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Ongwa Tilabus
Cet or, on l'a tous mérité. Ces coquillages aussi...
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OrigineAIsikiÂge28 ansOccupationCapitaine de la confrerie (oui, j'ose)SexualitéElle n'est pas regardante, elle s'en fiche dans le fondAvatarDehya • Genshin ImpactCheminJe suis un qc ouhlalala
Caractère
Discrète, c’est la première chose qu’on pourrait dire d’elle. Elle se glisse dans les ombres avec efficacité. Parle peu, mais parle bien quand il le faut. Elle réfléchit beaucoup aux mots qu’elle pose, qu’elle dit. Si elle doit donner des ordres, ils seront brefs et précis. Ongwa n’aime pas quand ça ne fonctionne pas comme c’est prévu. Ne lui prévoyez jamais une surprise au risque de frôler la mort de très près, voit y subir. Elle n’a rien contre le contact en soi, elle fait en sorte de donner le strict minimum pour rassurer les gens qu’elle fréquente. C’est une femme à l’aise avec son corps, elle n’en a pas honte. Elle ne l’exposera pas cependant à tout va. Mais lui dire n’est pas très conseillé. Elle vous fera un sourire dont je vous conseille de fuir quand elle le fait.
Effrayante ? Peut-être. Elle reste très attachée à son travail au sein de la confrérie. Elle est tombée dedans et ne voit pas pourquoi en partir. La confrérie est pour elle, sa famille. Si elle se pare de bijoux dorés, c’est parce qu’à son sens, elle les métrites. Elle a travaillé sang et eau pour se les payer. Pour rehausser sa beauté naturelle. Pas la peine de vouloir lui donner du faux, elle a les techniques pour les reconnaître.
Les autres ? Ceux de la confrérie ont droit à ses salutations parfois silencieuses, parfois vocales. Elle écoutera un jeune sous ses ordres avec patience avant de lui dire calmement ce qu’il a bien fait puis mal fait. Surtout, elle indiquera comment se rendre le plus efficace possible pour rendre service à la confrérie. Les gens extérieurs n’ont qu’une vague représentation de ce qu’elle veut montrer. Changer de caractère, mettre un masque physique ou métaphorique ne sont pas si gênants.
Quand se détend-elle ? Souvent seul, quand elle prend soin d’elle en achetant des vêtements, des bijoux en or et du maquillage. C’est dans ce genre de moment où elle fait tomber les masques. Féroce pour avoir les meilleures pièces. Elle ne lâchera pas l’affaire.
Les gens vraiment proches d'elles sont rares, mais avec eux, elle est très amicale. Elle peut se méfier par moment. Mais en général, elle donne sa confiance assez difficilement.
Effrayante ? Peut-être. Elle reste très attachée à son travail au sein de la confrérie. Elle est tombée dedans et ne voit pas pourquoi en partir. La confrérie est pour elle, sa famille. Si elle se pare de bijoux dorés, c’est parce qu’à son sens, elle les métrites. Elle a travaillé sang et eau pour se les payer. Pour rehausser sa beauté naturelle. Pas la peine de vouloir lui donner du faux, elle a les techniques pour les reconnaître.
Les autres ? Ceux de la confrérie ont droit à ses salutations parfois silencieuses, parfois vocales. Elle écoutera un jeune sous ses ordres avec patience avant de lui dire calmement ce qu’il a bien fait puis mal fait. Surtout, elle indiquera comment se rendre le plus efficace possible pour rendre service à la confrérie. Les gens extérieurs n’ont qu’une vague représentation de ce qu’elle veut montrer. Changer de caractère, mettre un masque physique ou métaphorique ne sont pas si gênants.
Quand se détend-elle ? Souvent seul, quand elle prend soin d’elle en achetant des vêtements, des bijoux en or et du maquillage. C’est dans ce genre de moment où elle fait tomber les masques. Féroce pour avoir les meilleures pièces. Elle ne lâchera pas l’affaire.
Les gens vraiment proches d'elles sont rares, mais avec eux, elle est très amicale. Elle peut se méfier par moment. Mais en général, elle donne sa confiance assez difficilement.
Histoire
Une tempête, c’est commun sur cette île, voir des familles décimées en rien de temps à cause d’elle un peu moins. Ça arrive. Même si on considère ça. Pour Ongwa, ses parents sont ceux qui l’ont enlevé, le fait que certaines têtes changent étaient presque classique. Oui, il y avait toujours cette personne qui s’occupait d’elle. Toujours sérieuse, lui parlant doucement depuis sa tendre enfance. Une voix rauque et rassurante. Celui qu’elle nomme père. Cet homme à qui elle doit la vie. Elle, une âme perdue dans les ruines. Dans les ruines d’une habitation d’un village perdu proche de la capitale. Elle n’était qu’une enfant, innocente encore de toutes ces choses qu’avait faite son mentor. Son père.
