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Sous la pluie
Autour de minuit
Temps pluvieux
Octobre
RP libre
Minuit.
La pluie tombait ; c'était une nuit sombre et presque silencieuse. L'eau traversait les rues, crépitait sur les toits et soufflait sa froidure sur Oluh.
Presque invisible, une maigre flamme se battait avec l'obscurité. Celle-ci fermement tenue par une femme solitaire. Camouflée par un long manteau, elle essayait de se frayer un chemin entre les rues sinueuses. Son autre main renfermait un petit sac, à peine capable de contenir quelques provisions.
La jeune femme paraissait inquiète et foncièrement méfiante ; elle ne cessait de regarder derrière elle et d'accélérer le pas. Si bien qu'elle se retrouvât presque à courir.
Ce soir-là, comme tout les autres avant eux, elle se dirigeait à l'extrémité de la capitale. Or, cette fois-ci, un horrible sentiment prenait son estomac. Elle avait l'impression — non elle en était certaine — d'être observé.
Il faut se hâter, songea-t-elle.
Naturellement méfiante, dès lors qu'elle avait été « invitée » au palais d'Alafia, elle avait flairé les problèmes. Elle se savait paranoïaque à souhait, alors celle-ci ignora quelques jours ses pressentiments.
Finalement, plus les jours passés, plus elle avait l'impression que ses doutes s'avéraient fondés.
Pourquoi n'avait-elle pas le droit de se promener sur le territoire tranquillement si, eux autres voyageurs, étaient si bienvenu que cela en ces contrées ? Pourquoi devait-elle respecter un couvre-feu ? Comme un porc à l'abattoir ou comme un enfant turbulent ?
Elle commençait à se demander s'il y avait réellement une différence...
Alors, un soir, incapable de s'endormir, elle décida de faire taire une bonne fois pour toutes ses insomnies. Solitaire à souhait et loin d'être solidaire avec les autres voyageurs, elle choisit de s'offrir une porte de sortie. Quelque chose qui lui permettrait de dormir, la nuit.
Il s'agissait d'importer des provisions du palais comme de la nourriture impérissable, des couvertures pour l'hiver... Des choses faciles à transporter et qui pourraient lui servir de base de survie.
Ce soir-là, les choses ne semblaient pas se passer comme prévue. Sa frustration commençait à se ressentir tandis qu'elle affichait l'un de ces visages froids.
Au détour d'une rue, son regard était lancé derrière son épaule et elle n'eut pas la chance de remarquer contre qui elle venait de rentrer dedans. Si bien qu'elle fût éjectée en arrière en même temps que ce passant.
— Allyn ?
La pluie tombait ; c'était une nuit sombre et presque silencieuse. L'eau traversait les rues, crépitait sur les toits et soufflait sa froidure sur Oluh.
Presque invisible, une maigre flamme se battait avec l'obscurité. Celle-ci fermement tenue par une femme solitaire. Camouflée par un long manteau, elle essayait de se frayer un chemin entre les rues sinueuses. Son autre main renfermait un petit sac, à peine capable de contenir quelques provisions.
La jeune femme paraissait inquiète et foncièrement méfiante ; elle ne cessait de regarder derrière elle et d'accélérer le pas. Si bien qu'elle se retrouvât presque à courir.
Ce soir-là, comme tout les autres avant eux, elle se dirigeait à l'extrémité de la capitale. Or, cette fois-ci, un horrible sentiment prenait son estomac. Elle avait l'impression — non elle en était certaine — d'être observé.
Il faut se hâter, songea-t-elle.
Naturellement méfiante, dès lors qu'elle avait été « invitée » au palais d'Alafia, elle avait flairé les problèmes. Elle se savait paranoïaque à souhait, alors celle-ci ignora quelques jours ses pressentiments.
Finalement, plus les jours passés, plus elle avait l'impression que ses doutes s'avéraient fondés.
Pourquoi n'avait-elle pas le droit de se promener sur le territoire tranquillement si, eux autres voyageurs, étaient si bienvenu que cela en ces contrées ? Pourquoi devait-elle respecter un couvre-feu ? Comme un porc à l'abattoir ou comme un enfant turbulent ?
Elle commençait à se demander s'il y avait réellement une différence...
Alors, un soir, incapable de s'endormir, elle décida de faire taire une bonne fois pour toutes ses insomnies. Solitaire à souhait et loin d'être solidaire avec les autres voyageurs, elle choisit de s'offrir une porte de sortie. Quelque chose qui lui permettrait de dormir, la nuit.
Il s'agissait d'importer des provisions du palais comme de la nourriture impérissable, des couvertures pour l'hiver... Des choses faciles à transporter et qui pourraient lui servir de base de survie.
Ce soir-là, les choses ne semblaient pas se passer comme prévue. Sa frustration commençait à se ressentir tandis qu'elle affichait l'un de ces visages froids.
Au détour d'une rue, son regard était lancé derrière son épaule et elle n'eut pas la chance de remarquer contre qui elle venait de rentrer dedans. Si bien qu'elle fût éjectée en arrière en même temps que ce passant.
— Allyn ?