« I wanna hide the truth, I wanna shelter you
But with the beast inside, there's nowhere we can hide, no matter what we breed, we still are made of greed, this is my kingdom come »

Anciens Parchemins

Le Grand Prêtre n'avait pas pipé mot, tout au juste haussé les sourcils quelques fois sous l'étonnement, la curiosité - l'envie d'en savoir plus. Quand ce confrère d'Imo l'avait appelé avec semblait-il une certaine urgence et surtout beaucoup de hâte, Thadas avait d'abord pensé qu'il s'était passé quelque chose de grave ou qu'un problème était survenu pendant les préparations des rituels pour les jours à venir. Il s'était donc présenté devant la demeure du dieu des connaissances, faisant un signe et communiquant une pensée respectueux à son égard avant d'y pénétrer à la suite du religieux paraissant excité et ma foi assez nerveux.
Si le regard du brun s'était tout d'abord fait sérieux en anticipation à la concentration qu'il lui faudrait pour résoudre le problème - quel qu'il soit -, il se détendit au fur et à mesure des explications du bonze d'Imo, ses ambres se teintant petit à petit d'un intérêt increvable.

Des bibliothèques secrètes ? Un savoir caché ? Dans des coins oubliés du palais ? Et en plus, il y a une récompense à clef, outre toutes ces richesses inavouées ? Mais c'était Noël ou quoi ? (au détail près que Thadas ne connaisse l'existence de cet événement chrétien, mais vous avez compris le portrait.)
Il ne fallait pas lui en dire plus pour que son esprit avide soit immédiatement accroché, prenant toutefois garde à rester assez pragmatique afin d'analyser chacun des dires de son homologue. Il enregistra tout, les yeux étincelant calmement alors qu'il avait nonchalamment posé ses paumes sur la table, puis fait l'acquisition de cette mystérieuse carte et été relâché en dehors du temple avec les encouragements ainsi que la confiance du prêtre d'Imo.

Voyons voir...




Et il lui fallait passer par la salle du trône. Cependant, vu l'agitation perpétuelle qui l'habite quand Oorun éclaire Egun, mieux valait patienter tant bien que mal qu'Oruko pose ses rayons rassérénants sur l'île.
Uh.
Ça va être dur, d'attendre. Mais bon, il rongerait son frein - après tout, il a plein de choses à régler aussi, et aussi intrigante cette affaire soit-elle, il faut qu'il les règle d'abord.

Quand viendrait l'Enfant-Lune, il pourrait disposer d'autant de temps qu'Il le lui permettrait pour enquêter de fond en comble sur cette histoire de parchemins. Pendant qu'il s'occupait de mettre en ordre les comptes des temples et de vérifier que rien ne manquait, de même que les quelques lettres de ses compères des quatre coins de l'île, il surprit son esprit d'ordinaire si ordonné en train de tenter une évasion sur d'autres sujets.
Et si ces bibliothèques renfermaient des connaissances sur le monde extérieur ? Si elles datent d'il y a quelques siècles.... Peut-être que les Ijobiens et les humains d'en-dehors.... Après tout, si le monde est tellement plus grand que cette île.... Ah, merde, il faudrait qu'il réponde à la lettre de Desgath, histoire de voir comment elle va, à Aisiki. Qu'est-ce qu'elle lui disait déjà dedans ?...

Hmmm. Pas bon. Son focus est quasiment totalement porté sur la carte qu'il a soigneusement laissée sur sa table à côté de quelques paperasses et bouquins holistiques qu'il avait récemment entamés simultanément.
Il se gratta la joue et jeta un regard à travers sa fenêtre.
Soupira.

Il reste encore quelques grains à s'échouer dans le sablier d'Akako....

Ce n'était pas exactement son genre d'être impatient de la sorte, n'empêche, ça commençait à lui brûler la peau, ce désir de savoir, de savoir tout, tout, tout ce que pouvaient bien cacher ces souterrains. Oh, il connaissait pas mal de voies et salles cachées du palais. Mais, de ces souterrains, jamais il n'en avait encore entendu parler.

Il tapota la table en bois du bout des doigts, sa main nonchalamment posée sur sa joue en dessous de ses yeux plissés un peu dans le vague. Il s'étira tranquillement, semblant comme se rappeler l'utilité de respirer quand on n'est pas un cadavre ambulant mais un être bien vivant, sursautant l'espace d'un instant.
Il ne faut pas mollir, il a encore du pain sur la planche avant de pouvoir se la couler douce.... ou de partir à l'aventure d'un savoir englouti par le temps.

L'excitation de l'action commençait à se diluer doucement avec son sang.

Il pouvait se le dire franchement, là : il avait hâte. Il avait l'impression de se sentir comme s'il avait vingt ouragans de nouveau, tout d'un coup. Quel brin de fraîcheur...
Fraîcheur...
Il se passa une main sur le visage quand le soudain souvenir de deux yeux dépareillés surgit sur le fond de ses rétines, à cette pensée rajeunissante.




