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Rakel BrownUne citation
Histoire
Raconter ma vie, quelle drôle d’idée. Je ne suis pas assez vieille pour écrire une auto-biographie. James, qu’est que tu me fais faire encore. C’est toi qui m’a dit de le faire parce que tu voulais tout savoir sur moi. Je vais le faire. Laisse-moi juste quelques instants…
Tout a commencé à ma naissance, je suis né dans un hôpital comme nombreux enfants américain, un hôpital de Chicago. Je me suis toujours demandé ce que mes parents trouvaient à cette ville. Mais je me suis habitué à elle. En fait, j’ai appris à l’aimer. Quand j’étais enfant, j’avais peur souvent qu’on me fasse du mal. La ville est agitée, tu le sais bien. Mais je m’égare. J’étais un beau bébé, enfin, c’est ce que dit ma maman. Les mamans sont souvent émerveillées par leurs petits. Non, je n’aurais pas été pire si j’avais eu cette chance. James, je ne suis pas comme ça. Ce n’est pas parce que j’ai protégé envers et contre toi Dylan que je serai pire.
Quand j’étais petite fille, j’ai été souvent à la synagogue, le rabbin était un vieil homme dont les rides aux coins des yeux lui donnait un air souriant. Un homme bien que je trouvais son chapeau très drôle. Je sais à présent que c’est un couvre-chef assez courant dans la confession juive. Il était comme un deuxième père pour moi. Il disait souvent des choses justes, enfin quand il parlait en anglais. J’ai mis des années à comprendre le charabia. Tu n’arriverais pas à comprendre, même si je commencerai à t’expliquer. Tu n’as jamais eu beaucoup de patience pour apprendre des nouvelles langues. Dois-je te rappeler tes nombreuses tentatives d’apprendre de l’espagnol pour tenter de faire ton lover devant moi. Comme si ça servait à quelque chose… Tu finiras probablement fuyant derrière mon lancer précis d’objet divers. Tu sais que je ne te blesserai pas trop. Ce qui ne m'empêchera pas de t’égratigner la peau au passage. Je hais les dragueurs et tu le sais. Ça te rassurai quand d’autres me faisaient du rentre-dedans.
Quand je suis rentré à l’école, j’ai bien vite remarqué que la religion de ma famille n’était pas si répandue. Je me souviens de la tête de la cantinière qui a fini par me donner que des légumes. Apparemment cuisiner casher ne faisait pas partie de ses priorités. Heureusement qu’elle a pris sa retraite, cette vieille chouette, je n’imagine pas la tête qu’elle ferait avec les vegans ou les musulmans. J’ai appris beaucoup de choses à l’école, comme tous les enfants. Ai-je des amis ? Assez peu, mais ils m’étaient précieux. Si je peux te dire leurs prénoms. Pas tous, mais deux seulement, car ils m’ont suivi un moment dans ma vie. Adrien et Julia. Tu les connais très bien, Julia, c’était ma demoiselle d’honneur. Elle portait cette horrible robe jaune poussin qu’elle trouvait jolie. Je n’ai pas eu le cœur de lui dire qu’elle ressemblait à un bonbon dedans. Adrien, c’était l’homme qui a pris ma deuxième danse dans notre mariage. Maintenant, ça doit te faire tilt. Tu as une sacrée mémoire des visages, James.
Tu voudrais savoir si j’ai fait des bêtises ou j’ai été droite. Je dois te dire que j’ai fait des bêtises.
Un jour pour embêter une fille au visage constellé de taches de rousseur, j’ai son pot de colle contre du savon. J’avais huit ans, Adrien a bien ri, si bien qu’il a fini puni. Mais cette fille était insupportable. Même toi, tu l’aurais trouvé détestable. C’était le cliché de la reine des abeille version miniature. Jouer aux reines en école élémentaire… Je ne sais toujours pas ce qui lui a pris. Et je n’ai aucune envie de reprendre contact avec cette sale peste.
Mes autres bêtises, j’ai déjà jeté du papier toilettes sur une maison avec Julia et deux copines quand j’étais adolescente, Zoé et Helène. J’ai lu discrètement un livre pas conseillé pour mon âge dans le grenier de mes parents quand j’avais douze ans. Mais je ne pense pas te donner plus. Mes bêtises se sont vite trouvées lassantes pour moi. Si tu n'as jamais rencontré ces deux amies, c'était parce que la première est partie en europe avec un vieux riche et la deuxième. Je suis en frod avec depuis une histoire dont je te raconterai rien...
Ma mère dit souvent que je suis trop sérieuse, je voulais depuis mes six ans être policier, elle m’a dit que c’était un rêve de garçon à l’époque. Mais je n'en ai jamais démordu. Petite, je jouais jamais les voleurs. Je ne voyais pas l’intérêt d’imiter un criminel. Tu me diras sans doute que certains d’entre eux peuvent être intéressant. Sans doute, mais je ne suis pas comme toi. J’ai du mal à trouver fascinant des gens qui prennent un malin plaisir à tordre le cou de la loi. La loi… Mes collègues me manquent un peu. Je sais, je suis en vacances. Mais depuis cet accident..