Elle ne se souvenait de rien de ce voyage dans ses bras, ni de combien elle avait pleuré, mais elle avait entendu des milliers de fois ce moment où les gens de la confrérie n’avaient pas voulu d’elle. Trop bruyante. Trop jeune pour faire quelque chose de potable. Même aujourd’hui, elle ignore pourquoi cet homme l’a laissé entrer dans sa vie et celle de ce groupe. Mais elle l’en remercie. Prends soin de lui et s’occupe de sa retraite paisible. C’est tout ce qu’elle souhaite pour ce tuteur.
Elle n’était pas la seule jeune âme s’entraînant comme ils le pouvaient au combat à la dague. Bien sûr, elle s’est blessée, comme les autres jeunes enfants de la confrérie. Certains pleuraient après leur père ou mère. D’autres, comme elle, regardait un adulte avec une certaine fierté. Cette fierté qu’elle a bien du mal à étouffer dans ces premiers instants de vie. De ces moments où ils étaient formés. Et ce, dès leur plus jeune âge.
La patience des adultes était variable. Mais Ongwa était assez prudente pour ne pas la dépasser. Elle a vu certains de ces camardes râler. Certains ne revenaient plus jamais. Sans savoir pourquoi. Bien sûr, certains l’ont fait pleurer. Car elle apprenait avec eux. Avec ces jeunes enfants, de plus ou moins son âge. Mais les règles étaient faites pour être respectées. Celui qui les renie sera sévèrement puni. Obéir aux adultes enfant n’était pas compliqué pour elle et certains enfants.
C’est à l’adolescence que les choses se compliquèrent entre eux et aussi pour l’entraînement. À présent assez fort pour porter ses dagues et d’autres armes. Mais aussi assez mature pour supporter certaines choses. On leur demandait des petites missions internes pour la confrérie. Des choses à rapporter à certains, des lettres à transmettre, de s’entraîner durement aux armes pour jamais se retrouver au dépourvu. Tels étaient les choses quotidiennes.
Des jeunes qui comme elle, avaient suivi la formation. Certains se sentaient encore étrangers à tout ça. Que c’était trop. Peu de ceux qui demandaient leurs mamans et leurs papas ne purent faire de bons membres. Certains sortaient du lot. Trois d’entre eux en particulier. Une jeune femme à la peau un peu plus claire que la sienne. Un jeune homme aussi sombre que la nuit ou presque et le dernier, difficile à définir. Elle pensait par défaut qu’iel jouait de cette apparence.
Elle s’est approchée d’eux, sans vraiment savoir comment. Elle n’avait rien en commun avec eux. À part peut-être cette fidélité qu’il avait pour la confrérie. Mais elle se souvient parfaitement de ce moment où elle avait fini son entraînement à la lance. Ils s’étaient approchés et lui avait sauté dessus. S’en suivi une bagarre où la jeune femme s’était battue comme une lionne. C’est un peu près là qu’un de ces gars lui dit que ses cheveux formaient parfois des oreilles de fauves. Défaut qui pouvait la trahir pour une mission plus discrète. Elle tenta de le corriger. Car un membre de la confrérie se doit d’être discret. Il doit se faufiler dans l’ombre. Elle ne devait pas trahir l’espoir qu’avait son tuteur en elle. De faire d’elle sa digne successeure. Son héritière. Pour ça, elle devait prouver sa fidélité et son efficacité. Et pour ça. Sortir de cet entraînement et prendre une mission sérieuse. Même accompagnée. Qu’importe. Elle accomplirait son devoir. Car depuis petite, elle savait que son rôle était de voir du rouge comme du noir. Le sang, elle ne savait ce que ça ferait d’en voir en dehors de l’entraînement. C’était un test. Elle le surmonterait…
Sortir de cet endroit qu’elle avait nommait comme maison était un grand changement. Elle se souvient du sourire immense qu’avait fait le garçon et de ces mots. Il pourrait retrouver son vrai père et le tuer. Elle se souvient l’avoir regardé avec une interrogation dans le fond de ses pupilles. Les adultes à l’extérieur étaient aussi méchants que certains adultes envers eux ? Sûrement, au vu de son comportement. Où faisait-il une scène ? Une façon de faire de lui, un membre de la confrérie. Tout ça était inutile. Pas besoin de se mettre ainsi en avant. Il prouverait sa bonne foi lors de cette mission. Ils étaient surveillés par une personne plus âgée, mais elle n'agirait pas. Son regard trahissait sa grande expérience. Ongwa ne l’avait pas beaucoup vu. Mais elle se souvenait de la façon dont elle parlait des lames de couteau. Toujours aiguisé au moins d’un côté. Quand on garde un côté émoussé, c’était pour menacer. Toujours avoir un avantage sur son adversaire, qu’importe sa position. Ne dire à personne ce qu’on faisait de ces armes. Faire en sorte d’avoir ce qu’il faut sur soi.
