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Encore un jour de plus, loin de tout, loin de toi. Tu ne veux pas faire plus d’effort pour revenir ? Non, tu dois bien t’amuser à sympathiser avec les gens ici. Mais certains n’hésiteront pas à te faire du mal. Tu sais te défendre, mais je t’ai déjà mis à terre un tas de fois. Je lâchais un soupir avant de poser un regard sur les environs. Rien n’indique que tu es revenu durant mon sommeil. Pas de verre d’eau ou de fruit à mes côtés. Pour l’eau, je rends toujours. Pour le fruit, tu sais bien que j’attends toujours de me laver les dents avant. Ce n’est ps parce qu’on est loin de tout que je peux me permettre de négliger mon hygiène…
Trouver un endroit calme n’as jamais été simple, j’avais besoin de cet endroit. Quitte à marcher de longues minutes. Je ne saluais même pas les gens que je croisais, tout était douloureux. Je ne veux pas entendre la brisure dans ma voix. Elle est trop présente. Certains pourront encore m’attendre. Je suis là tous les jours, sauf aujourd’hui. J’ai besoin d’air. Un peu paradoxal quand on sait qu’on reste presque tout le temps à l’intérieur. Confiné, c’est bien drôle à vivre. Mot avant peu connu. Il doit être sur toutes les lèvres à présent et dans toutes les langues possibles. Heureusement que je ne suis pas claustrophobe.
Je finis par trouver, j’espère seulement que je suis pas dans un de ses lieux réservés pour quelqu’un d’important. Je ne souhaite pas apporter plus d’ennuis à mes compatriotes de galère.
« Je dois chercher toutes ses responsabilités… Je me demande ce que dirais mon chef. Il me dirai bien un truc du genre. C’est bien beau de vouloir tout faire, mais tu vas finir par t’écrouler, lâche du lest. Et voici le résultat. Je pars enfin en vacances loin de tout et je suis là. Pire que tout... »
Je mordais mes lèvres, je veux pas croire que je te reverrai peut-être pas. Tu es là. Ceux qui prétende le contraire sont des menteurs. J’ai pris ton couteau, sentir sa présence dans la poche de mon pantalon me rassure. J’ai mis cette chemise qui te plaît tant. Pourtant elle ressemblait à beaucoup d’autres. Mais ce minuscule détail la rendait unique à tes yeux. Une broderie sur la poitrine. Celle d’une fleur élégante.
J’espère que cette pause me fera du bien. Je ne dois plus penser, difficile. Tu n’es pas là pour faire rire. Tu sais tant le faire, James.
Trouver un endroit calme n’as jamais été simple, j’avais besoin de cet endroit. Quitte à marcher de longues minutes. Je ne saluais même pas les gens que je croisais, tout était douloureux. Je ne veux pas entendre la brisure dans ma voix. Elle est trop présente. Certains pourront encore m’attendre. Je suis là tous les jours, sauf aujourd’hui. J’ai besoin d’air. Un peu paradoxal quand on sait qu’on reste presque tout le temps à l’intérieur. Confiné, c’est bien drôle à vivre. Mot avant peu connu. Il doit être sur toutes les lèvres à présent et dans toutes les langues possibles. Heureusement que je ne suis pas claustrophobe.
Je finis par trouver, j’espère seulement que je suis pas dans un de ses lieux réservés pour quelqu’un d’important. Je ne souhaite pas apporter plus d’ennuis à mes compatriotes de galère.
« Je dois chercher toutes ses responsabilités… Je me demande ce que dirais mon chef. Il me dirai bien un truc du genre. C’est bien beau de vouloir tout faire, mais tu vas finir par t’écrouler, lâche du lest. Et voici le résultat. Je pars enfin en vacances loin de tout et je suis là. Pire que tout... »
Je mordais mes lèvres, je veux pas croire que je te reverrai peut-être pas. Tu es là. Ceux qui prétende le contraire sont des menteurs. J’ai pris ton couteau, sentir sa présence dans la poche de mon pantalon me rassure. J’ai mis cette chemise qui te plaît tant. Pourtant elle ressemblait à beaucoup d’autres. Mais ce minuscule détail la rendait unique à tes yeux. Une broderie sur la poitrine. Celle d’une fleur élégante.
J’espère que cette pause me fera du bien. Je ne dois plus penser, difficile. Tu n’es pas là pour faire rire. Tu sais tant le faire, James.