Je reprends mon récit, donc je te raconter ce que tu voulais tant savoir, c’est-à-dire des détails croustillant sur ma vie avant toi, avec toi et tout ça. Ça doit te plaire de voir mes lignes te flatter. Oh, tu ne seras pas toujours sous ton meilleur jour. Crois-moi. Je vais parler d’anecdotes. Je pense qu’elles titilleront ta curiosité maladive.
J’ai appris à sept ans et six mois, à faire du vélo à deux-roues, mon père m’a poussé et je suis tombé. Pas découragé pour un sou, j’ai recommencé jusqu’à ce que je tienne sur cette fichue bicyclette. J’ai été si fière de rouler que j’ai fini par faire le tour de quartier et fini par manquer d’écraser Adrien qui avait des patins à roulettes. Il t’en parlera plus que moi. Il garde un souvenir presque impérissable de ce moment.
J’ai embrassé mon premier garçon à neuf ans, j’ai trouvé ça un peu dégouttant. Mais j’étais jeune. Pour voir, j’ai essayé avec une fille, c’était pareil. À l’époque, je ne comprenais pas pourquoi les adultes faisait ça dans les films. J’ai mis un temps pour comprendre. Tu es loin d’être la première personne qui a partagé ma vie, James. Mais tu es mon mari et unique mari. Je t’aime.
J’ai dû attendre mes douze ans pour avoir un animal, un lapin noir que j’ai nommé Chuwn, ça veut dire noir en hébreux. Mes parents étaient fiers que j’utilise l’hébreu malgré eux. J’avais retenu la plupart des leçons donné par le rabbin en cette langue. Pour respecter dieux, je devais prononcer les choses bien. Mes parents sont plutôt ouverts, voir libéraux dans la confession de foi. Ma bat-mitzvah était à cette époque. Je portais à l’époque une jolie robe bleu ciel. Ma mère a sûrement les photos de cette époque. Non, ce n’est pas d’elle que j’ai héritée de cette malédiction dont tu me crois victime, James.
Mon premier petit-ami, c’était Greg, un garçon sur lequel je flashais à l’époque. Je t’ai déjà avoué que j’aimais les ténébreux ? En tout cas, j’ai un faible pour les personnes aux cheveux foncés. Dont toi, mais tu le sais déjà. Sinon, je ne t'aurai pas laissé t’approcher. Quelle idée de me draguer comme tu l’a fait. Mais je ne suis pas encore à cette époque. Je suis à mes premiers émois amoureux, j’avais quatorze ans. J’avais déjà mes cheveux longs dont tu aimes tant balader tes mains dedans. On s’est embrassé et c’était mieux qu’à l'époque où j’étais enfant. Mais ce n’était pas ça. Il trouvait malin de fumer comme un pompier à son âge. Ça ne m'étonnerait même pas que cet homme maintenant à des soucis. Les études prouvent que c’est tout sauf bon pour la santé. Mais les taxes aide certains états à tenir. Par contre pour l’aide au plus démunis… Je sais que ce n’est pas le sujet, mais tu sais que j’ai de la peine pour eux.
Ensuite, j’ai cherché l’amour sans vraiment avoir une relation stable. C’est à seize ans que j’ai embrassé à nouveau une femme. C’était une fille avec qui j’étais en vacances. Une belle brune, je n’ai pu m’empêcher de m’approcher d’elle. Et de fil en aiguille, on est sorti ensemble tout l’été ; au grand dam de ma mère. Sa fille avait des tendances lesbienne. C’est que deux ans après que j’ai compris que j’étais bisexuelle. Faire mon coming-out n'a pas été simple pour moi. Mes parents sont de vrais amours...
Parlons-en un peu de mes cette année-là. La pire de toute, la reine du lycée faisait campagne pour être élue reine du bal de fin d’année. Normalement, j’aurai dû en avoir rien à faire. Sauf qu’Adrien m’a mise sur la liste. Moi, reine de lycée ? Bien lui et Julia étaient chef de ma campagne. J’étais désemparé. Je me suis demandé comment il avait réussi à faire de si belles affiches. Julia m’a dit qu’elle me prenait souvent en photo et Adrien se débrouillait pour faire des affiches. Tout ça pour me retrouver en face de la blondasse pétasse qui avait mis une robe rose cliché. J’avais opté pour une robe verte avec des inspirations asiatiques. Je la trouvais tellement belle que je m’en fichais bien que je n’avais pas la bonne ethnie pour la porter dignement. Tous les styles peuvent se mettre si ces derniers sont élégants. C’est toi qui me l’ a dit lors de notre troisième rendez-vous. J’ai cru alors que tu plaisantais, mais je portais un haut d’inspiration indienne. Donc, non, tu ne plaisantais pas. Merci de m’avoir rassurée. Je ne te dis jamais assez à quel point tu as été si précieux pour moi...
