois curieux, à la fois serein... Il vivait trois histoires à la fois : celle de son corps en perdition pour un autre, celle de son esprit qui avait enfin trouvé quelqu'un qui lui plaisait, et celle de son cœur qui allait lâcher si le suspense continuait.
Qu'il ne tombe pas d'une falaise, s'il vous plait.
Genzo ramena ses deux mains sur le cou de son narrateur. Avec lenteur, presque seulement avec les doigts, de frôlement aussi lent que la voix caverneuse, il fit son contours, dessina ses traits. Un léger sourire félin harmonisait toujours ses lèvres. Ses yeux se firent à demi-clos, retenant chacune des paroles. Il aimait les légendes, il aimait les mythes et les contes. Son pays de naissance en avait tellement, sa famille lui en avait raconté d'autres et à travers le temps, il avait fini par en être de plus en plus passionné. Écouter les histoires des autres, c'était les écouter eux, écouter les contes, c'était écouter la base de leur vision du monde. Lui qui avait grandi dans un monde de yokai, ne pouvait que savoir ça, au plus profond de lui-même, il avait toujours cette croyance encrée en lui... Les légendes ne traversent pas le temps pour rien.
Celle qu'on lui racontait non plus. Un chanteur, et un danseur... La caresse sur ses lèvres le fit rouvrir son œil qu'il ne s'était pas aperçu fermer. Il vivait vraiment ce moment comme s'il était transporter à travers les sensations. Le toucher et l'ouïe étaient déjà malmené par le prêtre, mais la vue lui ramena un point en plus. Il suffisait qu'il se perde à le sentir, et ce sera sans retour en arrière.
La voix de Thadas reprit, Genzo se laissa prendre au piège. Il ne retient que le sourire légèrement triste, tout en gardant son côté sauvage. Sans le vouloir, l'innocence de l'enfant dans le yakuza ressortit. Il eut presque peur de cette tristesse, s'inquiétant déjà plus qu'il ne le devrait pour les personnages. Son visage se rapprocha avec lenteur de celui du prêtre :
« ...Qu'est-ce qu'il s'est passé ensuite ? »
Sa voix avait été un mélange de gémissement, d'un grognement et d'un chant à moitié voulu. Son souffle chaud s'amena jusqu'aux lèvres de son interlocuteur. Il inscrit avec douceur une de ses mains sur sa joue, l'autre entourant de nouveau son cou pour attraper une de ses mèches de cheveux en fond. Son sourire se fit à la fois curieux, à la fois serein... Il vivait trois histoires à la fois : celle de son corps en perdition pour un autre, celle de son esprit qui avait enfin trouvé quelqu'un qui lui plaisait, et celle de son cœur qui allait lâcher si le suspense continuait.
Qu'il ne tombe pas d'une falaise, s'il vous plait.