Retour au berccail

Du sang s’était incrusté partout, elle passe dans la salle commune. C’était toujours là qu’elle pouvait observer mieux les choses avant d’agir. Elle s’installa proche de ce type masqué. Son sourire n’avait rien tendre. Il était là pour indiqué à ceux qui oserait dire quelque chose contre elle risquerait de goûter à ses griffes.

« Très bien, il fallait s’y attendre compte tenu la personne qui nous commandé cette disparition. »

Il y avait des façon d’écrire qu’elle avait appris à reconnaître. Et elle pouvait lire dans sa façon de faire que la personne n’était pas très futée. Le fait qu’un autre capitaine lui fasse signe n’était pas si rare. Certains disaient des choses et d’autres se taisait. Il faisait partie de ces gens qui faisait son travail. Ce qu’elle appréciait à sa juste valeur.

« Quand est-il de ta mission très cher ? »

Le fait qu’il porte un masque ne la gênait pas. Il n’était pas le seul, beaucoup de la confrérie optait pour cette protection. Si elle en portait pas, c’était aussi par fierté, parce que aussi celui qu’elle nommait père n’en portait pas. Et elle ne lui rendrait pas hommage à le faire. C’est pour ça qu’elle gardait un masque moral.

Il retirait ses griffes doucement. Son geste était serein, attentif au moindre geste envers elle. Elle prit un peu d’eau dans un verre. Pour y tremper ses doigts afin de nettoyer au mieux les articulations dorées. N’oubliant pas un seul endroit. L’oreille attentive à toute action. Même sans ses griffes, elle avait bon nombre arme dans son arsenal qu’elle planquait partout.

Même en présence d’un capitaine, reste sur le qui-vive. Tel était la règle tacite. Car si elle avait réussi à défaire la régente, peut-être que certains profiterai de sa jeunesse pour la renverser. Mais sa jeunesse était une arme que certains ne devaient pas oublier.  

laxy  - avada kedagraph

Retour au berccail

Elle remit rapidement ses griffes avant d’avoir une espèce de sourire sans en être un. Juste qu’elle comprenait où il voulait en arriver. Il avait réussi certaines choses, mais il y avait ce souffle. Ce qui lui disait qu’il déçu d’une chose. Les information capitales ne seront pas dites ici. Peut-être qu’elle en saura plus si la cheffe lui demandait. Sinon, elle en saurait rien. Les secrets étaient ce qui faisaient tourner la confrérie. Alors, elle laissa l’homme avec ces secrets. Elle fait claquer ses griffes sur le bois. Pas impatiente. Juste pour les voir s’enfoncer doucement dans les nœuds d’une table en bois avait quelque chose de fascinant.

« Oh tu sais, diverses choses me font dressé l’oreille dernièrement. Dont certaines seront dites exclusivement à la cheffe. Garde ta prudence, c’est tout ce que je te dirai pour le moment. »

Car la prudence n’était jamais de trop. Leur position était forte et fragile. Elle avait vu la trahison de près. Assez pour ne jamais vouloir arriver à ces extrémités. Pour elle, la confrérie était sa famille. Après les chats qui traînaient avec lesquels elle pouvait rester des heures. Une fois armée à nouveau, elle testa les articulation en bougeant les mains, tout blocage était corrigé par la suite. Un manège qu’elle aurait pu faire en privé. Mais en le faisant ici, c’était une façon de montrer qu’elle gardait l’œil sur les gens. Y compris ceux qui était sous ses ordres.

« Je me demandais si toi aussi, tu as entendus certaines choses. Et apparemment, c’est le cas. De ce que tu peux sous-entendre, en tout cas. »

Savoir lire entre les lignes, elle en avait l’habitude. Si bien qu’elle donnait que peu de choses elle-même. Oh, elle ne mentait pas en lui parlant. Le mensonge serait bien inutile face aux plus expérimenté de la compagnie. Il démêlait le faux du vrai en un claquement de doigt. Elle espérait acquérir doucement cette capacité, car elle se doutait de pas l’avoir en entièreté. Trop de choses floues qui la titillait. Trop de choses qui pourrait lui glisser entre les pates. Et tel un fauves, elle reprendrait sa chasse.  

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