Je reviens au bal, j’ai gagné de peu, et j’ai dansé avec le roi du lycée, un abruti de sportif qui se prétendait irrésistible, mais avait un gros défaut, il avait les chevilles si enflées que j’étais tentée de lui mettre les talons aiguilles de Julia dans ses dernières. J’aurai tellement aimé… Mais elle en pinçait pour lui. Elle a le don pour tomber amoureuses des pires déchets de la Terre.
Je suis rentré à l’école de police, j’ai dû passer un test psychologique. J’ai jamais vu autant de questions. Quand je repense à ces questions, je parie que certaines questions t’auraient fait sourire. Ils sont vraiment un peu paranoïaques. Mais j’étais loin de m’imaginer que mon inspecteur était bien pire. Un vrai mufle, même Maugrey Foloeil n'est pas aussi parano...
Tu dois te demander quand j’ai pris Dylan sous mon aile protectrice, c’est un peu à la période où j’étais en train d’étudier pour devenir une bonne policière. Ce garçon était un de ses artistes incompris. Il a un vrai talent pour le dessin. Je suis toujours peiné de voir une de ses œuvres et sa signature. Je ne pouvais pas le laisser sans punition. Mais c’est un bon gamin. Vraiment, il a un don qui doit être exploité. Je suis sûr que s’il envoyait ses dessins à une maison d’édition spécialisé dans les comics. Il pourrait briller. J’en suis sûre. Il me fait penser à mon frère.
Je te parle peu de mon frère, c’est un original, il adore le rodéo, au point qu’il a fini par aller au Texas pour y vivre. Tu t’entendrais sûrement avec lui. Enfin, s’il vous vous rencontrez. Il a fini par renier toute la famille et vit sûrement avec une femme très clichée. Tu connais mes sœurs, elles sont spéciales, si tu détestes l’une, tu aimes bien la plus jeune. Je n’ai jamais compris pourquoi Nathalie est gentille pourtant, un peu superficielle, je sais. C’est pour ça que tu ne sais pas t’entendre avec elle. Tu as toujours un goût particulier niveau vestimentaire. Mais je trouve mignon. Enfin, sauf quand tu t’amuses à mettre des pulls encore plus moches pour une tradition apparemment à Noël. Même ma grand-mère ne tricote pas des choses aussi horribles… Mais si tu aimes Véronica, tant mieux.
C’est un an après que je t’ai rencontré. Tu étais mal parquée. Je devais te mettre cette contravention. Tu semblais si triste que j’ai dû partir très vite avant de manquer à mon devoir. Je ne pouvais pas avoir de la pitié pour toi. Je devais prouver à mes supérieurs que j’étais une policière vraiment efficace, les clichéssur les femmes tu sais... Bon, j’étais au plus bas niveau et j’avais des choses à apprendre par contre, j’ai appris un nombre de loi un peu stupides. Je me demandais bien à quoi ça pouvait servir. Mais les lois n’étaient pas toutes justes dans leur existence…
C’est qu’après avoir donné cette contravention, Dylan, il était accusé de trafic de drogue. Je savais qu’il fumait. Je lui déjà tiré les oreilles, mais je crois que cette saloperie qu’on nomme drogue aura un jour sa peau. Donc il l’avait sur lui et pas pour la vendre. Je te l’ai déjà dit. La justice l’a conduit dans une maison pour jeunes délinquants.
Je t’ai revu un mois et une semaine après, tu semblais avoir des soucis avec la roue de ta voiture. Je t’ai aidé. Je crois que c’est là que j savais que j’étais fichue. J’étais amoureuse de toi. Je ne pouvais pas te le dire.
Je me souviens du jour où tu as fait ton premier pas. Tu avais ce sourire que tu trouves charmeur, moi, je le trouve très drôle. C’est peut-être pour ça que je ne me suis pas méfié de toi. Tu m’as parlé, je sortais de mes heures de services, j’avais besoin d’un café. Tu m’as tendu le tien, il était infect. Quand je l’ai dit, tu as ri. Ton rire me manque James. Je vais te retrouver, même si pour ça, je dois être une anarchiste.
Je sais que tu aimerais que je te raconte plus mes aventures avec toi, mais… Je ne peux pas, ta présence à mes côtés étaient devenue si habituelle que j’ai l’impression qu’on a arrachée une partie de mon coeur en ce moment... Si tu te caches, je te frappe, après je te câlinerai. Mais s’il te plaît, reviens.
Je me souviens de ta réaction lorsque j’ai accepté la croisière après moult supplication de ta part. Tu étais si content. Tu étais comme un enfant. J’ai dû te retenir quelques fois de passer par-dessus bord. Quelle idée d’imiter Rose en hurlant comme Di Caprio. Je me suis senti si ridicule. Mais que pouvais te reprocher.Tu n’étais pas le premier à la faire, ni le dernier. Quand on a échoué sur cette île inconnue. Tu as voulu faire ton Robinson Crusoé, tu as tenté de sympathiser avec les gens d’ici, mais tu ne les avait pas trouvé à l'époque. Nous étions coupé de ce monde inconnu.