Il se força à ressaisir des papiers pour les trier avec une efficacité jamais connue, occupant ses mains à la place de son esprit, puis se levant de sa chaise pour se diriger dans le coin de sa chambre dédié à la prière. Il s'installa sur les genoux, prenant de profondes et silencieuses inspirations, expirant très lentement tout en pointant son attention un à un sur ses muscles afin qu'ils soient détendus comme d'ordinaire.
L'encens aidant à ce que la mer de son esprit se fasse aussi lisse et calme que le revers d'un lac, il se mit à prier devant les effigies des différents dieux d'Ijoba et consacra le reste de la journée à méditer.


L'encens avait fini de fumer, s'était transformé en petits tas grisâtres. Ce sont les rayons de la lune qui, en passant par la fenêtre pour caresser le visage du religieux, l'incitèrent doucement à revenir dans son enveloppe, complètement apaisé et serein. Il rouvrit tranquillement les yeux, les mains restant jointes quelques instants encore puis se redressa lentement. Quelques étirements lui permirent de retrouver la souplesse habituelle de ses muscles et de ses articulations. Il prit une petite sacoche où il rangea entre autre la carte, réajustant les plis de ses habits.

Maintenant, direction la salle du trône.
Sans son bâton chantant, il était difficile de le repérer, se faisant aussi discret qu'un félin, mais il ne serait pas étonnant qu'il ne tombe sur quelques gardes en pleine patrouille - qu'est-ce qu'ils pourraient bien dire à un haut officier d'Ijoba ? Pas vraiment grand-chose, mais Thadas préférerait que les dieux lui évitent de se faire remarquer - surtout s'il a le malheur de tomber sur une certaine pipelette. C'est son aventure à lui cette nuit, il ne veut pas que quelqu'un d'autre vienne y fouiner.

Les rires de deux gardes résonnèrent plus loin dans le couloir et le bonze se colla contre le mur pour écouter s'ils se dirigeaient vers lui ou non. Il risqua un regard. Hmm. Ils sont dans les escaliers, il n'est pas impossible qu'ils croisent chemins. S'il le joue naturellement, ça passera crème. Le Grand Prêtre apprécia quand les deux gardes le saluèrent respectueusement en le laissant passer vers les escaliers d'un pas tranquille...
... puis fit demi-tour quand ils eurent disparus, reprenant le court itinéraire vers la salle du trône, arrivant bientôt devant ses portes.

Fiou.

Fiche par Sánsa ; sur Never-Utopia

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L’Épreuve de la Harpie

Oui mais non quoi. Maintenant, le voici en face de trois choix. Ou quatre, s'il décide d'abandonner maintenant..... sérieusement vous y avez cru ?! Lui, s'arrêter juste ici alors que l'aventure a à peine débuté ? Bande de fous ! Donc, je disais, trois choix. Le premier, qu'il exclut directement, était de passer par l'entrée principale - autant se ramener avec des percussions cérémonieuses et conter fleurette à toutes les courtisanes du palais en gueulant des poèmes à la Ulrich ! Il pourrait tenter de coincer les pans de bois avec quelque chose pour les empêcher de claquer, mais il y a peu de chances que cela fonctionne, les portes étant particulièrement lourdes elles auraient tôt fait de broyer un vulgaire morceau de bois placé pour cette entreprise. Et puis si quelqu'un passe par là et voit l'entrée entrouverte, ça va faire franchement louche et il ne veut pas de fouines dans ses pattes ! L'autre option est la chambre de la Reine..... mais franchement, même si à cette heure elle est probablement aux bains, il la respecte trop pour s'infiltrer dans ses appartements comme un vil truand. Quoique, peut-être qu'il pourrait profiter d'une vision plaisante en y allan-..... OUAIS NON.

Reste donc la dernière solution pour la quête des parchemins.
La dernière....... urrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrg. Urg. La bonne vieille mégère de cheffe-cuisinière, cette aigrie d'Umpheki. Un démon, cette bonne femme. Thadas n'arrive jamais à savoir si elle l'apprécie ou s'il lui fout les nerfs en boule à chaque fois qu'ils se croisent. Si vous demandiez ce que le Grand Prêtre pense d'elle en terme de dangerosité, il vous répondrait qu'Eke iel-même hésiterait probablement à deux fois avant de s'en prendre à la harpie. Vous savez qu'elle l'a déjà pourchassé avec un rouleau à pâtisserie à travers les cuisines parce que d'après elle il déconcentrait ses aides à venir les draguer intempestivement, lui interdisant d'y revenir tant qu'il n'aura pas décidé de changer de comportement ?! Grosse folle va. Grosse grosse folle. En plus, roh, ça va, c'est pas comme s'il était venu tous les jours en quête de melons frais hein !!
Mais, à côté de ça, s'il y a bien une chose sur laquelle ils sont raccords, c'est bien sur la qualité de ce qu'on met dans nos assiettes. Dès que Thadas tombe par hasard sur des recettes méconnues dans tous les ouvrages qu'il étudie, il ne manque jamais de venir les rapporter à Umpheki, aussi avide de les goûter que de les découvrir. Niveau culture et connaissances, il a l'impression qu'ils s'entendent plutôt bien.
Et puis ce n'est pas comme si Thadas était du genre à prendre son rôle à la légère,  ce qui lui permet d'éventuellement passer de "sale petit con" à "petit con" dans la tête de la cuistot ?

