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Karah était déterminé, quand bien même il n’oubliait pas sa présence dans ces lieux et pourquoi il y était. Illégal ou non, il devait conclure pour se rendre plus légitime. Il n’avait voulu vexer personne en vendant ses sculptures. Vu le temps qu’il y passait, sa passion était devenu un moyen de vivre correctement sans trop en demander à son père. Quand bien il lui devait quelque chose.
Les clients étaient contents qu’il revient à eux seuls. Généreux, il vendait ses créations pas très cher. Il connaissait pas les prix qu’il pouvait demander. Oh, il avait vu les autres vendeurs, mais il n’allait pas pratiquer le même genre de tarif, peut-être qu’il avait moins de travail dans ce qu’il faisait. Il ne savait pas depuis combien temps les artistes étaient là. Certains devaient être là depuis longtemps. Et le jeune homme pensait ne pas faire le poids face à cette expérience qui lui manquait parfois. Il vendit sa première création, un peu nerveux, toujours les mots de la dame en tête. Il ferait de son mieux pour se montrer à la hauteur.
Quand vint la seconde vente, il demanda un peu plus, devait-il payer cette formation. Il avait appris le plus gros tout seul. Car il n’avait pas pu choisir bien à l’époque où on l’enseignait. Il testait tellement de choses que même son père en avait eu marre. Il sourit à son client pour faire face au dernier qu’il s’accordait. C’était une jolie demoiselle. Pour peu, il aurait pu tenter de lui plaire, mais il avait d’autres préoccupations. Karah se concentra sur ce qu’il devait faire. Il parla de façon normale à cette demoiselle. Son meilleur ami lui dirait sûrement qu’il ratait là une occasion en or. Mais il n’était pas là pour avoir une personne à aimer. Il était là pour commercer. Donc il finissait par conclure avec une certaine fermeté, quand bien même elle était jolie, il n’avait pas cédé.
Contet, il rangea le tout avec soin. Il ne devat pas abimer trop ce qui lui restait. Ça pouvait encore se vendre. Ces créations étaient des bouts de lui qui voyageait. Il trouvait beau comme pensées. Il rit doucement, plongé dans son rangement. Il avait fini de remballer quand la dame revint à lui. Il la fixa alors qu’elle lui posait quelques questions. Il gonfla les joues. Il savait des choses, il n’était pas si ignorant.
« Ce que je sais ? Je sais que c’est un territoire parmi d’autre de l’île. Je sais aussi que c’est ici que se concentre la plupart des artistes. Mon père ne m’a peut-être pas appris le fonctionnement du village. Sûrement parce qu’il croyait que je serai peu attentif. Je suis parfois dans mon monde, il est vrai. Mais c’est surtout quand je sculpte. Il faut vraiment quelque chose pour m’interrompre, une blague, le rire de mon meilleur ami et mon manque d’énergie. Ce n’est pas de simples toussotements qui attirons l’attention. Ce que je sais à présent c’est qu’il y a une guilde, et si mon commerce n’est pas digne de ce nom. Il en sera bientôt. Toutes ces créations mérite un nouveau toit. Je sais aussi qu’il y a d’autres commerces, certains vendeurs sont plutôt gentils. Êtes-vous satisfaite de ma réponse ? Ou déçue ? »
Karah n’allait pas lâcher l’affaire, et c’était sûrement ça ce qu’elle voulait. Seulement le jeune homme ne savait pas dans quoi il s’embarquait… C’était peut-être mieux comme ça. Tout ce qu’il apprenait, il essayait de le retenir. Ça pouvait toujours être utile.
Les clients étaient contents qu’il revient à eux seuls. Généreux, il vendait ses créations pas très cher. Il connaissait pas les prix qu’il pouvait demander. Oh, il avait vu les autres vendeurs, mais il n’allait pas pratiquer le même genre de tarif, peut-être qu’il avait moins de travail dans ce qu’il faisait. Il ne savait pas depuis combien temps les artistes étaient là. Certains devaient être là depuis longtemps. Et le jeune homme pensait ne pas faire le poids face à cette expérience qui lui manquait parfois. Il vendit sa première création, un peu nerveux, toujours les mots de la dame en tête. Il ferait de son mieux pour se montrer à la hauteur.
Quand vint la seconde vente, il demanda un peu plus, devait-il payer cette formation. Il avait appris le plus gros tout seul. Car il n’avait pas pu choisir bien à l’époque où on l’enseignait. Il testait tellement de choses que même son père en avait eu marre. Il sourit à son client pour faire face au dernier qu’il s’accordait. C’était une jolie demoiselle. Pour peu, il aurait pu tenter de lui plaire, mais il avait d’autres préoccupations. Karah se concentra sur ce qu’il devait faire. Il parla de façon normale à cette demoiselle. Son meilleur ami lui dirait sûrement qu’il ratait là une occasion en or. Mais il n’était pas là pour avoir une personne à aimer. Il était là pour commercer. Donc il finissait par conclure avec une certaine fermeté, quand bien même elle était jolie, il n’avait pas cédé.
Contet, il rangea le tout avec soin. Il ne devat pas abimer trop ce qui lui restait. Ça pouvait encore se vendre. Ces créations étaient des bouts de lui qui voyageait. Il trouvait beau comme pensées. Il rit doucement, plongé dans son rangement. Il avait fini de remballer quand la dame revint à lui. Il la fixa alors qu’elle lui posait quelques questions. Il gonfla les joues. Il savait des choses, il n’était pas si ignorant.
« Ce que je sais ? Je sais que c’est un territoire parmi d’autre de l’île. Je sais aussi que c’est ici que se concentre la plupart des artistes. Mon père ne m’a peut-être pas appris le fonctionnement du village. Sûrement parce qu’il croyait que je serai peu attentif. Je suis parfois dans mon monde, il est vrai. Mais c’est surtout quand je sculpte. Il faut vraiment quelque chose pour m’interrompre, une blague, le rire de mon meilleur ami et mon manque d’énergie. Ce n’est pas de simples toussotements qui attirons l’attention. Ce que je sais à présent c’est qu’il y a une guilde, et si mon commerce n’est pas digne de ce nom. Il en sera bientôt. Toutes ces créations mérite un nouveau toit. Je sais aussi qu’il y a d’autres commerces, certains vendeurs sont plutôt gentils. Êtes-vous satisfaite de ma réponse ? Ou déçue ? »
Karah n’allait pas lâcher l’affaire, et c’était sûrement ça ce qu’elle voulait. Seulement le jeune homme ne savait pas dans quoi il s’embarquait… C’était peut-être mieux comme ça. Tout ce qu’il apprenait, il essayait de le retenir. Ça pouvait toujours être utile.