Où es-tu quand je vois ces gens avec des habits différents. Oh comme tu aurais aimé porter les vêtements des locaux. Certains sont gentils, d’autres moins. Je n’ai rien contre eux, certains sont mêmes adorables, de ce que j'ai pu en voir... Je sais ce que tu vas me dire, je me transforme en maman. On a jamais eu de chance pour avoir des enfants, James. Je crois que c'est moi ou la génétique le souci. Il faudra que je consulte, mais je n'ai pas envie de quitter la police, j'aime ce travail....
Je reste au camps la plupart du temps. Je veux tellement te revoir que je n'ai pas fait depuis années.J'ai osé bravé des règles. Tu fêterai ça avec du champagne... Je suis si droite à tes yeux? Mais je devais voir ce monde. Cet endroit que tu voulais tant voir sans l'avoir vu. tu le vois en ce moment James? Vois-tu ce magnifique coucher de soleil. J'aimerai tant m'endormir sur ton épaule en le regardant. je suis un peu cliché, mais j'en ai rêvé comme la plupart des filles.
J'ai peur de te rater en sortant donc je le fais que peu, surtout que les gardes sont aussi zélés que moi, voire plus. Si les gardes te retrouve, embrase-les de ma part. Je ne serai pas jalouse.
Enfin sauf s’ils te retiennent. Là, je pense que je me transforme en furie. Tu sais que quand je suis en colère. Il vaut mieux ne pas être mon ennemi. T'enlever fait partie de ces choses qui me fâche.
L’ouragan, ce fameux ouragan dans lequel tu as disparu… J’ai toujours tes vêtements, ton coteau suisse, ta bible et cette lettre de ton père qui te disais de profiter de ces vacances avec moi. Ton père… Que devrais lui dire si je ne te retrouve pas. Il ne me le pardonnera pas. James, fais pas le con, par pitié. Reste poli et suis-les juste. je n'ai pas très envie de jouer les infimières. Et ne me dis pas que c'est sexy, par pitié...
J’essuie mes larmes, je dois rester forte. Je dois voir ce que me veulent les gens d’ici. J’aide du mieux que je le peux ces personnes qui ont voyagé avec nous. Tu en connais certains James. Tu as même bu avec d’autres ou jouer au poker. Tu m’avais pourtant promis de ne pas le faire à nouveau. Toi et les jeux de cartes…
James, je t’aime… Je te retrouverai. Je te raconterai d’autres choses après promis, mais on m’attend pour retrouver quelqu’un... J'espère qu'on te retrouvera en route...
Tout a commencé à ma naissance, je suis né dans un hôpital comme nombreux enfants américain, un hôpital de Chicago. Je me suis toujours demandé ce que mes parents trouvaient à cette ville. Mais je me suis habitué à elle. En fait, j’ai appris à l’aimer. Quand j’étais enfant, j’avais peur souvent qu’on me fasse du mal. La ville est agitée, tu le sais bien. Mais je m’égare. J’étais un beau bébé, enfin, c’est ce que dit ma maman. Les mamans sont souvent émerveillées par leurs petits. Non, je n’aurais pas été pire si j’avais eu cette chance. James, je ne suis pas comme ça. Ce n’est pas parce que j’ai protégé envers et contre toi Dylan que je serai pire.
Quand j’étais petite fille, j’ai été souvent à la synagogue, le rabbin était un vieil homme dont les rides aux coins des yeux lui donnait un air souriant. Un homme bien que je trouvais son chapeau très drôle. Je sais à présent que c’est un couvre-chef assez courant dans la confession juive. Il était comme un deuxième père pour moi. Il disait souvent des choses justes, enfin quand il parlait en anglais. J’ai mis des années à comprendre le charabia. Tu n’arriverais pas à comprendre, même si je commencerai à t’expliquer. Tu n’as jamais eu beaucoup de patience pour apprendre des nouvelles langues. Dois-je te rappeler tes nombreuses tentatives d’apprendre de l’espagnol pour tenter de faire ton lover devant moi. Comme si ça servait à quelque chose… Tu finiras probablement fuyant derrière mon lancer précis d’objet divers. Tu sais que je ne te blesserai pas trop. Ce qui ne m'empêchera pas de t’égratigner la peau au passage. Je hais les dragueurs et tu le sais. Ça te rassurai quand d’autres me faisaient du rentre-dedans.
