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Nahuel Catrillanca"J'aimerais réellement être un jaguar un jour... Mais en attendant, tu veux écouter ma dernière histoire ?"
Histoire
- Hé papa ?
- Oui ?
- Il est vachement bizarre mon nom. Pourquoi tu m’as appelé Nahuel ?
Monsieur Catrillanca lâcha la cuillère qu’il avait amené à la bouche un instant plus tôt. Il en aspira le flan et la fit jouer devant son visage. Manche en haut, manche en bas. De l’autre côté de la table, le visage du fils aîné, Lautaro, se fit livide.
- Je veux dire… continua le plus jeune, rompant le silence, je pouvais m'appeler John, ou même José. De tous les noms du monde, "Nahuel" ?
En disant ces mots, les yeux du petit se fixèrent sur le visage de son père. Ce dernier retira finalement la cuillère de sous ses moustaches.
- Mi hijo, dit-il finalement, rompant le silence, tu vois tes tâches de naissances sur les épaules ? Elles nous ont beaucoup fait pensé aux tâches d’un jaguar, ta mère et moi-
Non mais je connais cette histoire débile ! Ca ne-
Mais il s'arrêta net dans sa lancée. Les yeux ahuris de son père le firent immédiatement prendre le silence. Nahuel se mordit la lèvre inférieure. Il baissa les yeux.
- … pardon, souffla-t-il.
Personne ne dit plus rien. Ils finirent de manger, sans qu’il ne détache les yeux de son bol un seul instant. En quittant la table, les larmes qu'il avait refoulé roulèrent sur ses joues. Larmes qui se dechaînèrent quand il arriva sous sa couette. Nahuel pleura. Il pleura tout son saoul. Il n'aurait pas dû hausser le ton. Mais il était si las. Si las d'être mis à part. Si las de n'être intégré dans aucun groupe. Si las de voir que personne ne prononçait son nom correctement. Si las d'être la risée de tous. Tout ça à cause de son teint, de son nom, de… de quoi au juste ? Ça n'avait aucun sens. C'était son nom ? Mais pourquoi ? Mais même s'il s'appelait John, dans le fond, qu'est-ce que ça changerait ? Vis à vis de lui ? Vis à vis des autres ?
- Uelito ?
La voix de Lautaro, presque un murmure. Nahuel effaça ses larmes du revers du coude, inspira et expira lentement sous sa couette pour calmer ses sanglots. Il sentit le lit sous son pieds droit s'enfoncer sous le poids de son grand frère, mais il ne bougea pas.
Lautaro prit une profonde inspiration. Il expira lentement, les yeux fixés sur le dessin dont la cire jaune et noire chatoyait timidement dans la pénombre - un jaguar.
- C’est maman qui voulait t’appeler Nahuel, dit-il finalement.
Il tourna la tête vers la boursouflure sous la couette, puis sourit.
- Tu es né le matin. L’après-midi même, elle est rentrée en ouvrant grand la porte de la maison et en criant: “Tariiitooooo ? Viens dire bonjour à ton petit-frère !”. J’ai foncé vers elle, et elle était là, te tenant dans ses bras, un énorme sourire aux coins des lèvres. Papa portait le bagage derrière elle. Il était essoufflé ! Sur le coup, je ne savais pas si c'était elle ou lui qui avait accouché !
Il rit doucement, Nahuel ne bougeait toujours pas de sous sa couette.
- Et donc, reprit-il, elle est allée s'asseoir sur le canapé et m'a demandé de venir près d'elle. Elle m'a souri, puis m'a déclaré: "Il s'appelle Nahuel. Tu as le nom d'un révolutionnaire, lui celui d'un jaguar. Ce pays ne pourra rien contre vous !". Et puis elle m'a pincé la joue, comme d'habitude. Ça faisait mal, mais ça la faisait vachement rire. Papa avait tout juste fini de rentrer le dernier sac. Il a tourné la tête vers nous, a approuvé le nom d'un vif geste de la tête, puis a fait remarquer que les tâches de naissance sur tes épaules faisaient beaucoup penser à des tâches de jaguar, et que du coup, ça avait encore plus de sens de t'appeler Nahuel.
Lautaro vit des mains sortir timidement du dessus de la couette. Nahuel dégagea doucement la couverture de devant son visage, des larmes miroitant faiblement au coin de ses yeux. D'une voix chevrotante, il demanda:
- Tu penses que… j'ai l'air d'un jaguar comme ça ?
Lautaro se mit à rire.
- Un jaguar triste, peut-être, mais toujours un jaguar !
