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Wänddhïske ou Wändda.
Prepare for EDGINESS !
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OrigineIsokanÂge19 ansOccupationDresseuse/ Palfrenière (assassin)SexualitéSi tu m’touches j’te bouffe.AvatarRaya and the last dragon, version d’Ami Thompson CheminPar le biais de trois comptes, quelques rp et beaaaaaucoup de flood
Caractère
Farouche
Personne ne peut m’enfermer, personne ne peut m’atteindre. Médire, c’est me nourrir, m’insulter c’est me craindre.
Sauvage
L'humain possède trop de tares pour qu'on les nomme. Je préfère la compagnie des animaux à celle des hommes.
Mal vue
Les dieux sont égoïstes et ont leurs favoris. Les autres me voient comme de ceux qu’Eke a choisi.
Mortelle
Agile, de mon épée je fond sur ma proie. Je suis capable d’attaquer sur une monture comme sur les toits.
Enragée
La haine est mon alliée, la colère guide mes gestes. Je déteste les autres autant qu’ils me détestent
Hargneuse
Je me bats comme je respire, je ne crains ni le sang ni la mort. Redoute mes griffes et mes crocs quand je les sors.
Apprivoisée
Elle m’a sauvé la vie, lui a donné un sens. Pour Ebo je sacrifierais mon existence.
Haineuse
Est-ce ses cheveux blancs qui en font sa préférée ? Je me battrais pour elle mais sans la vénérer.
Blessée
Ne me touche pas !!! Ne t’approche pas de moi ! Si tu mets ta main trop près, je te mordrais les doigts !
Insoumise
Je ne laisserais pas gagner le pouvoir. Ce n’est que dans son déclin que naîtra ma victoire.
Personne ne peut m’enfermer, personne ne peut m’atteindre. Médire, c’est me nourrir, m’insulter c’est me craindre.
Sauvage
L'humain possède trop de tares pour qu'on les nomme. Je préfère la compagnie des animaux à celle des hommes.
Mal vue
Les dieux sont égoïstes et ont leurs favoris. Les autres me voient comme de ceux qu’Eke a choisi.
Mortelle
Agile, de mon épée je fond sur ma proie. Je suis capable d’attaquer sur une monture comme sur les toits.
Enragée
La haine est mon alliée, la colère guide mes gestes. Je déteste les autres autant qu’ils me détestent
Hargneuse
Je me bats comme je respire, je ne crains ni le sang ni la mort. Redoute mes griffes et mes crocs quand je les sors.
Apprivoisée
Elle m’a sauvé la vie, lui a donné un sens. Pour Ebo je sacrifierais mon existence.
Haineuse
Est-ce ses cheveux blancs qui en font sa préférée ? Je me battrais pour elle mais sans la vénérer.
Blessée
Ne me touche pas !!! Ne t’approche pas de moi ! Si tu mets ta main trop près, je te mordrais les doigts !
Insoumise
Je ne laisserais pas gagner le pouvoir. Ce n’est que dans son déclin que naîtra ma victoire.
Histoire
Y en a qui naissent bien. D’autres qui ont moins de chance.
C’est à Isokan qu’a commencé mon existence.
Ma disparaît en me donnant la vie. Pa me protège, puis meurt de sa maladie.
J’ai sept ans et maintenant je vis dans la rue.
Ce qu’il s’est passé avant, je ne m'en souviens plus.
J'ai toujours été seule contre l’adversité. Ici tout est pourri, et ici tout est danger.
Personne ne sera jamais là pour t’accueillir.
Car personne ne s'occupe jamais des pouilleux sans avenir.
Les gens m’appellent « Wändddhïske ». La nuisible, la damnée.
Parce que personne ne se souvient du nom qu’on m’a donné.
« La vermine d’Eke», c’est devenu mon prénom
Et ça finit par devenir Wändda pour faire moins long
Il y a d’autres enfants, d'autre manants, comme moi.
On s'entraide, on se réchauffe, et on s'écoute parfois.
Mais souvent, c'est en jetant l'autre en pâture que l'on s'en sort .
La rue est une jungle où règne la loi du plus fort.
Vous pouvez vous apitoyer sur mon cas.
N'empêche je suis pas morte d’un coup de pierre comme Priska.
J’apprends à voler tôt. A chasser dans les champs.
Je comprends vite que les crocodiles n’épargnent pas les enfants.
Manger ou être manger, c’est la règle ici bas.
En témoignent toutes les marques qui zèbrent mes bras.
Un lièvre, c’est un repas, une onguent ou des mitaines.