Quand je suis rentré à l’école, j’ai bien vite remarqué que la religion de ma famille n’était pas si répandue. Je me souviens de la tête de la cantinière qui a fini par me donner que des légumes. Apparemment cuisiner casher ne faisait pas partie de ses priorités. Heureusement qu’elle a pris sa retraite, cette vieille chouette, je n’imagine pas la tête qu’elle ferait avec les vegans ou les musulmans. J’ai appris beaucoup de choses à l’école, comme tous les enfants. Ai-je des amis ? Assez peu, mais ils m’étaient précieux. Si je peux te dire leurs prénoms. Pas tous, mais deux seulement, car ils m’ont suivi un moment dans ma vie. Adrien et Julia. Tu les connais très bien, Julia, c’était ma demoiselle d’honneur. Elle portait cette horrible robe jaune poussin qu’elle trouvait jolie. Je n’ai pas eu le cœur de lui dire qu’elle ressemblait à un bonbon dedans. Adrien, c’était l’homme qui a pris ma deuxième danse dans notre mariage. Maintenant, ça doit te faire tilt. Tu as une sacrée mémoire des visages, James.
Tu voudrais savoir si j’ai fait des bêtises ou j’ai été droite. Je dois te dire que j’ai fait des bêtises.
Un jour pour embêter une fille au visage constellé de taches de rousseur, j’ai son pot de colle contre du savon. J’avais huit ans, Adrien a bien ri, si bien qu’il a fini puni. Mais cette fille était insupportable. Même toi, tu l’aurais trouvé détestable. C’était le cliché de la reine des abeille version miniature. Jouer aux reines en école élémentaire… Je ne sais toujours pas ce qui lui a pris. Et je n’ai aucune envie de reprendre contact avec cette sale peste.
Mes autres bêtises, j’ai déjà jeté du papier toilettes sur une maison avec Julia et deux copines quand j’étais adolescente, Zoé et Helène. J’ai lu discrètement un livre pas conseillé pour mon âge dans le grenier de mes parents quand j’avais douze ans. Mais je ne pense pas te donner plus. Mes bêtises se sont vite trouvées lassantes pour moi. Si tu n'as jamais rencontré ces deux amies, c'était parce que la première est partie en europe avec un vieux riche et la deuxième. Je suis en frod avec depuis une histoire dont je te raconterai rien...
Ma mère dit souvent que je suis trop sérieuse, je voulais depuis mes six ans être policier, elle m’a dit que c’était un rêve de garçon à l’époque. Mais je n'en ai jamais démordu. Petite, je jouais jamais les voleurs. Je ne voyais pas l’intérêt d’imiter un criminel. Tu me diras sans doute que certains d’entre eux peuvent être intéressant. Sans doute, mais je ne suis pas comme toi. J’ai du mal à trouver fascinant des gens qui prennent un malin plaisir à tordre le cou de la loi. La loi… Mes collègues me manquent un peu. Je sais, je suis en vacances. Mais depuis cet accident..
Je reprends mon récit, donc je te raconter ce que tu voulais tant savoir, c’est-à-dire des détails croustillant sur ma vie avant toi, avec toi et tout ça. Ça doit te plaire de voir mes lignes te flatter. Oh, tu ne seras pas toujours sous ton meilleur jour. Crois-moi. Je vais parler d’anecdotes. Je pense qu’elles titilleront ta curiosité maladive.
J’ai appris à sept ans et six mois, à faire du vélo à deux-roues, mon père m’a poussé et je suis tombé. Pas découragé pour un sou, j’ai recommencé jusqu’à ce que je tienne sur cette fichue bicyclette. J’ai été si fière de rouler que j’ai fini par faire le tour de quartier et fini par manquer d’écraser Adrien qui avait des patins à roulettes. Il t’en parlera plus que moi. Il garde un souvenir presque impérissable de ce moment.
J’ai embrassé mon premier garçon à neuf ans, j’ai trouvé ça un peu dégouttant. Mais j’étais jeune. Pour voir, j’ai essayé avec une fille, c’était pareil. À l’époque, je ne comprenais pas pourquoi les adultes faisait ça dans les films. J’ai mis un temps pour comprendre. Tu es loin d’être la première personne qui a partagé ma vie, James. Mais tu es mon mari et unique mari. Je t’aime.
J’ai dû attendre mes douze ans pour avoir un animal, un lapin noir que j’ai nommé Chuwn, ça veut dire noir en hébreux. Mes parents étaient fiers que j’utilise l’hébreu malgré eux. J’avais retenu la plupart des leçons donné par le rabbin en cette langue. Pour respecter dieux, je devais prononcer les choses bien. Mes parents sont plutôt ouverts, voir libéraux dans la confession de foi. Ma bat-mitzvah était à cette époque. Je portais à l’époque une jolie robe bleu ciel. Ma mère a sûrement les photos de cette époque. Non, ce n’est pas d’elle que j’ai héritée de cette malédiction dont tu me crois victime, James.