Une cape accrochée à ses épaules, son regard perçant dirigé vers l’horizon. La mission était simple. Faire avouer quelque chose à une personne plus moins bien placée dans la politique. Faire en sorte que notre client soit la seule personne de confiance pour une autre. La manipulation des mots. Des choses dites par un individu. Ça semblait simple. Mais Ongwa sentait le piège. On ne leur confiait pas cette mission comme ça. C’était sûrement une fausse pour les tester. Si c’était un test. Elle ne ferait rien pour aider ses camarades.
La fille était là en train de laisser des traces de couteau sur la peau marron clair de la jeune femme. Elle ne l’avait jamais vue. Où faisait-elle partie de ces gens toujours cachés et masqués. Il y en avait toujours. Ça gardait l’anonymat, certes. Mais elle préférait compter sur son regard azur aussi dur que le diamant pour s’aider du mieux qu’elle pouvait. Cette confiance en ce sens était à la fois bonne et mal. Mais là, elle lui était utile. Sans elle, peut-être qu’elle serait plus là pour en parler.
La personne qu’ils devaient interroger était complètement muette. Et impossible de savoir ce qu’ils étaient venus chercher. Quelqu’un avait déjà conduit le silence. C’était du travail digne de leur organisation. La confrérie ne laissait que peu de place. Elle était moins bruyante que certains groupes de rebelles. Mais il ne fallait pas comparer l’incomparable. À ses yeux, confrérie n’avait que si peu de défauts. Si on oubliait cette idée d’enlever des enfants pleurnichards auprès de leurs parents. Peut-être, elle avait fait pareil. Même les orphelins pleuraient après leurs parents après tout. Elle ne pouvait pas totalement leur en vouloir.
Tout qu’ils récupèrent de cette intervention, c’était un dessin grossier d’un membre de la confrérie assez connu. Un membre qui comme de nombreux fantômes de l’organisation serait puni ou non. Tout dépendait de l’utilité de ce qu’il savait. Le retrouver était la seconde étape. La fille était écartée de ce test. Son instabilité n’était pas bonne. Il était bon d’être sûr de ces actions. Même si improviser était aussi un bon point, si c'était utilisé au bon moment. Elle n’avait pas encore le bon timing. Ses plans étaient souvent très construits dans l’ensemble. Avec son lot de plans d’urgence. Pour parer aux éventualités les plus évidentes. Après elle devait se débrouiller avec celle qui tombait.
Cela ne manqua pas pour cette épreuve, finir ce moment avait été douloureux, pour plus qu’elle. Car le jeune homme s’était battu et la fille était si blessée qu’elle serait dans une branche de la confrérie. Ongwa se souvenait des mots de ceux qui les avait soigné, de leur déception de les voir si abîmés avec une simple épreuve. Si elle devait remontrer ses capacités, elle ferait une épreuve chaque jour. Sauf qu’on la somma de ne pas bouger. Ou le moins possible. Elle s’occupa des petits animaux de ses aînés. Des oiseaux qui transportaient des messages secrets, des chats que certains gardaient pour avoir une compagnie pas trop envahissante. Même si elle trouvait plus pratique les premiers, ce sont les seconds qui ont été là pour elle le long de la réparation de ses nombreuses coupures.
L’épreuve suivante fut moins compliquée. Elle était seule ou presque toujours surveillé par les ceux qui avait fait de sa vie celle qu’elle avait. Une jeune femme avide de faire ses preuves, mais plus inspiré du chat. D’ailleurs, un trônait sur son épaule tout au long de sa mission. Il était si sombre qu’il se confondait avec sa chevelure. Il avait été un soutien sans borne. Si bien qu’elle le gardât autant possible à ses côtés.
Elle est encore jeune, elle doit prouver que sa place au sein de la confrérie, elle la méritait. Pendant, longtemps, elle fit un sacré duo avec le garçon avec lequel elle avait échoué son épreuve. Ugboelu était moins enthousiaste qu’elle pour certaines choses. Et plus pour d’autres. Il avait ce goût pour charmer toute personne à ses côtés même si ce n’était pas sa mission. Elle a été longtemps une cible pour ce jeune homme. Sauf qu’elle ne cédait presque jamais. Certaines fois, sa façon d’être toujours là rassuré Ongwa. Dire si elle l’a aimé. Sûrement, comme elle son petit chat qui avait acquis un certain confort. Entre elle et son complice, c’était un animal qui ne manquait de rien.
Tout aurait bien pu se passer pendant longtemps. Vraiment longtemps. Sauf que les tempêtes sont parfois des plus cruelles. La confrérie est parfois dans des missions extérieures quand elles arrivent à elle. Elle était un peu plus âgée, à peine quelques années de plus après son test. Elle était un fier membre de sa section. Une section où elle pouvait briller. C'était celle de celui qui l’avait élevé. Bien sûr, il n’était pas le seul ancien qui confiait sa section à des personnes plus jeunes. Tout était question de confiance. Et la confiance de cet homme n’était pas facile à avoir. Ils étaient rares à l’avoir en dehors d’elle-même. Il y avait une autre femme et un homme dont Ongwa se méfiait. Et ça même son ami l’avait compris. S’il suivait son avis, jamais totalement, c’est en assemblant leurs différences qu’ils pouvaient briller. En dehors de cet endroit, ils avaient parfois l’air d’un couple. Un de ceux qui se dispute pour des broutilles.