Mais il faut se les arracher aux furets des plaines.
J’en choppe un dans un pièges, un matin d’été.
Mais ce jour là, va savoir, j’arrive pas à le tuer.
J’sais pas si c’était le peu de chair qu’il avait sous la peau.
Ou la peur dans ses yeux, lorsqu’il sortait les crocs.
Je l’ai relâché. La patte cassé, il pouvait pas partir.
Alors je lui ai donné mon lapin pour le nourrir.
Depuis, lui et moi, on fait la paire, on est copins.
On ne se lâche plus pour chasser le lapin.
Je relativise. Au final, j’en chie moins que Mitti, sourd.
Qui a fini par crever de faim, l’autre jour.
« Enfant d’Eke, enfants maudits » c’est comme ça qu’on nous appelle.
Pas que ça change quelque chose, car personne ne s’en mêle.
Sauf les soldats royaux, qui en ont choppé d’autres, auxquels j’ai toujours échappé.
Mais qui ont quand même fini par m’attraper.
Le bien volé a été rendu à la victime.
Forcée de bosser pour lui pour éponger mon crime.
Un type pas net qui dit voir en moi un futur.
Me montre un jour sa cave de poisons et de drogues dures.
Il m'envoie dans la forêt enchantée à mon insu.
M’enfin, j'ai pas dit non, c'était ça ou la rue.
Entraînée par des inconnus froids, sans relâche, jours et nuits….
Pour pouvoir un jour servir la Confrérie.
Je donne tout pour survivre de nouveau. J’apprends à tuer les miens.
C’est un peu plus dur que de chasser les lapins.
Mais bon, je suis naturellement douée pour ça, faut croire.
Plus que Melkio en tout cas, mort de fatigue dans un couloir.
Je me moque des dieux, parce qu'ils se moquent bien de moi.
Je cherche juste de quoi manger et un toit.
Quitte à obéir sans broncher et me taire.
Quitte à marcher sur les corps de mes frères.
Et enfin, au sein d’un groupe qui a réduit en nombre.
Me voilà devenue une disciple des ombres.
La vie de disciple n’est vraiment pas si mal.
C’est mieux que de vivre comme un vulgaire animal.
Jusqu’à ce qu’arrive première mission sur le terrain.
Infiniment plus dur que chasser les lapins.
Il suffit d’une mauvaise branche sur laquelle prendre appui.
Pour faire voler en éclat tout ce qu’on a construit.
Chute de trois mètres. Laissée pour morte après un hurlement.
Disparue de la confrérie des ombres à 14 ans.
Seule avec Furet, la jambe en angle bizarre.
A la merci des ours et des guépards.
Mais je ne blâme pas celui qui veut me faire la peau.
Car c’est grâce à lui que je rencontre Ebo.
Silhouette magnifique dans la rosée du matin.
Elle tue le guépard et me tends la main.
Ça prend du temps de donner sa confiance aux gens.
Les années dans la rue finissent par rendre méfiant.
Mais la douceur d’Ebo, ce qu'on a en commun, sa patience
finissent par avoir raison de mes défenses.
Elle m'apprend ce que personne n’a pris la peine de m’apprendre.
Comment tenir un arc, comme acheter et vendre.
Comment lire et écrire, comment fonctionne notre société.
Que je fais partie des rejetés de la royauté.
Elle me donne l’amour que je n’ai jamais reçu.
M’apprend surtout à vivre et avoir un point de vue.
Je deviens indépendante, j’enchaine les boulots,
grâce à ses bons conseils et grâce à son réseau.
Jusqu’à ce qu’on me garde, malgré mon caractère.
Parce que je m’en sors bien en tant que palfrenière.
J’ai un truc avec les bêtes, surtout les plus coriaces.
J’ai le don de finir par calmer les plus tenaces.
Je me trouve une maison.
J’ai de quoi subsister.
Il n’est plus temps de survivre, il est temps d’exister.
Mais le temps passe, et j’arrive à mes 19 ans.
Quand arrive le terrible ouragan.
On se débat, on lutte de nouveau.
On se réfugie dans des cavités, sous les trombes d’eau.
Mon employeur perd la moitié de ses bovins.
Sont-ils morts ou ont-ils fuit, personne n’en sait rien.
Tous se lancent dans la reconstruction d’Aisiki.
On rassemble un nouveau troupeau petit à petit
Mais mon quotidien prends un nouveau tournant.
quand Ebo m'annonce qu'il est plus que temps
Pour elle d'agir, car la coupe est pleine,
depuis que ces étrangers ont été accueillis par la reine.
