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LEXIE WILSON« Si quelqu'un t'a offensé, ne cherche pas à te venger. Assieds-toi au bord de la rivière et bientôt tu verras passer son cadavre. »
Histoire
Je m’appelle Lexie Wilson, je suis née le 28 mai 2000 (18 ans) à Overland Park dans le Kansas, et je mesure 1 mètre 70.
A l’âge de 15 ans, j’ai été contrainte de déménager chez ma grand-mère à Miami en Floride. Je déteste cette ville parce qu’il y a trop de monde et que moi, je n’aime pas les gens. Enfin bref, j’ai déménagé car mes parents et mon frère sont décédés lorsqu’ils sont partis dans un parc d’attraction. La nacelle de leur manège, située à 10 mètres de haut, a été projetée au sol. Ma mère est morte sur le coup tandis que mon père et mon frère ont soufferts 3 jours avant de succomber à leurs blessures.
Et moi ? J’ai refusé de venir car je n’aimais pas les fêtes foraines. Alors maintenant, je suis seule face à ce mode qui me fait si peur.
Seulement quelques jours après l’accident, ma grand-mère vivant à Miami a accepté de devenir ma tutrice légale à la condition que je paye moi-même mes 3 années de lycée. Je n’ai pas eu le choix… Ma grand-mère, c’est ce qu’on pourrait appeler une joueuse compulsive, le Casino c’est tous les soirs et de temps en temps, elle ramène des hommes à la maison, des hommes beaucoup plus jeunes qu’elle, certains doivent avoir mon âge.
Enfin bref, comme je le disais, il fallait que je me trouve un travail pour me permettre de payer mes études seule…. J’ai postulé dans certaines boutiques de vêtements mais ça n’a jamais abouti à cause de ma timidité maladive. Du coup j’ai décidé de poser pour des magazines de cosplay.
La photo est une de mes passions (plus tard j’aimerai être mannequin) et elle me permet de mieux m’accepter physiquement car j’ai quelques formes et personne ne m’a jamais appris à m’accepter en tant que femme. Ma seconde passion dans la vie c’est la cuisine. J’ai dû apprendre moi-même, mais aujourd’hui, je me débrouille et j’aimerai en faire mon métier.
Ce que j’aime aussi c’est le camping. Être proche de la nature, j’adore ça. Je le tiens de mon père, comme lui, je suis autonome, indépendante et solitaire.
Bref, je n’ai jamais eu beaucoup d’amis et c’est aussi pour ça que je ne voulais pas déménager. En effet j'ai laissé derrière moi mon seul et unique ami Cameron. D’ailleurs, peu après mon départ, ce dernier m’a fait une déclaration digne des meilleurs films romantiques en me disant qu’il ne pourrait pas survivre sans moi etc… je pense que lui et moi aurions pu construire une belle histoire. En tout cas il aurait pu être mon premier petit-ami…
Finalement ce jour que je redoutais tant est arrivé.
La rentrée dans un nouveau lycée. Je me suis, assez vite, fait une amie, Cassandra, qui sort avec le garçon le plus populaire de tout le lycée. Souvent ils me proposaient de venir avec eux en soirée, mais à chaque fois je déclinais leur invitation, car je n'aime pas les endroits très restreints où l’on est enfermé avec énormément de monde.
Après quelques semaines de rêve, le cauchemar a commencé.
Le harcèlement scolaire vous connaissez ?
Eh bien j’en ai été victime pendant plus de 5 mois. Ça a commencé le jour où, avec Cassandra nous avons eu une violente dispute, et depuis ce jour là, j’avais tout le lycée à dos. Le harcèlement a commencé avec des mots de menaces dans mon casier, puis cela s’est amplifié. J'ai eu l’occasion d’en discuter avec le conseiller d’orientation du lycée ainsi qu’au directeur qui ont simplement demandé aux élèves en question de s’excuser dans une lettre.
J’ai été tranquille 1 semaine. Jusqu’à ce fameux lundi où, en ouvrant mon casier, un pigeon mort m’est tombé dessus. J'ai eu le droit aux croche-pieds dans les couloirs, aux lancés de boules de papier dans mon dos en plein cours ou encore au vol de certaines de mes affaires scolaires. Ce n’est rien me direz-vous. Or, quand cela arrive tous les jours, il y a de quoi vous mettre en rogne. Et j'en pouvais plus.