Pendant cette tempête si particulière, Ugboelu ne mourra pas. Mais celui qu’elle nommait père, si. Son ami et collègue resta à ses côtés alors que c’était l’homme qui prit sa suite sans demander l’avis aux autres héritiers qui étaient deux héritières. La femme qui comme elle était lésée par cette prise de pouvoir vit l’occasion de nous prendre à part et de récupérer le post à cet opportuniste. Sauf qu’il était méfiant. Le seul un peu plus neutre, c’était le jeune homme.
« Je n’ai jamais voulu cette place de chef. Même si c’est tentant. Devenir entraîneur pour les jeunes recrues me suffit. Puis je les comprends beaucoup plus que certains. J’ai été un de ces enfants perdu… Je sais que toi, Ongwa, tu pourrais devenir cette cheffe dont nous avons besoin…
- Ugboelu… Tu mérites cette place, même si tu commençais mal. Tu as gagné ta place dans notre organisation.
- Je t’ai dit que je préfère être celui qui guide les nouvelles âmes. Et ne t’en fais pas. Je serai toujours là pour toi, Ongwa... »
La femme s’était interposée entre eux avant de fixer de façon méchante son partenaire. Elle expliqua son plan. Il était assez clair. Mais trahir la confrérie était trop dangereux. Elle ne se risquerait pas. Elle tenait à cette marque qu’elle cachait sous ses vêtements. Son camarade la suivait dans sa décision d’attendre et de voir.
Et ils ont vu. Vu cette déchirure entre les deux parties. Et sans l’arrivée des voyageurs d’autres terres, peut-être qu’elle serait soit morte, soit à la tête d’une branche de la confrérie. Sauf que cette tempête était forte. Touchant durement l’île, mais aussi les environs. Ongwa n’était pas habitué à voir des habitants d’une autre île venir ici. Ils étaient différents de ces commerçants un peu étranges en qui elle faisait que vaguement confiance. Une confiance vraiment faible. Même leur or ne semblait pas si beau. Comme si tout était faux. Les dégâts étaient des deux côtés, non seulement sur la plage, mais aussi sur la faune très localisée. Ce n’était pas aujourd’hui qu’elle retrouverait ce crabe un peu étrange au couleur violines. En tout cas, c’était une occasion pour eux de voir comment les choses allaient évoluer pour ces nouveaux venus. Pas sûr qu’ils adhèrent à ce que la confrérie représente. Mais garder un œil n’était pas si mal. On avait perdu trop de personnes lors de cette semaine infernale. Même elle avait perdu quelque chose. Quelques-uns de ses amis félins. Ces braves créatures avaient fait de leur mieux pour survivre à cette catastrophe. Elle s’occupa plus d’eux que de ces étranges gens. Sauf quand on lui demandait d’aller voir un d’entre eux. Ils avaient perdu des gens, eux aussi. Ce n’était pas étonnant en vrai.
Elle voit en ces gens beaucoup de crainte, parce qu’elle n’est pas sûre que leur arrivée pourra les aider ou non dans la confrérie. Au moins, ça apporterait une donnée supplémentaire dans leur contrat. Ceux qui leur était adressé. Un jour, ils s’habitueront au système de coquillages. Mais pas les premiers jours, les premières lunes, et peut-être jusqu’à la prochaine tempête, espérons que la prochaine sera moins dévastatrice.
C’est durant ce laps de temps qu’elle donna plus signe de vie. Une part d’elle lui dit qu’elle avait été éliminée par quelqu’un, mais avec toutes les méthodes qu’elle connaissait, elle ne trouvait pas le coupable. Soulagée, elle pouvait prendre la place de ce père. À ses côtés, son meilleur ami.
Si elle a dû se battre avec d’autres personnes pour la garder, au début oui. Mais c’était plus ses actions pour la confrérie qui confirmait plus que ses affrontements puérils. Elle ne prenait aucun plaisir à se battre comme ça. Pour diminuer leur nombre déjà restreint de membres. À quoi ça servait. Elle préférait que la confrérie continue de prospérer dans l’ombre. Pas qu’elle se déchire pour des choses comme cela.