Mon premier petit-ami, c’était Greg, un garçon sur lequel je flashais à l’époque. Je t’ai déjà avoué que j’aimais les ténébreux ? En tout cas, j’ai un faible pour les personnes aux cheveux foncés. Dont toi, mais tu le sais déjà. Sinon, je ne t'aurai pas laissé t’approcher. Quelle idée de me draguer comme tu l’a fait. Mais je ne suis pas encore à cette époque. Je suis à mes premiers émois amoureux, j’avais quatorze ans. J’avais déjà mes cheveux longs dont tu aimes tant balader tes mains dedans. On s’est embrassé et c’était mieux qu’à l'époque où j’étais enfant. Mais ce n’était pas ça. Il trouvait malin de fumer comme un pompier à son âge. Ça ne m'étonnerait même pas que cet homme maintenant à des soucis. Les études prouvent que c’est tout sauf bon pour la santé. Mais les taxes aide certains états à tenir. Par contre pour l’aide au plus démunis… Je sais que ce n’est pas le sujet, mais tu sais que j’ai de la peine pour eux.
Ensuite, j’ai cherché l’amour sans vraiment avoir une relation stable. C’est à seize ans que j’ai embrassé à nouveau une femme. C’était une fille avec qui j’étais en vacances. Une belle brune, je n’ai pu m’empêcher de m’approcher d’elle. Et de fil en aiguille, on est sorti ensemble tout l’été ; au grand dam de ma mère. Sa fille avait des tendances lesbienne. C’est que deux ans après que j’ai compris que j’étais bisexuelle. Faire mon coming-out n'a pas été simple pour moi. Mes parents sont de vrais amours...
Parlons-en un peu de mes cette année-là. La pire de toute, la reine du lycée faisait campagne pour être élue reine du bal de fin d’année. Normalement, j’aurai dû en avoir rien à faire. Sauf qu’Adrien m’a mise sur la liste. Moi, reine de lycée ? Bien lui et Julia étaient chef de ma campagne. J’étais désemparé. Je me suis demandé comment il avait réussi à faire de si belles affiches. Julia m’a dit qu’elle me prenait souvent en photo et Adrien se débrouillait pour faire des affiches. Tout ça pour me retrouver en face de la blondasse pétasse qui avait mis une robe rose cliché. J’avais opté pour une robe verte avec des inspirations asiatiques. Je la trouvais tellement belle que je m’en fichais bien que je n’avais pas la bonne ethnie pour la porter dignement. Tous les styles peuvent se mettre si ces derniers sont élégants. C’est toi qui me l’ a dit lors de notre troisième rendez-vous. J’ai cru alors que tu plaisantais, mais je portais un haut d’inspiration indienne. Donc, non, tu ne plaisantais pas. Merci de m’avoir rassurée. Je ne te dis jamais assez à quel point tu as été si précieux pour moi...
Je reviens au bal, j’ai gagné de peu, et j’ai dansé avec le roi du lycée, un abruti de sportif qui se prétendait irrésistible, mais avait un gros défaut, il avait les chevilles si enflées que j’étais tentée de lui mettre les talons aiguilles de Julia dans ses dernières. J’aurai tellement aimé… Mais elle en pinçait pour lui. Elle a le don pour tomber amoureuses des pires déchets de la Terre.
Je suis rentré à l’école de police, j’ai dû passer un test psychologique. J’ai jamais vu autant de questions. Quand je repense à ces questions, je parie que certaines questions t’auraient fait sourire. Ils sont vraiment un peu paranoïaques. Mais j’étais loin de m’imaginer que mon inspecteur était bien pire. Un vrai mufle, même Maugrey Foloeil n'est pas aussi parano...
Tu dois te demander quand j’ai pris Dylan sous mon aile protectrice, c’est un peu à la période où j’étais en train d’étudier pour devenir une bonne policière. Ce garçon était un de ses artistes incompris. Il a un vrai talent pour le dessin. Je suis toujours peiné de voir une de ses œuvres et sa signature. Je ne pouvais pas le laisser sans punition. Mais c’est un bon gamin. Vraiment, il a un don qui doit être exploité. Je suis sûr que s’il envoyait ses dessins à une maison d’édition spécialisé dans les comics. Il pourrait briller. J’en suis sûre. Il me fait penser à mon frère.
Je te parle peu de mon frère, c’est un original, il adore le rodéo, au point qu’il a fini par aller au Texas pour y vivre. Tu t’entendrais sûrement avec lui. Enfin, s’il vous vous rencontrez. Il a fini par renier toute la famille et vit sûrement avec une femme très clichée. Tu connais mes sœurs, elles sont spéciales, si tu détestes l’une, tu aimes bien la plus jeune. Je n’ai jamais compris pourquoi Nathalie est gentille pourtant, un peu superficielle, je sais. C’est pour ça que tu ne sais pas t’entendre avec elle. Tu as toujours un goût particulier niveau vestimentaire. Mais je trouve mignon. Enfin, sauf quand tu t’amuses à mettre des pulls encore plus moches pour une tradition apparemment à Noël. Même ma grand-mère ne tricote pas des choses aussi horribles… Mais si tu aimes Véronica, tant mieux.
