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"Un p’tit coup de main // Mission"
Ft. @Ode Egan
Ayant saisi momentanément le sérieux de la situation, lorsqu’Ode fait état d’une distraction, je levais la main, tel l’élève studieux que je n’avais jamais été. Mais mieux valait tard que jamais. En tout cas, c’est ce que me dirait mon père.
L’air confiant cette fois-ci, bien que stressé – avoir à faire avec un natif n’était jamais un long fleuve tranquille – je rassurai Ode de mes savantes paroles :
- Ne t’inquiète pas, mec. J’ai toujours été doué dans ma vie pour être le centre de l’attention. Là où j’habite, j’ai une bonne à tout faire, Maria, je sais pas si je t’en ai déjà parlé, mais elle pourrait m’écouter pendant des heures sans broncher ! Puis j’ai déjà eu à faire avec un jardinier là où j’habite aussi. Tu sais, souvent leur salaire est misérable.
Sans prendre la peine de savoir si mon interlocuteur suivait ce que je disais où s’il s’en moquait éperdument, je continuais :
- Une fois, mon jardinier est tombé sur un petit coffre que Chris – c’est mon meilleur pote – et moi avions enterré dans le jardin. Il était rempli d’alcool et on avait à peine l’âge d’en boire. Enfin moi j’avais l’âge. Et pour pas qu’on se fasse dilapider par les parents, je lui ai donné mon argent de poche de la semaine, soit environs 5000 dollars. C’était plus que son salaire, alors il l’a bouclé ! Tu vois le genre ? Je vais le soudoyer avec mes charmes naturels de beau-gosse en gros.
Avec un sourire qui aurait fait fuir le premier clochard rencontré dans New York, je gonflais le torse :
- Puis je ne sais pas à quoi ressemble cette épice moi. Alors je le distrais, et tu y vas.
D’un air confiant – a l’extérieur- et beau – à l’extérieur comme à l’intérieur, mon dieu que je suis beau – je m’avançais d’un pas décidé vers ce fameux Roda. D’ailleurs, son prénom me faisait penser à un artiste. M’enfin, l’art et moi … Agitant les bras et laissant derrière moi Ode, je m’exclamais :
- Oyez ! Oyez ! Jardinier !
Dans une révérence, je me présentais :
- Je m’appelle Aiden. Aiden Dean Sanders. Je viens d’une contrée lointaine que l’on appelle Long Beach, en Californie, aux States comme on dit ! Bref, je suis en quelque sorte l’ambassadeur d’un pays étranger au votre, mais je viens en paix. Sachez que l’on m’appelle Aiden le beau, car j’utilise des plantes pour enjoliver le vidage et le corps – en même temps que l’esprit – de mes clients.
Jetant un coup d’œil sur le jardin, je commençais à tourner autour de Roda, ou Rondin je sais plus, afin de captiver son regard. Vu la tête qu’il faisait, il devait être jaloux de ma beauté.
- Vous avez un bien beau jardin, et je vois des plantes que je n’avais jamais vu auparavant, surtout celles à l’entrée du palais. M’y conduiriez-vous afin de me les présenter ?
Croisant les doigts pour que ça fonctionne, je déglutissais bruyamment. Fallait que ça fonctionne, sans quoi, Ode allait devoir improviser.
L’air confiant cette fois-ci, bien que stressé – avoir à faire avec un natif n’était jamais un long fleuve tranquille – je rassurai Ode de mes savantes paroles :
- Ne t’inquiète pas, mec. J’ai toujours été doué dans ma vie pour être le centre de l’attention. Là où j’habite, j’ai une bonne à tout faire, Maria, je sais pas si je t’en ai déjà parlé, mais elle pourrait m’écouter pendant des heures sans broncher ! Puis j’ai déjà eu à faire avec un jardinier là où j’habite aussi. Tu sais, souvent leur salaire est misérable.
Sans prendre la peine de savoir si mon interlocuteur suivait ce que je disais où s’il s’en moquait éperdument, je continuais :
- Une fois, mon jardinier est tombé sur un petit coffre que Chris – c’est mon meilleur pote – et moi avions enterré dans le jardin. Il était rempli d’alcool et on avait à peine l’âge d’en boire. Enfin moi j’avais l’âge. Et pour pas qu’on se fasse dilapider par les parents, je lui ai donné mon argent de poche de la semaine, soit environs 5000 dollars. C’était plus que son salaire, alors il l’a bouclé ! Tu vois le genre ? Je vais le soudoyer avec mes charmes naturels de beau-gosse en gros.
Avec un sourire qui aurait fait fuir le premier clochard rencontré dans New York, je gonflais le torse :
- Puis je ne sais pas à quoi ressemble cette épice moi. Alors je le distrais, et tu y vas.
D’un air confiant – a l’extérieur- et beau – à l’extérieur comme à l’intérieur, mon dieu que je suis beau – je m’avançais d’un pas décidé vers ce fameux Roda. D’ailleurs, son prénom me faisait penser à un artiste. M’enfin, l’art et moi … Agitant les bras et laissant derrière moi Ode, je m’exclamais :
- Oyez ! Oyez ! Jardinier !
Dans une révérence, je me présentais :
- Je m’appelle Aiden. Aiden Dean Sanders. Je viens d’une contrée lointaine que l’on appelle Long Beach, en Californie, aux States comme on dit ! Bref, je suis en quelque sorte l’ambassadeur d’un pays étranger au votre, mais je viens en paix. Sachez que l’on m’appelle Aiden le beau, car j’utilise des plantes pour enjoliver le vidage et le corps – en même temps que l’esprit – de mes clients.
Jetant un coup d’œil sur le jardin, je commençais à tourner autour de Roda, ou Rondin je sais plus, afin de captiver son regard. Vu la tête qu’il faisait, il devait être jaloux de ma beauté.
- Vous avez un bien beau jardin, et je vois des plantes que je n’avais jamais vu auparavant, surtout celles à l’entrée du palais. M’y conduiriez-vous afin de me les présenter ?
Croisant les doigts pour que ça fonctionne, je déglutissais bruyamment. Fallait que ça fonctionne, sans quoi, Ode allait devoir improviser.
Codage par Libella sur Graphiorum
Est-ce que le jardinier accepte de conduire Aiden à l'entrée du palais pour lui montrer les fleurs ? :
Pile - Oui (La voie est libre pour Ode, mais pour combien de temps, huhu ? Good luck ! )
Face - Non