La confrérie est faites de missions, il n’était que d’un seul côté. Celui qui les payait. Le camp qui les payait le plus avait leur aide. Seulement eux. Quand le conflit gronda dans les sous-sols, ils s’allièrent à la fois à la reine et son ennemi. Si bien que lorsqu'elle fut enlevée, ce n’était pas elle la responsable, ni personne qu’elle connaissait. En tant que jeune capitaine, certaines choses lui échappent. Mais elle est consciente que ce n’est pas un des siens qui a fait le coup. Sinon, elle l’aurait su. D’une manière ou d’une autre. Les étrangers, eux, tout le monde est suspect. La confrérie est une rumeur persistante. Alors, elle et d’autres font profil bas. Leurs services sont plus rares, mais assez pour se nourrir. C’était le but. Que la confrérie survive. Que ces événements puisse les aider dans leur entreprise. Ils seront l’ombre de toute émergence. Les agents de l’ombre. Chasseurs d’hommes, transporteurs de trésors et séducteurs à certaines heures.
La destruction du palais était tout, sauf prévue. Même si la reine avait ses défauts, elle était une certaine stabilité. Sans ça. Ils sont principaux suspects. Cette explosion n'est pas de leur fait. Ils sont parfois dans le sensationnel. Mais jamais à ce point. Sans compter sur les victimes collatérales chez les civils, chez les leurs. Oui, car certains des leurs ont été blessés dans cette action. Elle leur a rendu hommage, ainsi que d'autres de la confrérie. Une invitation silencieuse de voir d'autres possibilités dans leurs futures recrues.
Elle ne se souvenait de rien de ce voyage dans ses bras, ni de combien elle avait pleuré, mais elle avait entendu des milliers de fois ce moment où les gens de la confrérie n’avaient pas voulu d’elle. Trop bruyante. Trop jeune pour faire quelque chose de potable. Même aujourd’hui, elle ignore pourquoi cet homme l’a laissé entrer dans sa vie et celle de ce groupe. Mais elle l’en remercie. Prends soin de lui et s’occupe de sa retraite paisible. C’est tout ce qu’elle souhaite pour ce tuteur.
Elle n’était pas la seule jeune âme s’entraînant comme ils le pouvaient au combat à la dague. Bien sûr, elle s’est blessée, comme les autres jeunes enfants de la confrérie. Certains pleuraient après leur père ou mère. D’autres, comme elle, regardait un adulte avec une certaine fierté. Cette fierté qu’elle a bien du mal à étouffer dans ces premiers instants de vie. De ces moments où ils étaient formés. Et ce, dès leur plus jeune âge.
La patience des adultes était variable. Mais Ongwa était assez prudente pour ne pas la dépasser. Elle a vu certains de ces camardes râler. Certains ne revenaient plus jamais. Sans savoir pourquoi. Bien sûr, certains l’ont fait pleurer. Car elle apprenait avec eux. Avec ces jeunes enfants, de plus ou moins son âge. Mais les règles étaient faites pour être respectées. Celui qui les renie sera sévèrement puni. Obéir aux adultes enfant n’était pas compliqué pour elle et certains enfants.
C’est à l’adolescence que les choses se compliquèrent entre eux et aussi pour l’entraînement. À présent assez fort pour porter ses dagues et d’autres armes. Mais aussi assez mature pour supporter certaines choses. On leur demandait des petites missions internes pour la confrérie. Des choses à rapporter à certains, des lettres à transmettre, de s’entraîner durement aux armes pour jamais se retrouver au dépourvu. Tels étaient les choses quotidiennes.
Des jeunes qui comme elle, avaient suivi la formation. Certains se sentaient encore étrangers à tout ça. Que c’était trop. Peu de ceux qui demandaient leurs mamans et leurs papas ne purent faire de bons membres. Certains sortaient du lot. Trois d’entre eux en particulier. Une jeune femme à la peau un peu plus claire que la sienne. Un jeune homme aussi sombre que la nuit ou presque et le dernier, difficile à définir. Elle pensait par défaut qu’iel jouait de cette apparence.
Elle s’est approchée d’eux, sans vraiment savoir comment. Elle n’avait rien en commun avec eux. À part peut-être cette fidélité qu’il avait pour la confrérie. Mais elle se souvient parfaitement de ce moment où elle avait fini son entraînement à la lance. Ils s’étaient approchés et lui avait sauté dessus. S’en suivi une bagarre où la jeune femme s’était battue comme une lionne. C’est un peu près là qu’un de ces gars lui dit que ses cheveux formaient parfois des oreilles de fauves. Défaut qui pouvait la trahir pour une mission plus discrète. Elle tenta de le corriger. Car un membre de la confrérie se doit d’être discret. Il doit se faufiler dans l’ombre. Elle ne devait pas trahir l’espoir qu’avait son tuteur en elle. De faire d’elle sa digne successeure. Son héritière. Pour ça, elle devait prouver sa fidélité et son efficacité. Et pour ça. Sortir de cet entraînement et prendre une mission sérieuse. Même accompagnée. Qu’importe. Elle accomplirait son devoir. Car depuis petite, elle savait que son rôle était de voir du rouge comme du noir. Le sang, elle ne savait ce que ça ferait d’en voir en dehors de l’entraînement. C’était un test. Elle le surmonterait…
Sortir de cet endroit qu’elle avait nommait comme maison était un grand changement. Elle se souvient du sourire immense qu’avait fait le garçon et de ces mots. Il pourrait retrouver son vrai père et le tuer. Elle se souvient l’avoir regardé avec une interrogation dans le fond de ses pupilles. Les adultes à l’extérieur étaient aussi méchants que certains adultes envers eux ? Sûrement, au vu de son comportement. Où faisait-il une scène ? Une façon de faire de lui, un membre de la confrérie. Tout ça était inutile. Pas besoin de se mettre ainsi en avant. Il prouverait sa bonne foi lors de cette mission. Ils étaient surveillés par une personne plus âgée, mais elle n'agirait pas. Son regard trahissait sa grande expérience. Ongwa ne l’avait pas beaucoup vu. Mais elle se souvenait de la façon dont elle parlait des lames de couteau. Toujours aiguisé au moins d’un côté. Quand on garde un côté émoussé, c’était pour menacer. Toujours avoir un avantage sur son adversaire, qu’importe sa position. Ne dire à personne ce qu’on faisait de ces armes. Faire en sorte d’avoir ce qu’il faut sur soi.