C’est un an après que je t’ai rencontré. Tu étais mal parquée. Je devais te mettre cette contravention. Tu semblais si triste que j’ai dû partir très vite avant de manquer à mon devoir. Je ne pouvais pas avoir de la pitié pour toi. Je devais prouver à mes supérieurs que j’étais une policière vraiment efficace, les clichéssur les femmes tu sais... Bon, j’étais au plus bas niveau et j’avais des choses à apprendre par contre, j’ai appris un nombre de loi un peu stupides. Je me demandais bien à quoi ça pouvait servir. Mais les lois n’étaient pas toutes justes dans leur existence…
C’est qu’après avoir donné cette contravention, Dylan, il était accusé de trafic de drogue. Je savais qu’il fumait. Je lui déjà tiré les oreilles, mais je crois que cette saloperie qu’on nomme drogue aura un jour sa peau. Donc il l’avait sur lui et pas pour la vendre. Je te l’ai déjà dit. La justice l’a conduit dans une maison pour jeunes délinquants.
Je t’ai revu un mois et une semaine après, tu semblais avoir des soucis avec la roue de ta voiture. Je t’ai aidé. Je crois que c’est là que j savais que j’étais fichue. J’étais amoureuse de toi. Je ne pouvais pas te le dire.
Je me souviens du jour où tu as fait ton premier pas. Tu avais ce sourire que tu trouves charmeur, moi, je le trouve très drôle. C’est peut-être pour ça que je ne me suis pas méfié de toi. Tu m’as parlé, je sortais de mes heures de services, j’avais besoin d’un café. Tu m’as tendu le tien, il était infect. Quand je l’ai dit, tu as ri. Ton rire me manque James. Je vais te retrouver, même si pour ça, je dois être une anarchiste.
Je sais que tu aimerais que je te raconte plus mes aventures avec toi, mais… Je ne peux pas, ta présence à mes côtés étaient devenue si habituelle que j’ai l’impression qu’on a arrachée une partie de mon coeur en ce moment... Si tu te caches, je te frappe, après je te câlinerai. Mais s’il te plaît, reviens.
Je me souviens de ta réaction lorsque j’ai accepté la croisière après moult supplication de ta part. Tu étais si content. Tu étais comme un enfant. J’ai dû te retenir quelques fois de passer par-dessus bord. Quelle idée d’imiter Rose en hurlant comme Di Caprio. Je me suis senti si ridicule. Mais que pouvais te reprocher.Tu n’étais pas le premier à la faire, ni le dernier. Quand on a échoué sur cette île inconnue. Tu as voulu faire ton Robinson Crusoé, tu as tenté de sympathiser avec les gens d’ici, mais tu ne les avait pas trouvé à l'époque. Nous étions coupé de ce monde inconnu.
Où es-tu quand je vois ces gens avec des habits différents. Oh comme tu aurais aimé porter les vêtements des locaux. Certains sont gentils, d’autres moins. Je n’ai rien contre eux, certains sont mêmes adorables, de ce que j'ai pu en voir... Je sais ce que tu vas me dire, je me transforme en maman. On a jamais eu de chance pour avoir des enfants, James. Je crois que c'est moi ou la génétique le souci. Il faudra que je consulte, mais je n'ai pas envie de quitter la police, j'aime ce travail....
Je reste au camps la plupart du temps. Je veux tellement te revoir que je n'ai pas fait depuis années.J'ai osé bravé des règles. Tu fêterai ça avec du champagne... Je suis si droite à tes yeux? Mais je devais voir ce monde. Cet endroit que tu voulais tant voir sans l'avoir vu. tu le vois en ce moment James? Vois-tu ce magnifique coucher de soleil. J'aimerai tant m'endormir sur ton épaule en le regardant. je suis un peu cliché, mais j'en ai rêvé comme la plupart des filles.
J'ai peur de te rater en sortant donc je le fais que peu, surtout que les gardes sont aussi zélés que moi, voire plus. Si les gardes te retrouve, embrase-les de ma part. Je ne serai pas jalouse.
Enfin sauf s’ils te retiennent. Là, je pense que je me transforme en furie. Tu sais que quand je suis en colère. Il vaut mieux ne pas être mon ennemi. T'enlever fait partie de ces choses qui me fâche.
L’ouragan, ce fameux ouragan dans lequel tu as disparu… J’ai toujours tes vêtements, ton coteau suisse, ta bible et cette lettre de ton père qui te disais de profiter de ces vacances avec moi. Ton père… Que devrais lui dire si je ne te retrouve pas. Il ne me le pardonnera pas. James, fais pas le con, par pitié. Reste poli et suis-les juste. je n'ai pas très envie de jouer les infimières. Et ne me dis pas que c'est sexy, par pitié...
J’essuie mes larmes, je dois rester forte. Je dois voir ce que me veulent les gens d’ici. J’aide du mieux que je le peux ces personnes qui ont voyagé avec nous. Tu en connais certains James. Tu as même bu avec d’autres ou jouer au poker. Tu m’avais pourtant promis de ne pas le faire à nouveau. Toi et les jeux de cartes…
James, je t’aime… Je te retrouverai. Je te raconterai d’autres choses après promis, mais on m’attend pour retrouver quelqu’un... J'espère qu'on te retrouvera en route...