Un soir en traînant sur les réseaux, je suis tombée sur cette pub louche qui parlait d’une croisière paradisiaque. J’ai alors cliqué sur le lien, mais je me suis vite rétractée car je déteste partir en voyage sans ne rien avoir planifié à l’avance.
Le lendemain matin mon réveil sonna à 7 heures comme tous les matins, et je me suis levée pour me préparer et aller au lycée. En première heure j’avais mathématiques, et comme d'habitude, j'allais recevoir un nombre incalculable de boules de papier dans le dos quand le prof sera retourné. Mais aujourd'hui, c'était trop.
Je me souviendrai toujours de ce jour car avec le trop plein d’émotion, j’ai balancé ma table et suis sortie en trombe de la salle de classe. En courant, j’ai alors vite atteint la sortie du lycée, mais je me suis stoppée quand une voie dans ma tête me disait « Alors c’est tout ? Tu vas juste fuir comme tu sais si bien le faire ? Tu es une lâche… ». À ce moment-là, un sourire en coin se dessina sur mon visage. Sur le rebord de la poubelle se trouvait un paquet d'allumette. Je m'en saisis, et sortis une feuille vierge de mon sac. J’allumai alors la feuille qui prit feu immédiatement. Je plaçai cette même feuille dans un endroit où le feu pourrait vite se propager et sortis en courant. En à peine quelques minutes, des grosses flammes se faisaient voir depuis l'entrée, et l'on pouvait entendre des élèves crier de panique. Je me retournai pour voir mon lycée brûler et fit mon plus beau doigt d’honneur, et rentrai chez moi.
Je préparai un sac de vêtements et réservai un ticket pour cette fameuse croisière paradisiaque, avec bien sûr, la carte bancaire de ma grand-mère. En partant de chez moi je fis attention à ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveiller ma grand-mère (il était quand même 11 heures). En me dirigeant vers l’arrêt de bus pour me rendre au point de rendez-vous de la croisière, je retirai l’entièreté de l’argent sur la carte de ma grand-mère, et jetai cette dernière dans une poubelle de la ville.
Mon dernier arrêt avant de prendre le bus fut un salon de tatouage. J’avais toujours rêvé de me faire un tatouage, alors aujourd’hui j'allais passer le cap. Je choisis bien évidemment un modèle d’allumette, avec une légère flamme au bout. Pour moi une allumette était dorénavant l’objet indispensable à la survie et le feu était mon élément préféré. De plus, il représentait pour moi le rythme, cette répétition de mouvement ou de bruit que produit la vie et qui nous embrasse comme le rythme cardiaque, la cadence de la pluie, la mélodie du chant des oiseaux ainsi que pour les observateurs plus attentifs, les cycles cosmologiques. Après ces 30 minutes de douleur, je payai le tatoueur et partis en direction de l’arrêt de bus. Je pris ce dernier direction l’aéroport où je sautai dans le premier avion pour Boston.
Adieu Miami, à jamais j’espère.
Et voilà comment ma super aventure débuta.
Une fois arrivée à Boston, je pris un taxi pour rejoindre le port et prendre ce fameux bateau de croisière. Sans mentir, j’étais tellement stressée de partir comme ça sans ne rien avoir préparé que j’ai senti une petite goutte couler dans ma culotte (mais chut hein). En voyant le bateau accoster sur le port, je devais admettre avoir été surprise car je ne m’attendais pas à ça. J'ai couru jusqu’au bateau qui m’attendait probablement car j’étais en retard d’environ 15 minutes. Le capitaine était là et il vérifia si mon nom était bien sur la liste et me laissa monter. Je saluai discrètement les autres passagers et me mis à l’écart dans un coin du bateau.
Durant tout le voyage, j’observais attentivement chaque personne présente sur ce bateau. D’habitude je me trompe très peu sur les gens et là, j’avais l’impression de me retrouver au milieu de personnes assez sympas mais un peu…, comment dire, un peu... Enfin bref vous m’avez comprise. Cependant je n’aimais pas juger les gens trop vite, puis de toute façon je n'étais pas mieux qu’eux.