Une cape accrochée à ses épaules, son regard perçant dirigé vers l’horizon. La mission était simple. Faire avouer quelque chose à une personne plus moins bien placée dans la politique. Faire en sorte que notre client soit la seule personne de confiance pour une autre. La manipulation des mots. Des choses dites par un individu. Ça semblait simple. Mais Ongwa sentait le piège. On ne leur confiait pas cette mission comme ça. C’était sûrement une fausse pour les tester. Si c’était un test. Elle ne ferait rien pour aider ses camarades.
La fille était là en train de laisser des traces de couteau sur la peau marron clair de la jeune femme. Elle ne l’avait jamais vue. Où faisait-elle partie de ces gens toujours cachés et masqués. Il y en avait toujours. Ça gardait l’anonymat, certes. Mais elle préférait compter sur son regard azur aussi dur que le diamant pour s’aider du mieux qu’elle pouvait. Cette confiance en ce sens était à la fois bonne et mal. Mais là, elle lui était utile. Sans elle, peut-être qu’elle serait plus là pour en parler.
La personne qu’ils devaient interroger était complètement muette. Et impossible de savoir ce qu’ils étaient venus chercher. Quelqu’un avait déjà conduit le silence. C’était du travail digne de leur organisation. La confrérie ne laissait que peu de place. Elle était moins bruyante que certains groupes de rebelles. Mais il ne fallait pas comparer l’incomparable. À ses yeux, confrérie n’avait que si peu de défauts. Si on oubliait cette idée d’enlever des enfants pleurnichards auprès de leurs parents. Peut-être, elle avait fait pareil. Même les orphelins pleuraient après leurs parents après tout. Elle ne pouvait pas totalement leur en vouloir.
Tout qu’ils récupèrent de cette intervention, c’était un dessin grossier d’un membre de la confrérie assez connu. Un membre qui comme de nombreux fantômes de l’organisation serait puni ou non. Tout dépendait de l’utilité de ce qu’il savait. Le retrouver était la seconde étape. La fille était écartée de ce test. Son instabilité n’était pas bonne. Il était bon d’être sûr de ces actions. Même si improviser était aussi un bon point, si c'était utilisé au bon moment. Elle n’avait pas encore le bon timing. Ses plans étaient souvent très construits dans l’ensemble. Avec son lot de plans d’urgence. Pour parer aux éventualités les plus évidentes. Après elle devait se débrouiller avec celle qui tombait.
Cela ne manqua pas pour cette épreuve, finir ce moment avait été douloureux, pour plus qu’elle. Car le jeune homme s’était battu et la fille était si blessée qu’elle serait dans une branche de la confrérie. Ongwa se souvenait des mots de ceux qui les avait soigné, de leur déception de les voir si abîmés avec une simple épreuve. Si elle devait remontrer ses capacités, elle ferait une épreuve chaque jour. Sauf qu’on la somma de ne pas bouger. Ou le moins possible. Elle s’occupa des petits animaux de ses aînés. Des oiseaux qui transportaient des messages secrets, des chats que certains gardaient pour avoir une compagnie pas trop envahissante. Même si elle trouvait plus pratique les premiers, ce sont les seconds qui ont été là pour elle le long de la réparation de ses nombreuses coupures.
L’épreuve suivante fut moins compliquée. Elle était seule ou presque toujours surveillé par les ceux qui avait fait de sa vie celle qu’elle avait. Une jeune femme avide de faire ses preuves, mais plus inspiré du chat. D’ailleurs, un trônait sur son épaule tout au long de sa mission. Il était si sombre qu’il se confondait avec sa chevelure. Il avait été un soutien sans borne. Si bien qu’elle le gardât autant possible à ses côtés.