Un faible sourire naquit sur les lèvres de Nahuel. Il repoussa encore sa couverture et s'assit. Ses yeux s'arrêtèrent sur le dessin trônant sur son mur.
- Je pense pas que maman s'imaginait un gringalet qui arrive pas à se défendre face à un troisième stupide…
Le sourire de Lautaro s'évanouit sur les bords. Il fixa le dessin de nouveau.
- Tu grandis encore, tu sais… et puis, tout le monde peut faiblir. Même un jaguar.
Nahuel poussa un profond soupir en guise de réponse… Entre la puissance d’un jaguar, les muscles qui le propulsaient en flèche dans les forêts de ses ancêtres, et son gabarit minable qui ne lui permettait même pas d’atteindre l’extérieur d’une cour de récré sans être rattrapé par une brute, il y’avait tout de même beaucoup à rattraper. Ses yeux s’attristèrent.
- Juan me manque…
Cette fois-ci, ce furent des larmes silencieuses qui roulèrent sur les joues du petit. C'était dans des moments pareils qu'il n'espérait qu'une seule chose: pouvoir aller dans le même collège que son meilleur ami. Renouer avec lui. A l'école élémentaire, Juan avait été le seul à le défendre face aux plus âgés. Juan s'intéressait réellement aux univers qu'il construisait, il l'encourageait toujours à continuer ses histoires. Mais voilà… Nahuel a pu aller à un meilleur collège, dans un autre quartier, mais Juan a du resté. Juan s'est senti trahi, et il a décidé de ne plus jamais adresser la parole à Nahuel. Comme la plupart des enfants du quartier.
Lautaro ne dit rien. Il posa sur son jeune frère des yeux pleins d'espoir, mais aucun mot ne sortit de sa bouche. Et puis, sans crier gare, il lui pinça la joue, lui arrachant un léger gémissement.
- Allez ! s'exclama-t-il alors, cesse d'être aussi dur envers toi même. Tu n'as que douze ans, tu as tout le temps de grandir et de t'affirmer !
Nahuel leva vers son grand-frère des yeux dubitatifs, se tenant toujours la joue. Lautaro lui sourit une dernière fois, puis sortit de la chambre en fermant la porte dans son sillage. A nouveau, le calme régna sur la petite chambre… Nahuel poussa un soupir et se glissa de nouveau dans son lit. Et doucement, alors que ses paupières s’allourdissaient, le jaune et le noir du dessin de jaguar dansaient dans son esprit, bondissant bientôt en songe de vitesse et d’aventures.
~~~
C'est cette scène qui défila dans l'esprit de Nahuel alors qu'il fixait la mer, d'un regard vague. Tout s'était passé si vite après ça… La soudaine crise d'hypoglycémie de son père, son diagnostic positif au diabète, les factures qui explosent, Lautaro arrêtant les études pour aider à payer les factures. A la base, son grand-frère ne voulait pas partir en croisière, mais son père avait tant insisté pour qu'il se repose qu'il a fini par céder. Le prix était très bas, et ça permettrait aussi à son petit-frère de se changer les idées. Et les voici donc, au bord du wreck, en route vers leur première île.
- Uelito ? Tu viens ? Il faut bientôt descendre !
L'appel de Lautaro le sortit de ses pensées. Il baissa les yeux vers le jaguar brodé sur le mouchoir qu'il tenait en main, puis le glissa dans sa sacoche. Il ramassa les feuilles éparses sur la poupe et alla rejoindre son frère. Dans le lointain, une portion de terre se profilait. Egùn.
L’île fit fuser son imagination. La valse des oiseaux de couleurs, les ceibas abritant de petits animaux qu’il n’avait jamais vu, l’explosion de couleurs sur les tapis d’herbes, les curieux reflets sur les rochers, tout trouva son chemin vers son sketchbook. Nahuel dessina tant qu’en quelques jours, il en avait déjà rempli les trois-quarts. Le seul frein à son enthousiasme fut Lautaro, qui dû l’empêcher plus d’une fois de s'aventurer trop profondément dans la forêt. “Ay, mais j’y étais presque ! Faut te calmer aussi !”, protesta-t-il quand ce dernier l’empêcha de suivre un chat aux yeux dorés au delà d’une barrière de rochers. Mais il ne boudait jamais plus que quelques minutes, tant il y avait de choses à découvrir et d’histoires à construire partout autour de lui.