Le voyage en bateau était plutôt long, mais c’est ce qui me fis apprécier la destination encore plus. L’aventure, ce n’était pas trop mon truc, mais j’avais dans l’espoir de faire des rencontres inoubliables et repartir avec un tas d’anecdotes à raconter à Cameron. Car après cette croisière, j'avais un tout nouveau projet: retourner a Overland Park et le retrouver.
Quelques jours de voyage passés à l’écart des autres, et on arrivait enfin sur une magnifique île. Tout le monde descendit du bateau, et nous nous installions dans un coin sympa pour monter nos tentes et débuter cette superbe aventure. Je restai sans voix face à la beauté de cette île. Quelques jours plus tard, on nous annonça qu'on avait une semaine pour réaliser une course d’orientation. Je n'étais pas très fan de ce genre d’activité, mais j'étais ici pour découvrir de nouvelles choses et pour me laisser aller. Alors pourquoi pas...
Le temps était paradisiaque et parfaitement ensoleillée jusqu’au jour où, soudainement, un ouragan nous frappa de plein fouet. Nous nous étions vite réfugiés dans un abri en attendant qu’il passe. De gros bruit se firent entendre, et on appris plus tard que la montagne s'était séparée en deux. L'ouragan fini, nous partîmes retrouver le capitaine qui s’était totalement volatilisé avec toutes nos affaires. La panique prit possession de mon corps, et à ce moment-là, je me demandais ce que je foutais là et regrettais presque mon départ…
Après ce moment de panique, je tentai de me reprendre. Quelques jours plus tard, durant une exploration, nous découvrions que de l’autre côté de la montagne vivait un peuple, des natifs….
A l’âge de 15 ans, j’ai été contrainte de déménager chez ma grand-mère à Miami en Floride. Je déteste cette ville parce qu’il y a trop de monde et que moi, je n’aime pas les gens. Enfin bref, j’ai déménagé car mes parents et mon frère sont décédés lorsqu’ils sont partis dans un parc d’attraction. La nacelle de leur manège, située à 10 mètres de haut, a été projetée au sol. Ma mère est morte sur le coup tandis que mon père et mon frère ont soufferts 3 jours avant de succomber à leurs blessures.
Et moi ? J’ai refusé de venir car je n’aimais pas les fêtes foraines. Alors maintenant, je suis seule face à ce mode qui me fait si peur.
Seulement quelques jours après l’accident, ma grand-mère vivant à Miami a accepté de devenir ma tutrice légale à la condition que je paye moi-même mes 3 années de lycée. Je n’ai pas eu le choix… Ma grand-mère, c’est ce qu’on pourrait appeler une joueuse compulsive, le Casino c’est tous les soirs et de temps en temps, elle ramène des hommes à la maison, des hommes beaucoup plus jeunes qu’elle, certains doivent avoir mon âge.
Enfin bref, comme je le disais, il fallait que je me trouve un travail pour me permettre de payer mes études seule…. J’ai postulé dans certaines boutiques de vêtements mais ça n’a jamais abouti à cause de ma timidité maladive. Du coup j’ai décidé de poser pour des magazines de cosplay.
La photo est une de mes passions (plus tard j’aimerai être mannequin) et elle me permet de mieux m’accepter physiquement car j’ai quelques formes et personne ne m’a jamais appris à m’accepter en tant que femme. Ma seconde passion dans la vie c’est la cuisine. J’ai dû apprendre moi-même, mais aujourd’hui, je me débrouille et j’aimerai en faire mon métier.
Ce que j’aime aussi c’est le camping. Être proche de la nature, j’adore ça. Je le tiens de mon père, comme lui, je suis autonome, indépendante et solitaire.
Bref, je n’ai jamais eu beaucoup d’amis et c’est aussi pour ça que je ne voulais pas déménager. En effet j'ai laissé derrière moi mon seul et unique ami Cameron. D’ailleurs, peu après mon départ, ce dernier m’a fait une déclaration digne des meilleurs films romantiques en me disant qu’il ne pourrait pas survivre sans moi etc… je pense que lui et moi aurions pu construire une belle histoire. En tout cas il aurait pu être mon premier petit-ami…
Finalement ce jour que je redoutais tant est arrivé.