Elle est encore jeune, elle doit prouver que sa place au sein de la confrérie, elle la méritait. Pendant, longtemps, elle fit un sacré duo avec le garçon avec lequel elle avait échoué son épreuve. Ugboelu était moins enthousiaste qu’elle pour certaines choses. Et plus pour d’autres. Il avait ce goût pour charmer toute personne à ses côtés même si ce n’était pas sa mission. Elle a été longtemps une cible pour ce jeune homme. Sauf qu’elle ne cédait presque jamais. Certaines fois, sa façon d’être toujours là rassuré Ongwa. Dire si elle l’a aimé. Sûrement, comme elle son petit chat qui avait acquis un certain confort. Entre elle et son complice, c’était un animal qui ne manquait de rien.
Tout aurait bien pu se passer pendant longtemps. Vraiment longtemps. Sauf que les tempêtes sont parfois des plus cruelles. La confrérie est parfois dans des missions extérieures quand elles arrivent à elle. Elle était un peu plus âgée, à peine quelques années de plus après son test. Elle était un fier membre de sa section. Une section où elle pouvait briller. C'était celle de celui qui l’avait élevé. Bien sûr, il n’était pas le seul ancien qui confiait sa section à des personnes plus jeunes. Tout était question de confiance. Et la confiance de cet homme n’était pas facile à avoir. Ils étaient rares à l’avoir en dehors d’elle-même. Il y avait une autre femme et un homme dont Ongwa se méfiait. Et ça même son ami l’avait compris. S’il suivait son avis, jamais totalement, c’est en assemblant leurs différences qu’ils pouvaient briller. En dehors de cet endroit, ils avaient parfois l’air d’un couple. Un de ceux qui se dispute pour des broutilles.
Pendant cette tempête si particulière, Ugboelu ne mourra pas. Mais celui qu’elle nommait père, si. Son ami et collègue resta à ses côtés alors que c’était l’homme qui prit sa suite sans demander l’avis aux autres héritiers qui étaient deux héritières. La femme qui comme elle était lésée par cette prise de pouvoir vit l’occasion de nous prendre à part et de récupérer le post à cet opportuniste. Sauf qu’il était méfiant. Le seul un peu plus neutre, c’était le jeune homme.
« Je n’ai jamais voulu cette place de chef. Même si c’est tentant. Devenir entraîneur pour les jeunes recrues me suffit. Puis je les comprends beaucoup plus que certains. J’ai été un de ces enfants perdu… Je sais que toi, Ongwa, tu pourrais devenir cette cheffe dont nous avons besoin…
- Ugboelu… Tu mérites cette place, même si tu commençais mal. Tu as gagné ta place dans notre organisation.
- Je t’ai dit que je préfère être celui qui guide les nouvelles âmes. Et ne t’en fais pas. Je serai toujours là pour toi, Ongwa... »
La femme s’était interposée entre eux avant de fixer de façon méchante son partenaire. Elle expliqua son plan. Il était assez clair. Mais trahir la confrérie était trop dangereux. Elle ne se risquerait pas. Elle tenait à cette marque qu’elle cachait sous ses vêtements. Son camarade la suivait dans sa décision d’attendre et de voir.
Et ils ont vu. Vu cette déchirure entre les deux parties. Et sans l’arrivée des voyageurs d’autres terres, peut-être qu’elle serait soit morte, soit à la tête d’une branche de la confrérie. Sauf que cette tempête était forte. Touchant durement l’île, mais aussi les environs. Ongwa n’était pas habitué à voir des habitants d’une autre île venir ici. Ils étaient différents de ces commerçants un peu étranges en qui elle faisait que vaguement confiance. Une confiance vraiment faible. Même leur or ne semblait pas si beau. Comme si tout était faux. Les dégâts étaient des deux côtés, non seulement sur la plage, mais aussi sur la faune très localisée. Ce n’était pas aujourd’hui qu’elle retrouverait ce crabe un peu étrange au couleur violines. En tout cas, c’était une occasion pour eux de voir comment les choses allaient évoluer pour ces nouveaux venus. Pas sûr qu’ils adhèrent à ce que la confrérie représente. Mais garder un œil n’était pas si mal. On avait perdu trop de personnes lors de cette semaine infernale. Même elle avait perdu quelque chose. Quelques-uns de ses amis félins. Ces braves créatures avaient fait de leur mieux pour survivre à cette catastrophe. Elle s’occupa plus d’eux que de ces étranges gens. Sauf quand on lui demandait d’aller voir un d’entre eux. Ils avaient perdu des gens, eux aussi. Ce n’était pas étonnant en vrai.
Elle voit en ces gens beaucoup de crainte, parce qu’elle n’est pas sûre que leur arrivée pourra les aider ou non dans la confrérie. Au moins, ça apporterait une donnée supplémentaire dans leur contrat. Ceux qui leur était adressé. Un jour, ils s’habitueront au système de coquillages. Mais pas les premiers jours, les premières lunes, et peut-être jusqu’à la prochaine tempête, espérons que la prochaine sera moins dévastatrice.