Mais à ces débuts, la dernière chose à laquelle Nahuel pensait, c’était le danger. Lorsque l’ouragan frappa l’île, toutes les couleurs qui avaient dansé dans sa tête disparurent, laissant place à des éclairs, des ombres, et les silhouettes de vagues colossales s’écroulant l’une sur l’autre, l’enfonçant au fin fond de l’océan. Ce sont ces esquisses, dessinées avec du fusain et des larmes, qui remplirent son carnet de croquis cette semaine-là. Recroquevillé près de Lautaro, c’est ainsi qu’il combattit la peur qui l’assaillit, mais il lâcha le tout et bondit dans les bras de son frère lorsque le séisme secoua l’île. Lorsque la terre revint à elle-même, chose qu’il ne croyait ne jamais voir venir, il se détacha immédiatement des bras de son frère, les joues rouges. Lautaro ne fit que lui pincer la joue en riant en guise de réponse.
Lorsque l’ouragan prit fin, Nahuel voulut croire que ce n’était qu’un mauvais rêve. Pour lui, l’aventure sur cette île allait reprendre son cours, les courses avec les petits félins et les pataugeoires avec les crabes allaient continuer, mais il se rendit bientôt compte que les choses n’allaient plus être comme avant. Le bateau était parti, emportant avec lui ses autres sketchbook et le reste de son matériel… Il se retrouvait alors avec quelques feuilles vides, un crayon, et deux ou trois bâtons de pastel de cire. Cela resta l’un de ses plus gros soucis, au même niveau que survivre dans ce nouvel environnement. Une ou deux connaissances acquise chez les scouts lui permirent de mettre quelques planches (très légères) aux abris improvisés, et la caisse du capitaine, ne lui étant d’aucun usage, ne fit que le frustrer davantage que ses vains essais de dessiner sur les rochers.
Peu de temps après cela, il se retrouva au palais. Et s’il avait tantôt été anxieux, tantôt ennuyé jusqu’ici, tout fit place à de l’émerveillement. Tout autour de lui l’intriguait: l’accent des natifs, les ornements du mur, les lames des lances, la reine, absolument tout ! Mais d’un naturel réservé, et n’ayant croisé personne de son âge jusqu’ici, il n’osait interagir avec personne. Aussi se baladait-il comme une ombre furtive, dessinant les gens qu’il croisait comme les motifs des plafonds, les serrant dans les coins de feuilles où il y avait encore un semblant de place. Ay, qu’est-ce qu’il ne donnerait pas pour des feuilles et un vrai crayon !
Nahuel voulait en savoir plus, surtout sur certains Ijọbiens qui ressemblaient curieusement à sa famille chilienne. Qui sait ? C’était peut-être sa façon de resté connecté à son père ?
Enfin voilà, c'est lui, mon Nahuel d'amour. Je l'ai eu dans ma classe pendant trois ans, et je ne l'oublierai jamais, ne serait-ce que pour son incroyable tendresse !"
– Mme Parks, ancienne institutrice de Nahuel.
"La plupart des gens sur ce bateau sont venus me dire la même chose à un moment ou à un autre: “Il est vachement timide ton petit frère !”. Ça ne m'étonne pas, c'est comme ça qu'il est avec les inconnus, surtout les adultes. Mais si vous essayez de réellement vous rapprocher de lui, vous découvrirez qu'il fait beaucoup plus que juste s'asseoir avec son sketchbook sur la poupe et dessiner les mouettes pendant des heures. Il va prendre tous ses dessins, les mettre devant lui, et essayer d’en faire une histoire. Il va alors colorer les plumes des mouettes, leur donner des expressions différentes, leur donner des noms, établir des liens, une chronologie. Et un petit monde où Miguel la mouette et ses amis partent à l'aventure sur un bateau de croisière est né. J'ai souvent ce genre de conversations avec lui. Il m'en parle pendant des heures, et l'éclat dans ses yeux est tel que je n'ai pas le courage de lui dire que je dois aller travailler, des fois. Il fait les voix, mime des scènes. Il va aussi me demander mon avis sur l'histoire, sur les caractères des personnages, sur la logique interne de ses univers. Et a chaque suggestion, il va se poser, réfléchir, et décider ou pas de l'intégrer. Il fait ça avec moi parce qu'il sait que je prends son imagination tout aussi au sérieux que lui, ça le blesse quand on se moque de lui ou qu'on prend ce genre de choses à la