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Karah danse, oui ce n’est pas très joli, mais il veux ce sourire. Les larmes lui fendait le cœur. Donc il gardait son sourire doux malgré tout. Il prit la main de jeune garçon, à peine moins âgé que lui. Il ne savait pas trop comment on pouvait danser à deux. Alors, il improvisait. Doucement, il chantonnait une mélodie qui semblait venir de quelque part. Peut-être que l’artisan l’avait entendu. Ou simplement que c’était une imitation de nature en pleine action. Difficile à savoir.
« Il faut essayer Ephemer. »
Il disait en chantant ignorant même qu’il faisait entraînant ce garçon à retrouver son sourire. Il rit doucement.
« Raconte-moi une blague, peut-être que je riais. Je suis un bon public d’après mon meilleur ami. On se amené à se voir si tu vis près d’ici. Tant que je suis en apprentissage. Je serai ravi de trouver cette chose qui pourra donner un sourire quasi impérissable. Donc la danse, ça peut-être un bon passe-temps. Mais je pense que ce n’est pas ça qui pourrait convenir. Donc on va passer à la suite. »
Karah frotta ses cheveux avec affection. Il savait qu’il avait encore cette tristesse en lui. Donc il partait sur quelque chose de marrant.
« Donc je vais commencer, donc une blague… »
Il se mit à gratter son menton. Il ne pouvait pas lâcher sa meilleur blague pour le moment. Il la gardait pour la fin de spectacle. Si toutefois ce dernier fonctionnait. Il prenait une respiration. Il rit doucement.
« Tu connais l’histoire de l’armoire ? »
Karah laissait un moment le réflexion au jeune homme. Il sourit, déjà content de sa vanne. Il pouffa.
« Elle n’est pas commode... »
Et il éclata d’un rire. Ce genre de jeux de mots, il en était fan.
« C’est à ton tour, comme tu vois, je suis vraiment bon public... »
« Il faut essayer Ephemer. »
Il disait en chantant ignorant même qu’il faisait entraînant ce garçon à retrouver son sourire. Il rit doucement.
« Raconte-moi une blague, peut-être que je riais. Je suis un bon public d’après mon meilleur ami. On se amené à se voir si tu vis près d’ici. Tant que je suis en apprentissage. Je serai ravi de trouver cette chose qui pourra donner un sourire quasi impérissable. Donc la danse, ça peut-être un bon passe-temps. Mais je pense que ce n’est pas ça qui pourrait convenir. Donc on va passer à la suite. »
Karah frotta ses cheveux avec affection. Il savait qu’il avait encore cette tristesse en lui. Donc il partait sur quelque chose de marrant.
« Donc je vais commencer, donc une blague… »
Il se mit à gratter son menton. Il ne pouvait pas lâcher sa meilleur blague pour le moment. Il la gardait pour la fin de spectacle. Si toutefois ce dernier fonctionnait. Il prenait une respiration. Il rit doucement.
« Tu connais l’histoire de l’armoire ? »
Karah laissait un moment le réflexion au jeune homme. Il sourit, déjà content de sa vanne. Il pouffa.
« Elle n’est pas commode... »
Et il éclata d’un rire. Ce genre de jeux de mots, il en était fan.
« C’est à ton tour, comme tu vois, je suis vraiment bon public... »