C’est durant ce laps de temps qu’elle donna plus signe de vie. Une part d’elle lui dit qu’elle avait été éliminée par quelqu’un, mais avec toutes les méthodes qu’elle connaissait, elle ne trouvait pas le coupable. Soulagée, elle pouvait prendre la place de ce père. À ses côtés, son meilleur ami.
Si elle a dû se battre avec d’autres personnes pour la garder, au début oui. Mais c’était plus ses actions pour la confrérie qui confirmait plus que ses affrontements puérils. Elle ne prenait aucun plaisir à se battre comme ça. Pour diminuer leur nombre déjà restreint de membres. À quoi ça servait. Elle préférait que la confrérie continue de prospérer dans l’ombre. Pas qu’elle se déchire pour des choses comme cela.
La confrérie est faites de missions, il n’était que d’un seul côté. Celui qui les payait. Le camp qui les payait le plus avait leur aide. Seulement eux. Quand le conflit gronda dans les sous-sols, ils s’allièrent à la fois à la reine et son ennemi. Si bien que lorsqu'elle fut enlevée, ce n’était pas elle la responsable, ni personne qu’elle connaissait. En tant que jeune capitaine, certaines choses lui échappent. Mais elle est consciente que ce n’est pas un des siens qui a fait le coup. Sinon, elle l’aurait su. D’une manière ou d’une autre. Les étrangers, eux, tout le monde est suspect. La confrérie est une rumeur persistante. Alors, elle et d’autres font profil bas. Leurs services sont plus rares, mais assez pour se nourrir. C’était le but. Que la confrérie survive. Que ces événements puisse les aider dans leur entreprise. Ils seront l’ombre de toute émergence. Les agents de l’ombre. Chasseurs d’hommes, transporteurs de trésors et séducteurs à certaines heures.
La destruction du palais était tout, sauf prévue. Même si la reine avait ses défauts, elle était une certaine stabilité. Sans ça. Ils sont principaux suspects. Cette explosion n'est pas de leur fait. Ils sont parfois dans le sensationnel. Mais jamais à ce point. Sans compter sur les victimes collatérales chez les civils, chez les leurs. Oui, car certains des leurs ont été blessés dans cette action. Elle leur a rendu hommage, ainsi que d'autres de la confrérie. Une invitation silencieuse de voir d'autres possibilités dans leurs futures recrues.
TAILLE : 1m79
CORPULENCE :Moyenne, un bon tour de hanche, une poitrine bien ferme et quelques muscles là où il faut.
CHEVEUX :Bruns décoloré en blond sur certaines pointes.
YEUX : Bleu comme l'océan
ORNEMENTS/MODIFS CORPORELLES : Elle a des bijoux doré sur elle, déjà une de ses mains qui devient aussi griffue qu'un félin sortant ses griffes, des boucles d'oreilles qu'elle selon ses désirs , un bijou triangulaire qui pend sur son ventre. Dans ces cheveux, ont peux remarquer des oreilles félines. Nul ne sait si elles fonctionnent comme telles ou si c'est purement décoratif. Le tatouage de la confrérie est bien caché sur elle, sur le haut de sa cuisse. Souvent masqué par ses vêtements
STYLE VESTIMENTAIRE : Les couleurs les plus discrètes possible pour son travail, sombres ou rouge.
AUTRE : Elle se maquille et généralement sa main griffues a un tatouage temporaire selon sa mission.
Si elle porte sur ses jambes élancées des bandes de tissus noir, c'est à la fois pour le style, pour le confort, mais aussi pour masquer certaines marques.
CORPULENCE :Moyenne, un bon tour de hanche, une poitrine bien ferme et quelques muscles là où il faut.
CHEVEUX :Bruns décoloré en blond sur certaines pointes.
YEUX : Bleu comme l'océan
ORNEMENTS/MODIFS CORPORELLES : Elle a des bijoux doré sur elle, déjà une de ses mains qui devient aussi griffue qu'un félin sortant ses griffes, des boucles d'oreilles qu'elle selon ses désirs , un bijou triangulaire qui pend sur son ventre. Dans ces cheveux, ont peux remarquer des oreilles félines. Nul ne sait si elles fonctionnent comme telles ou si c'est purement décoratif. Le tatouage de la confrérie est bien caché sur elle, sur le haut de sa cuisse. Souvent masqué par ses vêtements
STYLE VESTIMENTAIRE : Les couleurs les plus discrètes possible pour son travail, sombres ou rouge.
AUTRE : Elle se maquille et généralement sa main griffues a un tatouage temporaire selon sa mission.
Si elle porte sur ses jambes élancées des bandes de tissus noir, c'est à la fois pour le style, pour le confort, mais aussi pour masquer certaines marques.
Joué.e parRuruâge irlAh ça tu sauras que je suis le plus sympa des dinosaure