QUOI QU'IL EN SOIT, s'il devait passer par les cuisines pour atteindre discrètement la salle du trône, il préférait autant ne pas croiser chemins avec cette espèce de vieille peau. Il ne veut pas perdre de temps à parloter avec elle sur pourquoi il se trouve dans les cuisines au beau milieu de la nuit afin d'atteindre ladite salle. Et puis, il ne voudrait pas qu'elle aille dire à tout va qu'il y était cette nuit. Il pense avoir de quoi négocier son silence ainsi que son laisser-passer si nécessaire, mais en attendant, place à la discrétion.....

Le bonze fit quelques pas dans le sanctuaire du parchemin ridé - - sur la pointe des pieds, les sens aux aguets.

......

Voilà, tout doucement, comme ça....

...........

- Rrrrrrrrrmiaou ?

........

- RRRRRRR~...... rrrrrrrrrr ~

! .....




"Oh, putain."
Il pouvait pas trouver meilleur timing ce matou pour faire le bruit d'un moteur en éruption ? Mais c'est qu'en plus les sifflements impératifs de Thadas l'ont encouragé à continuer plus qu'à arrêter on dirait ! Rah mais quel con c'te bestiau, chut, chut, chuuuuuuuuuuuuuuuuut !
Thadas accéléra le pas, suivi de ses deux boulets poil- ...... ATTEND, Y'EN A DEUX MAINTENANT ?
Merde, merde, merde.

- RWWWWAAAAAOURWAOU ~ !
- RRRRRRRRRRrrrrrrrrrrrrrr, RRRRRRRRRRRRRRRRrrrrrrrr ~ !




La distance se rétrécissait, de même que le temps imparti pour être sauvé d'un interrogatoire des plus umphekiesques.

Dix mètres.......

Cinq mètres.................

Trois mètres..................

Deux mètres.......................................

Un mètre........................................

La main sur la poignée !!!........................................................................


Les deux chats détalèrent soudainement comme des poules paniquées dans des feulements indignés.


Thadas se retourna lentement, très, très lentement. Est-ce une goutte que je vois perler sur son front ?

"Oh, putain."

Fiche par Sánsa ; sur Never-Utopia

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Les serres de la sorcière

Okay, zen, il avait prévu cette situation. Ça l'emmerdait, mais il n'y avait pas de quoi s'agiter non plus. N'empêche que ces doigts autour de son poignet...... HHHHH il a vraiment l'impression d'avoir les serres d'une vieille corneille qui n'attend qu'une bonne excuse pour lui bouffer les yeux. Saloperie de mégère.

Tout un chacun sait que c'est Umpheki qui fait sa loi, dans son antre aromatisée. Et Thadas savait mieux que quiconque par expérience qu'être Grand Prêtre ne sauve pas du rouleau de pâtisserie si 1) on a fait de la merde en sa présence et si 2) on ne court pas assez vite face à cette vieille bique enragée. Purée, même Iku semble vouloir retarder au maximum le moment où elle viendra l'accompagner de l'autre côté... Non pas que Thadas lui souhaitât la mort, mais on s'accordera pour dire que vivre jusqu'à cet âge à Ijoba, c'est un peu de la sorcellerie tout de même. Umpheki serait-elle protégée par une quelconque divinité de l'acariâtreté ? Saloperie. Saloperie de saloperie.

Il va sans dire qu'il n'exprima aucune de ces pensées, se parant de cette assurance conférée par l'orgueil et sa nonchalance féline, décidant de se la jouer fine et parfaitement dans ses droits.... Il avait un petit plan, après tout. Il faudrait ensuite voir si les dieux lui prêteraient main forte ou si Umpheki est tellement puissante qu'elle a même réussi à les tenir en échec ; détendez-vous, ceci est une boutade.




