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26 Octobre 2018
Le sac réceptionné, j’ai commencé à prendre un peu d’avance, histoire que l’autre ne m’engueule pas encore de traîner de la patte. Je commençais doucement à comprendre que toutes ces engueulades étaient une pure perte de temps, et que ma camarade n’allait absolument rien faire pour changer ça. Donc c’était à moi que revenait la charge de m’adapter. Ce que ne me faisait pas faire cette excursion, j’te jure.
Enfin, tous mes efforts pour prendre de l’avance ne rimaient absolument à rien, vu que je me suis faite rappeler par l’autre illico presto. J’me disais qu’elle devait avoir peur du noir, ou un truc du genre. Munie de ma torche, j’ai donc rebroussé chemin en soupirant.
-J’suis là. Quel est le prob-
La simple vu de la scène a suffit à m’interrompre.
-Ah. Je vois.
Elle était là, devant-moi, incapable de se sortir du trou. Évidemment, ça avait coincé au niveau de ses épaules. Encore une fois, j’avais surestimé la taille de ce maudit trou (mais bon, c’était aussi de sa faute. Elle connaissait mieux sa corpulence que moi, et puis je voulais pas me faire taper pour avoir dit qu’elle ne passerait pas) Avec le recul, je trouve ça quand même vachement drôle, comme situation, vu la conversation qu’on avait eue juste avant. Mais sur le moment, je commençais à en avoir un peu marre qu’on s’arrête pour des conneries, et ça devait se voir à ma tête blasée, d’ailleurs. J’ai soupiré assez bruyamment, je crois.
Mais bon, c’était un problème de plus à résoudre, je suppose. Alors, comme d’habitude, j’ai instantanément repris mon sérieux, me prenant le menton pour réfléchir. Vu comment elle était coincée, elle devait déjà avoir forcé comme une dingue. Cela signifiait que si on y allait comme des bourrines, elle allait probablement prendre très cher. J’avais eu les flancs écorchés simplement en me faufilant. A ce stade, les épaules d’Allyn allaient finir en steak haché.
J’avais deux solutions. Ou j’élargissais la faille, ou je trouvais quelque chose pour lui permettre de glisser mieux. Dans le premier cas, j’avais quelques doutes. Déjà, ça prendrait des plombs, ensuite, j’avais beau m’en sortir avec les burins j’étais pas magicienne. C’était pas exclu que je plante la dame dans la manoeuvre, et je me demandais si ce n’était pas mieux de transformer ses épaules en steak haché, à ce stade. Restait donc la solution numéro deux : trouver de quoi faire glisser. Du savon ou de l’huile, en l'occurrence. Mais, fidèle à mes habitudes, je n’avais ni l'intention de me faire une salade, ni l’intention de prendre une douche quand j’avais fait mon sac. Mentalement, je me suis repassée ce que j’avais avec moi. Je me demandais notamment si l’alcool à désinfecter à base de kaki et de manioc ferait l’affaire. La réponse était négative bien sûre. Par contre, j’avais une deuxième torche.
J’avais déjà remarqué que celles vendues par le marchand de la plage (je t’en ai parlé onze lettres plus tôt) fonctionnaient à l’huile. Ça me soulait de gâcher 4h de lumière pour un truc aussi bête, mais en même temps, si je n’avais pas Allyn avec moi, mes chances de survie étaient très minces (l’épisode du singe en était la preuve). Je me suis donc avancée vers la dame, callant ma torche allumée là où ça pourrait nous éclairer sans risquer de faire du barbecue d’Allyn.
-T’inquiète, je vais te sortir de là.
Je me suis agenouillée à côté d’elle. J’ai pensé qu’au moins, là, y avait aucun risque qu’elle ne me frappe si je disais une connerie. Dans la position où elle était, ses bras n’avaient que très peu d’amplitude de mouvements.
La première étape, c’était les cheveux. Si une mèche se coinçait, ça pouvait très vite partir, avec tout ce qui le rattachait avec le reste du corps. Combien de cadavres j’ai analysés, qu’avaient tout un pan de cuir chevelu en moins ? C’est uniquement parce que j’aime pas avoir froid aux oreilles que je ne me rase pas la tête, mais je maintiens que quand on fait des métiers à risque, notamment dans les usines, tes cheveux peuvent devenir ton pire ennemi, et il faut donc s’en débarrasser.
Bref, avec beaucoup de délicatesse (mais sans perdre trop de temps), j’ai dégagé les cheveux noirs qui n’étaient pas coincés avec le reste de son corps, les rassemblant doucement sur un côté de sa tête. J’essayais d’éviter au maximum de toucher sa peau, parce que j’avais l’intuition qu’au moindre contact, elle était capable de me mordre. Mais honnêtement, même quand je l’effleurais parfois (C’était comme un docteur maboul, en plus dangereux), elle restait plutôt calme. Quand tous les cheveux libres ont été dégagés, je me suis attaquée à ceux qui ne l’étaient pas, faisant super attention pour ne pas lui tirer les cheveux.
C’était bien évidemment la partie facile. Maintenant, il fallait s’attaquer au gros morceau.
-Je te préviens : ça va pas être très agréable. Mais on n’a pas le choix, à ce stade. J’espère que t’aime les soins du corps à deux balles.
Et j’ai commencé à verser l’huile au niveau des épaules. J’essayais d’en mettre le moins possible, histoire de garder un minimum de stock. Mais par moments, j’étais obligée de mettre la dose. Ça ne devait pas être super agréable, d’être tout plein d’huile comme ça. Dire que dans le monde, il y avait des gens qui auraient été prêts à nous payer pour nous regarder faire ce qu’on faisait.
-Ok, essaye de gigoter un peu pour que l’huile se glisse bien partout.
Tout en parlant, j’ai déposé la torche (qui était maintenant vide ) et me suis essuyée les mains avec ma polaire (déso, Dylan) Puis je suis revenu pour lui prendre les mains. Grâce à l’huile, il devenait maintenant possible pour Allyn d’étirer ses bras devant elle.
-Je vais tirer, ok ? Tu cries si ça fait mal.
Et, la jambe appuyée sur le mur juste à côté d’Allyn, j’ai effectivement tiré.
Spoiler :
Utilisation de deux torche sur deux