âge : 29 ans
métier : Officiellement commerciale (plus précisément pour des crèmes pour les mains), officieusement voleuse.
groupe : Exploratrice
nationalité: Américaine
orientation : Plein sud ?
avatar : Hana, de l'artiste Caleb Thomas
Histoire
Tamara était née une chaude journée d'été, elle avait grandi dans une famille aimante. Ses parents avaient des métiers qui leur permettait de vivre une vie tout à fait correcte. Elle n'appartenait pas à une classe sociale ouvrière, ni supérieure. Elle eut par la suite deux sœurs et noua avec elles des liens sociaux tout à fait normaux.
« Normale » était le mot idéal pour décrire sa famille. À six ans, lorsqu'en cours d'arts plastiques, on lui avait demandé de décrire l'endroit où elle vivait, elle avait dessiné cinq petit bonhommes bâton et de grands traits autour d'eux, décrivant, selon elle, le bruit ambiant. Elle était heureuse dans cette famille, elle s'y sentait bien. Par la suite, elle ramena toujours des bulletins scolaires moyens, mais qui lui permirent d'aller au collège, au lycée, puis à l'université.
Tamara aimait le suspens. Elle avouait se caler parfois avec un bon paquet de pop corn devant un show à la télévision et rester la bouche grande ouverte lorsqu'il y avait un moment un peu trop intense à l'écran. Elle n'avait jamais pratiqué à fond une activité physique et d'ailleurs, ce n'était pas son style, mais elle était passionnée par les musées. C'était chouette, les musées. Elle avait adoré commencer par se renseigner sur la provenance des objets. Elle avait développé une fascination pour les objets anciens et, lorsque les enfants normaux jouaient au football ou aimait discuter entre eux Pokemon, Tam' se faisait un plaisir d'apprendre par cœur les panneaux explicatifs de toutes sortes d’œuvres d'art. Une fois, elle fugua même de l'autre côté du pays pour assister à une conférence exceptionnelle sur l'art des indiens dans l'Illinois.
Voler était venu plus tard. Au début, il y avait une espèce de passion aveugle pour l'ancien, et puis, au fur et à mesure de son chemin, elle avait été amené à connaître des personnes un peu louches. L'une d'elle avait de l'expérience et cherchait quelqu'un qui, justement, pouvait authentifier des objets rares.
Lorsqu'elle était entrée à l'université, elle avait évidemment choisi la voix de l'histoire de l'art et en avait profité pour solidifier ses connaissances le plus possible. Une amourette plus tard, elle s'était découvert une passion pour l'escalade. Elle avait pleuré toutes les larmes de son corps lorsqu'il l'avait larguée, mais le goût pour la grimpette était resté et elle découvrit une passion pour les pierres autre que les ouvrir en deux.
Elle avait eu son diplôme et s'était mise à chercher du travail. Elle avait eu un petit contrat dans un musée, mais à sa grande déconvenue, le boulot était plutôt de nettoyer les toilettes et non de conter la provenance des œuvres d'art. Elle avait attendu la fin de son contrat pour partir. Elle envoya ensuite des milliers de CV pour se faire recaler d'office pendant deux ans.
Tamara rencontra l'homme qui allait changer sa vie d'une manière un peu providentielle, dans un bar, comme un peu pour toutes les rencontres de sa vie. Elle lui proposa un verre et vers le milieu de la soirée, commença à s'emballer sur un des bijoux d'une reine quelconque montrée à ce moment-ci dans la soirée. Elle ne savait plus trop comment le sujet était venu, mais quand elle se réveilla le lendemain matin, à poil dans son lit, il lui proposa un contrat.
Elle accepta.
Après tout, pourquoi refuser ? Elle était au chômage depuis trop longtemps. C'était son seul espoir pour payer ses impôts, et puis elle pourra dépenser l'argent en trop dans des fonds pour les orphelinats, non ?