Il lança volontairement un regard compatissant aux matous qui étaient revenus se frotter à ses jambes tout en zieutant sceptiquement la cuisinière, adoptant un bref moment une mine un peu dépitée à la terrible idée que la faim torde leurs mignons petits bidons. Héhéhé.... S'il peut la mettre dans sa poche en faisant une petite pique pour l'attendrir sans non plus s'engager en terrain glissant, c'est tout bénéf'. Hé, faut bien que ces andouilles de boules de poils compensent le fait qu'il se soit fait cramer par la vieille diablesse !! Faites-vous tout mignons voilà, c'est bien c'est bien.





Il prit une inspiration, agissant avec tellement de naturel qu'il serait difficile de percer la comédie à travers ses mots. Probablement parce qu'il joue tellement finement son jeu qu'il n'a même pas besoin de se brûler la langue avec des boniments à deux balles. Être franc sans révéler ses véritables intentions - la base pour tâter le terrain en zone ennemie tout en avançant doucement vers l'objectif final, à savoir la salle du trône. Du moins, mentalement là, puisque le brun ne bougeait pas pour l'instant, scrutant avec calme et sérieux Umpheki.





"Et le seul moment rien qu'à moi où je peux jouer aux érudits en quête d'un savoir perdu, vieille bourrique."
Là encore, avec sa voix posé et légèrement mielleuse - juste un peu, parce qu'il doutait qu'Umpheki n'arrive à se faire corrompre par quelques jolis clins d’œils et sourires charmeurs ; ce qu'elle veut, c'est surtout du concret et pas de tournage autour du pot, pas vrai ? - , ces pensées ne transparaissaient absolument pas à travers son attitude.





C'est alors qu'il aperçut le rat le plus gros de toute sa vie en train de se dandiner sur le dallage, non loin.





Les chats aussi fixaient le rongeur avec des yeux ronds comme s'ils n'y croyaient pas mais ne bougeaient pas, restant aux côtés de Thadas. Le rongeur ! Le rongeur. Le rongeur marchait pendant ce temps là d'un pas pataud, ses petites griffes raclant imperceptiblement le sol comme s'il ne se rendait pas compte des autres présences autour de lui, le cul dansant comme s'il était le propriétaire des lieux.
"Enfin !!"
Est-ce que les dieux lui envoyaient leur soutien ?! Face à Umpheki, ce ne serait pas de trop. Thadas jetait des regards entre elle, le rat pour l'instant inconscient jusqu'à ce qu'il se fasse peut-être poursuivre, et le duo de minets. Qu'allaient-ils tous trois faire ?

Ou plutôt, la vraie question : cela suffirait-il comme potentielle diversion pour échapper à la vigilance exacerbée de la harpie le temps de se faufiler dans la salle du trône sans être vu ?
La suite au prochain épisode

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La quête d'Imo

Euhh... Umpheki ? Il y a marqué Grand Prêtre sur son front, pas Grand Ménager. Si c'est en serrant les dents qu'il encaissa les répliques acides de la mégère, ces dernières se desserrèrent au point de laisser l'impression qu'elles flottaient lorsqu'elle s'en alla pour de bon.

Quelle plaie cette vieille bique. Si ce n'était pour sa cuisine exquise, il y a probablement longtemps qu'elle aurait été virée avec un tel caractère de chien. Quoiqu'avec ledit caractère, c'est avec respect et crainte qu'elle menait les cuisines d'une poigne de fer. Un mal pour un bien.
Thadas zieutait le torchon pendant que des bruits gloutons sourdaient de là où étaient passés les chats.

Elle n'a vraiment aucune race cette vieille folle. Puff, comme s'il allait s'emmerder à lui chercher ses recettes à la con... La seule satisfaction qu'il a de cette rencontre nocturne, c'est d'avoir pu lui parler indirectement du projet qui était né dans son esprit lorsqu'il avait vu Lou. C'était un échec, certes, mais au moins il avait ça en moins sur l'esprit.
Bon, l'échange culturel prendrait plus de temps que prévu. Tout le monde n'était pas aussi curieux que lui sur l'inconnu, semblait-il... En même temps, il pouvait comprendre sa méfiance.
Il comprenait surtout qu'il valait mieux éviter de discuter avec Umpheki si on ne voulait pas se prendre la tête.

La voie était libre, merci aux matous et paix au rat, il pouvait maintenant pénétrer dans la salle du trône.

L'atmosphère était différente, de nuit. Probablement parce qu'il n'y avait personne d'autre que lui.
Il ne perdit pas de temps et, vérifiant qu'il n'y avait en effet que son aura dans les environs, se dirigea immédiatement vers le trône, en quête du symbole d'Imo.




Il n'aurait qu'à cliquer et le passage se révélerait. Tout du moins, il l'espérait. Et si cet érudit avait tout faux, qu'il n'y avait rien à chercher au final ?
Thadas aurait franchement le gros, gros, gros seum si c'était le cas. Plus seum tu crèves.
Il n'y réfléchissait pas trop, concentrant plutôt son attention dans la recherche du symbole antique. Il devait se trouver là...

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