La deuxième chose que j'ai remarqué chez elle, c'est son côté protecteur. J'ai cru un moment qu'elle allait me décapiter parce que son protégé disait de choses fausses à mon propos. Un garnement qui ne m'aimait pas beaucoup et pour cause. J'avais gâcher sa blague, ce mini-cloporte a fini par être puni par le karma. Cheh. J'ai cru qu'elle était juste protectrice, mais l'avenir m'indiqua que c'était pire. C'est une maman ourse.
La chose suivante que j’ai observé, c’est sa façon de dire les choses. Elle est franche, mais incisive. Mon cœur s’est brisé quand elle m’a dit qu’elle ne sortirait pas avec un plouc avec une chemise hawaïenne. Mais elle est parfaite cette chemise. Pas du tout kitsch, c’est faux !
Ensuite est venu ce détail, c’est que c’est une passionnée, elle en sait un bout sur son travail et les armes. Elle sait faire des nœuds. Je n’ai pas été surpris quand elle m’a dit qu’elle a été scout. Débrouillarde. Je peux le dire aussi.
Par contre, ne jamais lui confier appareil photo, plus jamais. Mon précieux appareil n’est plus. Brisé entre ses mains. Monstre. Plus jamais je lui confie ce genre d’appareil.
Elle est tellement merveilleuse, j’ai cru qu’elle me frapperai quand je lui ai parlé d’une actrice, mais non. Elle m’a parlé pendant une demi-heure, j’ai chronométré presque. Et elle m’a dit que regarder n’avait rien de mal. Elle-même le faisait avec les hommes et les femmes. Par contre quand j’ai osé proposé un plan à trois… J’ai du éviter un tir plutôt bien placer au dessus de ma tête. Je me souviens mot pour mot ces mots à cet instant. Plus jamais je ne dirai une chose pareille. Je tiens à la vie !
Plus doué en sucré qu’en salé, oh elle se débrouille derrière les fourneaux, mais ces gâteaux sont toujours un succès. Mon gâteau d’anniversaire était si bon que j’en ai repris trois fois.
Pendant ses jours de repos, elle prends soin de son arme. Je n’ai pas osé touché les pièces, mais elle sait remonter cet engin comme si rien n’était. Mais ce n’est pas la seule chose qu’elle fait, elle dessine, souvent de fleurs et des arbres. Elle répare ses vêtement, recouds mon pantalon, ce que je l’aime cette femme.
Ce qui m’a surpris plus d’une fois, c’est sa mémoire. Elle a fini par en savoir plus que moi sur ma religion que moi-même à force d’écouter les autres. J’ai beau être catholique protestant, je suis soufflé par ses savoirs sur cette culture pourtant un peu éloigné de la sienne. Ses parents sont juifs, mais ils ne sont pas méchants, un peu déçu que je ne suis pas de leur confession. Sinon je l’ai déjà surpris chanter une chanson qui était passé à la radio dans la semaine. Elle passait la serpillière en chantant, elle est trop mignonne.
TAILLE :1m68
CORPULENCE : Moyenne
CHEVEUX : Blonds qu'elle attache régulièrement et qui peuvent bouclé après s'être douchée. Ou sous la pluie...
YEUX : Bruns
ORNEMENTS/MODIFS CORPORELLES : Boucle d'oreilles, ça compte?
STYLE VESTIMENTAIRE : Classique de manière générale, ce qui l'empêche d'avoir emporter deux robes de soirée absolument magnifique. Une noire avec brodés sur les pans des parles argentées et rouge qui fait un superbe dénudé sr son tatouage
AUTRE : A un tatouage qui recouvre tout son dos, il représente un espèce d'arbre aux branches multiples sur lequel est posé diverses choses. Elle porte une alliance on or sur laquelle est gravée à l'intérieur le nom de son mari.
Tu peux éventuellement ajouter une partie rédigée !
CORPULENCE : Moyenne
CHEVEUX : Blonds qu'elle attache régulièrement et qui peuvent bouclé après s'être douchée. Ou sous la pluie...
YEUX : Bruns
ORNEMENTS/MODIFS CORPORELLES : Boucle d'oreilles, ça compte?
STYLE VESTIMENTAIRE : Classique de manière générale, ce qui l'empêche d'avoir emporter deux robes de soirée absolument magnifique. Une noire avec brodés sur les pans des parles argentées et rouge qui fait un superbe dénudé sr son tatouage
AUTRE : A un tatouage qui recouvre tout son dos, il représente un espèce d'arbre aux branches multiples sur lequel est posé diverses choses. Elle porte une alliance on or sur laquelle est gravée à l'intérieur le nom de son mari.
Tu peux éventuellement ajouter une partie rédigée !
PseudoRuruÂge irlDevine 8D