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Tout ce qui est précieux ne brille pas forcément.
Tap, tap, tap... le bruit de mes pas sur le sol terreux, rythmé par le battement de mon coeur dans mon thorax, me donne l'effet d'une mélodie privé. Ting tong... mes boucles d’oreille lourdes tintinnabule contre le bijoux de métal qui orne mes cheveux d'or et laisse visible mon visage au trait fins. Ffffff... le bruit de la brise légère dans les feuilles et le long de ma peau... frrrr... le froissement de mes étoffes contre leur semblable ou contre ma peau...
je ne parle que des bruits qui enivre mes sens, délaissant le bruit puissant et régulier de ceux qui s'entraîne. L'odeur salé et acre de leur sueur m'est portée par la brise, accompagné du doux parfum iodé de la mer, ou encore celui des fleurs. L'air est humide et lourde aujourd'hui et ma peau est grandement dévoilée et offerte a la caresse de l'air.
Je frisonne... J'ai avec moi un panier tressé par mes doigts, contenant des offrandes pour les autels des dieux. Pieuse, c'est ainsi que l'on pourrait me nommer... Mes pieds nues m'indique le changement entre le sol du village et celui plus humide du premier Autel... Iseda. Comme a mon habitude, je me place délicatement a genoux, souriant en chantant pour mon plaisir de ma voix haute perchée.
Je n'ai pas muer... et j'estime cela être une chance de par le son cristallin de ma voix. Je fais selon mes aises, ignorant qu'une autre que moi rejoins ce lieux de culte... Je dépose les pains aux fruits enroulé dans la feuille d'un bananier, mesurant chacun de mes gestes dans le but de ne rien laisser choir ou commettre une irrespectueuse maladresse.