Cette reine qui en restant passivement dans son château,
A tué Priska, Mitti et Melkio.
Alors je n'hésite pas, ne serait-ce qu'une seconde.
A servir celle qui est devenue mon monde.
À quitter la quiétude, à reprendre les armes.
A troquer la paix pour le sang et les larmes.
A la quête d'Ebo, j'ai consacré mon essence.
Pour moi, pour elle.
Pour détruire ces engeances.
C’est à Isokan qu’a commencé mon existence.
Ma disparaît en me donnant la vie. Pa me protège, puis meurt de sa maladie.
J’ai sept ans et maintenant je vis dans la rue.
Ce qu’il s’est passé avant, je ne m'en souviens plus.
J'ai toujours été seule contre l’adversité. Ici tout est pourri, et ici tout est danger.
Personne ne sera jamais là pour t’accueillir.
Car personne ne s'occupe jamais des pouilleux sans avenir.
Les gens m’appellent « Wändddhïske ». La nuisible, la damnée.
Parce que personne ne se souvient du nom qu’on m’a donné.
« La vermine d’Eke», c’est devenu mon prénom
Et ça finit par devenir Wändda pour faire moins long
Il y a d’autres enfants, d'autre manants, comme moi.
On s'entraide, on se réchauffe, et on s'écoute parfois.
Mais souvent, c'est en jetant l'autre en pâture que l'on s'en sort .
La rue est une jungle où règne la loi du plus fort.
Vous pouvez vous apitoyer sur mon cas.
N'empêche je suis pas morte d’un coup de pierre comme Priska.
J’apprends à voler tôt. A chasser dans les champs.
Je comprends vite que les crocodiles n’épargnent pas les enfants.
Manger ou être manger, c’est la règle ici bas.
En témoignent toutes les marques qui zèbrent mes bras.
Un lièvre, c’est un repas, une onguent ou des mitaines.
Mais il faut se les arracher aux furets des plaines.
J’en choppe un dans un pièges, un matin d’été.
Mais ce jour là, va savoir, j’arrive pas à le tuer.
J’sais pas si c’était le peu de chair qu’il avait sous la peau.
Ou la peur dans ses yeux, lorsqu’il sortait les crocs.
Je l’ai relâché. La patte cassé, il pouvait pas partir.
Alors je lui ai donné mon lapin pour le nourrir.
Depuis, lui et moi, on fait la paire, on est copins.
On ne se lâche plus pour chasser le lapin.
Je relativise. Au final, j’en chie moins que Mitti, sourd.
Qui a fini par crever de faim, l’autre jour.
« Enfant d’Eke, enfants maudits » c’est comme ça qu’on nous appelle.
Pas que ça change quelque chose, car personne ne s’en mêle.
Sauf les soldats royaux, qui en ont choppé d’autres, auxquels j’ai toujours échappé.
Mais qui ont quand même fini par m’attraper.
Le bien volé a été rendu à la victime.
Forcée de bosser pour lui pour éponger mon crime.
Un type pas net qui dit voir en moi un futur.
Me montre un jour sa cave de poisons et de drogues dures.
Il m'envoie dans la forêt enchantée à mon insu.
M’enfin, j'ai pas dit non, c'était ça ou la rue.
Entraînée par des inconnus froids, sans relâche, jours et nuits….
Pour pouvoir un jour servir la Confrérie.
Je donne tout pour survivre de nouveau. J’apprends à tuer les miens.
C’est un peu plus dur que de chasser les lapins.
Mais bon, je suis naturellement douée pour ça, faut croire.
Plus que Melkio en tout cas, mort de fatigue dans un couloir.
Je me moque des dieux, parce qu'ils se moquent bien de moi.
Je cherche juste de quoi manger et un toit.
Quitte à obéir sans broncher et me taire.
Quitte à marcher sur les corps de mes frères.
Et enfin, au sein d’un groupe qui a réduit en nombre.
Me voilà devenue une disciple des ombres.
La vie de disciple n’est vraiment pas si mal.
C’est mieux que de vivre comme un vulgaire animal.
Jusqu’à ce qu’arrive première mission sur le terrain.
Infiniment plus dur que chasser les lapins.
Il suffit d’une mauvaise branche sur laquelle prendre appui.
Pour faire voler en éclat tout ce qu’on a construit.
Chute de trois mètres. Laissée pour morte après un hurlement.
Disparue de la confrérie des ombres à 14 ans.
Seule avec Furet, la jambe en angle bizarre.
A la merci des ours et des guépards.