La rentrée dans un nouveau lycée. Je me suis, assez vite, fait une amie, Cassandra, qui sort avec le garçon le plus populaire de tout le lycée. Souvent ils me proposaient de venir avec eux en soirée, mais à chaque fois je déclinais leur invitation, car je n'aime pas les endroits très restreints où l’on est enfermé avec énormément de monde.
Après quelques semaines de rêve, le cauchemar a commencé.
Le harcèlement scolaire vous connaissez ?
Eh bien j’en ai été victime pendant plus de 5 mois. Ça a commencé le jour où, avec Cassandra nous avons eu une violente dispute, et depuis ce jour là, j’avais tout le lycée à dos. Le harcèlement a commencé avec des mots de menaces dans mon casier, puis cela s’est amplifié. J'ai eu l’occasion d’en discuter avec le conseiller d’orientation du lycée ainsi qu’au directeur qui ont simplement demandé aux élèves en question de s’excuser dans une lettre.
J’ai été tranquille 1 semaine. Jusqu’à ce fameux lundi où, en ouvrant mon casier, un pigeon mort m’est tombé dessus. J'ai eu le droit aux croche-pieds dans les couloirs, aux lancés de boules de papier dans mon dos en plein cours ou encore au vol de certaines de mes affaires scolaires. Ce n’est rien me direz-vous. Or, quand cela arrive tous les jours, il y a de quoi vous mettre en rogne. Et j'en pouvais plus.
Un soir en traînant sur les réseaux, je suis tombée sur cette pub louche qui parlait d’une croisière paradisiaque. J’ai alors cliqué sur le lien, mais je me suis vite rétractée car je déteste partir en voyage sans ne rien avoir planifié à l’avance.
Le lendemain matin mon réveil sonna à 7 heures comme tous les matins, et je me suis levée pour me préparer et aller au lycée. En première heure j’avais mathématiques, et comme d'habitude, j'allais recevoir un nombre incalculable de boules de papier dans le dos quand le prof sera retourné. Mais aujourd'hui, c'était trop.
Je me souviendrai toujours de ce jour car avec le trop plein d’émotion, j’ai balancé ma table et suis sortie en trombe de la salle de classe. En courant, j’ai alors vite atteint la sortie du lycée, mais je me suis stoppée quand une voie dans ma tête me disait « Alors c’est tout ? Tu vas juste fuir comme tu sais si bien le faire ? Tu es une lâche… ». À ce moment-là, un sourire en coin se dessina sur mon visage. Sur le rebord de la poubelle se trouvait un paquet d'allumette. Je m'en saisis, et sortis une feuille vierge de mon sac. J’allumai alors la feuille qui prit feu immédiatement. Je plaçai cette même feuille dans un endroit où le feu pourrait vite se propager et sortis en courant. En à peine quelques minutes, des grosses flammes se faisaient voir depuis l'entrée, et l'on pouvait entendre des élèves crier de panique. Je me retournai pour voir mon lycée brûler et fit mon plus beau doigt d’honneur, et rentrai chez moi.
Je préparai un sac de vêtements et réservai un ticket pour cette fameuse croisière paradisiaque, avec bien sûr, la carte bancaire de ma grand-mère. En partant de chez moi je fis attention à ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveiller ma grand-mère (il était quand même 11 heures). En me dirigeant vers l’arrêt de bus pour me rendre au point de rendez-vous de la croisière, je retirai l’entièreté de l’argent sur la carte de ma grand-mère, et jetai cette dernière dans une poubelle de la ville.
Mon dernier arrêt avant de prendre le bus fut un salon de tatouage. J’avais toujours rêvé de me faire un tatouage, alors aujourd’hui j'allais passer le cap. Je choisis bien évidemment un modèle d’allumette, avec une légère flamme au bout. Pour moi une allumette était dorénavant l’objet indispensable à la survie et le feu était mon élément préféré. De plus, il représentait pour moi le rythme, cette répétition de mouvement ou de bruit que produit la vie et qui nous embrasse comme le rythme cardiaque, la cadence de la pluie, la mélodie du chant des oiseaux ainsi que pour les observateurs plus attentifs, les cycles cosmologiques. Après ces 30 minutes de douleur, je payai le tatoueur et partis en direction de l’arrêt de bus. Je pris ce dernier direction l’aéroport où je sautai dans le premier avion pour Boston.
Adieu Miami, à jamais j’espère.
Et voilà comment ma super aventure débuta.