Le job était facile : elle ne volait pas, au début. Son boulot était de faire des tours dans les musées pour identifier les pièces à récupérer. Son coup d'oeil, au début, était celui d'un débutant, mais elle s'affirma au fil du temps. Elle évita même à la bande de voler des pièces qui était en réalité complètement fausses.
Ses responsabilités montèrent au fur et à mesure, était-ce au bout de deux, à moins que ce fut trois ans ? Elle chopa le coup de main, à force d'être sur le terrain et se mêla elle-aussi aux opérations.
Et la voilà, sur ce bâteau. On leur avait sifflé que c'était un bon coup, alors elle avait mis ses affaires dans sa valise et s'était envolée vers ce paradis. Ce n'était pas parce qu'elle en avait envie, évidemment. Son patron lui avait juste envoyé ce mail, avec la publicité lancée par Holiday Scam. Il avait souligné le « contrées lointaines et mers sauvages » en rouge dans le texte et elle avait aussitôt vu où il voulait en venir.
Elle avait râlé une fois, deux fois très fort et avait même cassé une cafetière pour la forme, mais ça, c'était parce qu'elle était sur le point de s'acheter un appartement avec l'argent qu'elle avait épargné, et puis, elle avait fait sa valise.
Manquerait plus que ce type un peu trop influent à son goût soit du voyage, merde...
Tamara était née une chaude journée d'été, elle avait grandi dans une famille aimante. Ses parents avaient des métiers qui leur permettait de vivre une vie tout à fait correcte. Elle n'appartenait pas à une classe sociale ouvrière, ni supérieure. Elle eut par la suite deux sœurs et noua avec elles des liens sociaux tout à fait normaux.
« Normale » était le mot idéal pour décrire sa famille. À six ans, lorsqu'en cours d'arts plastiques, on lui avait demandé de décrire l'endroit où elle vivait, elle avait dessiné cinq petit bonhommes bâton et de grands traits autour d'eux, décrivant, selon elle, le bruit ambiant. Elle était heureuse dans cette famille, elle s'y sentait bien. Par la suite, elle ramena toujours des bulletins scolaires moyens, mais qui lui permirent d'aller au collège, au lycée, puis à l'université.
Tamara aimait le suspens. Elle avouait se caler parfois avec un bon paquet de pop corn devant un show à la télévision et rester la bouche grande ouverte lorsqu'il y avait un moment un peu trop intense à l'écran. Elle n'avait jamais pratiqué à fond une activité physique et d'ailleurs, ce n'était pas son style, mais elle était passionnée par les musées. C'était chouette, les musées. Elle avait adoré commencer par se renseigner sur la provenance des objets. Elle avait développé une fascination pour les objets anciens et, lorsque les enfants normaux jouaient au football ou aimait discuter entre eux Pokemon, Tam' se faisait un plaisir d'apprendre par cœur les panneaux explicatifs de toutes sortes d’œuvres d'art. Une fois, elle fugua même de l'autre côté du pays pour assister à une conférence exceptionnelle sur l'art des indiens dans l'Illinois.
Voler était venu plus tard. Au début, il y avait une espèce de passion aveugle pour l'ancien, et puis, au fur et à mesure de son chemin, elle avait été amené à connaître des personnes un peu louches. L'une d'elle avait de l'expérience et cherchait quelqu'un qui, justement, pouvait authentifier des objets rares.
Lorsqu'elle était entrée à l'université, elle avait évidemment choisi la voix de l'histoire de l'art et en avait profité pour solidifier ses connaissances le plus possible. Une amourette plus tard, elle s'était découvert une passion pour l'escalade. Elle avait pleuré toutes les larmes de son corps lorsqu'il l'avait larguée, mais le goût pour la grimpette était resté et elle découvrit une passion pour les pierres autre que les ouvrir en deux.