Mais je ne blâme pas celui qui veut me faire la peau.
Car c’est grâce à lui que je rencontre Ebo.
Silhouette magnifique dans la rosée du matin.
Elle tue le guépard et me tends la main.
Ça prend du temps de donner sa confiance aux gens.
Les années dans la rue finissent par rendre méfiant.
Mais la douceur d’Ebo, ce qu'on a en commun, sa patience
finissent par avoir raison de mes défenses.
Elle m'apprend ce que personne n’a pris la peine de m’apprendre.
Comment tenir un arc, comme acheter et vendre.
Comment lire et écrire, comment fonctionne notre société.
Que je fais partie des rejetés de la royauté.
Elle me donne l’amour que je n’ai jamais reçu.
M’apprend surtout à vivre et avoir un point de vue.
Je deviens indépendante, j’enchaine les boulots,
grâce à ses bons conseils et grâce à son réseau.
Jusqu’à ce qu’on me garde, malgré mon caractère.
Parce que je m’en sors bien en tant que palfrenière.
J’ai un truc avec les bêtes, surtout les plus coriaces.
J’ai le don de finir par calmer les plus tenaces.
Je me trouve une maison.
J’ai de quoi subsister.
Il n’est plus temps de survivre, il est temps d’exister.
Mais le temps passe, et j’arrive à mes 19 ans.
Quand arrive le terrible ouragan.
On se débat, on lutte de nouveau.
On se réfugie dans des cavités, sous les trombes d’eau.
Mon employeur perd la moitié de ses bovins.
Sont-ils morts ou ont-ils fuit, personne n’en sait rien.
Tous se lancent dans la reconstruction d’Aisiki.
On rassemble un nouveau troupeau petit à petit
Mais mon quotidien prends un nouveau tournant.
quand Ebo m'annonce qu'il est plus que temps
Pour elle d'agir, car la coupe est pleine,
depuis que ces étrangers ont été accueillis par la reine.
Cette reine qui en restant passivement dans son château,
A tué Priska, Mitti et Melkio.
Alors je n'hésite pas, ne serait-ce qu'une seconde.
A servir celle qui est devenue mon monde.
À quitter la quiétude, à reprendre les armes.
A troquer la paix pour le sang et les larmes.
A la quête d'Ebo, j'ai consacré mon essence.
Pour moi, pour elle.
Pour détruire ces engeances.
TAILLE :1m61
CORPULENCE : Des muscles fins, mais aucune couche de graisse. On voit les côtes et les os des fesses.
CHEVEUX : Long, raides, noirs et décoiffés. Tressés sur le dessus du crâne pour qu’ils ne puisse pas gêner
YEUX : Noirs
ORNEMENTS/MODIFS CORPORELLES : Des balafres à peu près partout, surtout sur les mains et les bras. Une cicatrice de fracture ouverte au mollet droit. Une balafre sur l’oeil gauche et une sur le nez. Une marque à l’arcade pour que le tableau soit complet.
STYLE VESTIMENTAIRE : Praticité avant tout. Gilet court, pantalon de toile ample et chaussures en peau de Gnou. Un grand chapeau de paille contre le soleil et les regards intempestifs. Une cape et un col sur la bouche quand il faut être furtif. Des bandages sur les avants bras et les mains. Une simple ceinture de tissus juste au dessus des reins.
AUTRE : Aucun ornement ou bijoux sur les vêtements. C’est le lot quand on est une fille du néant.
CORPULENCE : Des muscles fins, mais aucune couche de graisse. On voit les côtes et les os des fesses.
CHEVEUX : Long, raides, noirs et décoiffés. Tressés sur le dessus du crâne pour qu’ils ne puisse pas gêner
YEUX : Noirs
ORNEMENTS/MODIFS CORPORELLES : Des balafres à peu près partout, surtout sur les mains et les bras. Une cicatrice de fracture ouverte au mollet droit. Une balafre sur l’oeil gauche et une sur le nez. Une marque à l’arcade pour que le tableau soit complet.
STYLE VESTIMENTAIRE : Praticité avant tout. Gilet court, pantalon de toile ample et chaussures en peau de Gnou. Un grand chapeau de paille contre le soleil et les regards intempestifs. Une cape et un col sur la bouche quand il faut être furtif. Des bandages sur les avants bras et les mains. Une simple ceinture de tissus juste au dessus des reins.
AUTRE : Aucun ornement ou bijoux sur les vêtements. C’est le lot quand on est une fille du néant.
Joué.e par Tarandraâge irl25 piges