Une fois arrivée à Boston, je pris un taxi pour rejoindre le port et prendre ce fameux bateau de croisière. Sans mentir, j’étais tellement stressée de partir comme ça sans ne rien avoir préparé que j’ai senti une petite goutte couler dans ma culotte (mais chut hein). En voyant le bateau accoster sur le port, je devais admettre avoir été surprise car je ne m’attendais pas à ça. J'ai couru jusqu’au bateau qui m’attendait probablement car j’étais en retard d’environ 15 minutes. Le capitaine était là et il vérifia si mon nom était bien sur la liste et me laissa monter. Je saluai discrètement les autres passagers et me mis à l’écart dans un coin du bateau.
Durant tout le voyage, j’observais attentivement chaque personne présente sur ce bateau. D’habitude je me trompe très peu sur les gens et là, j’avais l’impression de me retrouver au milieu de personnes assez sympas mais un peu…, comment dire, un peu... Enfin bref vous m’avez comprise. Cependant je n’aimais pas juger les gens trop vite, puis de toute façon je n'étais pas mieux qu’eux.
Le voyage en bateau était plutôt long, mais c’est ce qui me fis apprécier la destination encore plus. L’aventure, ce n’était pas trop mon truc, mais j’avais dans l’espoir de faire des rencontres inoubliables et repartir avec un tas d’anecdotes à raconter à Cameron. Car après cette croisière, j'avais un tout nouveau projet: retourner a Overland Park et le retrouver.
Quelques jours de voyage passés à l’écart des autres, et on arrivait enfin sur une magnifique île. Tout le monde descendit du bateau, et nous nous installions dans un coin sympa pour monter nos tentes et débuter cette superbe aventure. Je restai sans voix face à la beauté de cette île. Quelques jours plus tard, on nous annonça qu'on avait une semaine pour réaliser une course d’orientation. Je n'étais pas très fan de ce genre d’activité, mais j'étais ici pour découvrir de nouvelles choses et pour me laisser aller. Alors pourquoi pas...
Le temps était paradisiaque et parfaitement ensoleillée jusqu’au jour où, soudainement, un ouragan nous frappa de plein fouet. Nous nous étions vite réfugiés dans un abri en attendant qu’il passe. De gros bruit se firent entendre, et on appris plus tard que la montagne s'était séparée en deux. L'ouragan fini, nous partîmes retrouver le capitaine qui s’était totalement volatilisé avec toutes nos affaires. La panique prit possession de mon corps, et à ce moment-là, je me demandais ce que je foutais là et regrettais presque mon départ…
Après ce moment de panique, je tentai de me reprendre. Quelques jours plus tard, durant une exploration, nous découvrions que de l’autre côté de la montagne vivait un peuple, des natifs….
Elle n’est pas vraiment sociable et n’a pas une liste d’amis très conséquente mais se contente de ce qu’elle a. De nature très timide, Lexie n’hésite pas à se faire entendre quand elle a quelque chose à dire. Elle est très intelligente et n’ouvre pas sa bouche pour ne rien dire. Elle est dotée d’une capacité à se sortir de situation très compliquées grâce à sa patience, sa réflexion et son altruisme.
Du haut de ses 18 ans, elle a réussi à se forger un caractère. Cependant, elle se laisse beaucoup faire et reste très naïve. Mais il ne faut pas pour autant la chercher trop longtemps car elle semble avoir du mal à gérer sa colère et un trop plein d’émotions pourrait lui faire faire des choses impardonnables.
Taille : 170 cm
Corpulence : normale
Couleur/longueur des cheveux : brune, cheveux longs et ondulés
Couleur des yeux : marron clair
Ornements/modifs corporelles : Elle a les deux oreilles percées de trois trous et un petit tatouage derrière l'oreille, c'est une allumette super stylée avec une flemme au bout et tout
Autre : Elle est quasiment imberbe (donc pas de poils dans le dos)
Corpulence : normale
Couleur/longueur des cheveux : brune, cheveux longs et ondulés
Couleur des yeux : marron clair
Ornements/modifs corporelles : Elle a les deux oreilles percées de trois trous et un petit tatouage derrière l'oreille, c'est une allumette super stylée avec une flemme au bout et tout
Autre : Elle est quasiment imberbe (donc pas de poils dans le dos)
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