légère. Vous voyez... Il met une partie de son âme dans chaque univers qu'il construit. C'est un peu sa façon de naviguer dans le monde. Une fois, quand il est revenu d'un camp de vacances d'été, il s'est enfermé dans sa chambre pendant trois jours. Il n'en est sorti que pour manger. A la fin, il est venu me chercher avec deux grandes feuilles sur lesquelles il y'avait des bandes dessinées. Ça racontait l'histoire d'un écureuil qui essaye de devenir ami avec des tamias, mais qui n'y arrivait pas parce qu'ils le trouvaient trop grand, sa queue trop touffue. Il finit par prendre son courage à deux mains et se coupe la queue, puis se fait tout petit quand il va les voir à nouveau. Là, ils finissent par accepter de le laisser jouer avec eux. Mais il n'a pas l'air heureux. Et dès qu'il se redresse par accident, ils le regardent de travers. Nahuel m'a regardé dans les yeux, puis m'a demandé: "Qu'est-ce que l'écureuil doit faire, maintenant ?". Je n'ai pas vraiment eu le temps de réfléchir à une réponse, parce qu'il a éclaté en sanglots juste après. Et c'est comme ça que j'ai appris qu'il n'avait pas réussi à se faire d'amis au camp de vacances, qu'il avait été rejeté de tous les groupes et que ce n'est que quand il a senti qu'il n'était plus lui-même qu'il a quelque peu réussi à s'intégrer. C'était juste avant qu'il ne rentre au collège… et là, ça n'a pas été mieux. Être un garçon calme et créatif qui n'aime pas vraiment le rugby ou le hockey, c'est déjà assez pour être condamné, surtout par les brutes. S'appeler Nahuel, avoir la peau mate, et parler Espagnol et Mapudungun en sus, ça fait de lui le vilain petit canard d'une institution majoritairement blanche. Il parle de moins en moins nos langues maternelles depuis, même à la maison. Mais il finira par comprendre… Du moins, j'ai espoir. C'est aussi pour lui qu'on est sur ce bateau, ça lui changera les idées. Et l'une des îles sur le trajet, Egún, m'a l'air d'être le parfait endroit pour une transformation."
– Lautaro, grand-frère de Nahuel.
TAILLE : 153 centimètres.
CORPULENCE : Il n'y a pas à dire, Nahuel est un véritable gringalet. Non seulement il est tout mince, mais il n'a aucune force, ni dans les bras, ni dans les jambes. Cependant, il est un petit peu plus endurant qu'il n'en a l'air !
CHEVEUX : Mi-longs, brun foncé. Ils deviennent de moins en moins lisses plus il grandit.
YEUX : Brun foncé.
ORNEMENTS/MODIFS CORPORELLES : Deux tâches de naissance sur chacune des épaules, décrivant des cercles entrecoupés.
STYLE VESTIMENTAIRE : S'il pouvait se balader en pyjama, il le ferait avec plaisir ! Nahuel prône le confort. Il ne faut qu'à aucune moment ses vêtements l'empêche de s'asseoir quelque part ou d'une certaine manière pour dessiner. On le verra donc souvent en tee-shirt, jacket, et pantalon.
AUTRE : L'accessoire dont il ne se sépare jamais ? Sa sacoche. Offerte par son père, en cuir mapuche pûr, c'est là où il garde son matériel de dessin. Il y'a une seule poche à l'intérieur, et c'est là où il garde le mouchoir que Lautaro lui a offert. Un jaguar est brodé dessus.
CORPULENCE : Il n'y a pas à dire, Nahuel est un véritable gringalet. Non seulement il est tout mince, mais il n'a aucune force, ni dans les bras, ni dans les jambes. Cependant, il est un petit peu plus endurant qu'il n'en a l'air !
CHEVEUX : Mi-longs, brun foncé. Ils deviennent de moins en moins lisses plus il grandit.
YEUX : Brun foncé.
ORNEMENTS/MODIFS CORPORELLES : Deux tâches de naissance sur chacune des épaules, décrivant des cercles entrecoupés.
STYLE VESTIMENTAIRE : S'il pouvait se balader en pyjama, il le ferait avec plaisir ! Nahuel prône le confort. Il ne faut qu'à aucune moment ses vêtements l'empêche de s'asseoir quelque part ou d'une certaine manière pour dessiner. On le verra donc souvent en tee-shirt, jacket, et pantalon.
AUTRE : L'accessoire dont il ne se sépare jamais ? Sa sacoche. Offerte par son père, en cuir mapuche pûr, c'est là où il garde son matériel de dessin. Il y'a une seule poche à l'intérieur, et c'est là où il garde le mouchoir que Lautaro lui a offert. Un jaguar est brodé dessus.
SurnomAlmaz, Alma, Nahuel aussi si vous voulez !Âge irl20 ans