Elle avait eu son diplôme et s'était mise à chercher du travail. Elle avait eu un petit contrat dans un musée, mais à sa grande déconvenue, le boulot était plutôt de nettoyer les toilettes et non de conter la provenance des œuvres d'art. Elle avait attendu la fin de son contrat pour partir. Elle envoya ensuite des milliers de CV pour se faire recaler d'office pendant deux ans.
Tamara rencontra l'homme qui allait changer sa vie d'une manière un peu providentielle, dans un bar, comme un peu pour toutes les rencontres de sa vie. Elle lui proposa un verre et vers le milieu de la soirée, commença à s'emballer sur un des bijoux d'une reine quelconque montrée à ce moment-ci dans la soirée. Elle ne savait plus trop comment le sujet était venu, mais quand elle se réveilla le lendemain matin, à poil dans son lit, il lui proposa un contrat.
Elle accepta.
Après tout, pourquoi refuser ? Elle était au chômage depuis trop longtemps. C'était son seul espoir pour payer ses impôts, et puis elle pourra dépenser l'argent en trop dans des fonds pour les orphelinats, non ?
Le job était facile : elle ne volait pas, au début. Son boulot était de faire des tours dans les musées pour identifier les pièces à récupérer. Son coup d'oeil, au début, était celui d'un débutant, mais elle s'affirma au fil du temps. Elle évita même à la bande de voler des pièces qui était en réalité complètement fausses.
Ses responsabilités montèrent au fur et à mesure, était-ce au bout de deux, à moins que ce fut trois ans ? Elle chopa le coup de main, à force d'être sur le terrain et se mêla elle-aussi aux opérations.
Et la voilà, sur ce bâteau. On leur avait sifflé que c'était un bon coup, alors elle avait mis ses affaires dans sa valise et s'était envolée vers ce paradis. Ce n'était pas parce qu'elle en avait envie, évidemment. Son patron lui avait juste envoyé ce mail, avec la publicité lancée par Holiday Scam. Il avait souligné le « contrées lointaines et mers sauvages » en rouge dans le texte et elle avait aussitôt vu où il voulait en venir.
Elle avait râlé une fois, deux fois très fort et avait même cassé une cafetière pour la forme, mais ça, c'était parce qu'elle était sur le point de s'acheter un appartement avec l'argent qu'elle avait épargné, et puis, elle avait fait sa valise.
Manquerait plus que ce type un peu trop influent à son goût soit du voyage, merde...
Caractère
Selon les personnes qui la connaissaient, Tam' avait toujours eu un caractère un peu passe-partout. Elle savait manier la langue, se montrer sociale quand il le fallait et trouver des sujets de conversation qui convenaient à tout le monde.
Tam était une fille sympathique. Elle était normale, bosseuse, aimait bien faire la fête. Elle se moulait dans une société normée de manière parfaite, sans doute parce qu'elle venait d'un milieu absolument normal.
Ce hasard qui la conduit à accepter cette place de voleuse ne fut sans doute pas un hasard. Depuis quelques mois, elle ruminait. Elle tournait en rond dans son appartement, et d'ailleurs, elle peinait à payer le loyer et les consommations de sa vie quotidienne. Elle s'ennuyait, elle avait besoin de piquant, comme lorsqu'elle était plus jeune, à fuguer pour aller visiter un musée à l'autre bout du pays.
Elle avait accepté ce boulot car pour elle, c'était une chance inestimable de sortir de la normalité...et en quelque sorte, elle réussit. Désormais, le stress et le suspens étaient ses amis. Elle aimait, bien plus qu'elle ne l'avouait, ce frisson de la découverte et se considérait intérieurement plus comme Indiana Jones que comme le membre féminin d'une bande de pillards d’œuvres d'art à la réputation internationale.
Lorsqu'elle se reposait un peu trop sur ses acquis, il arrivait à Tam d'être un peu imprudente, mais elle tâchait de corriger ce défaut. Elle pouvait également se mettre en colère, mais cela restait très factice car à l'intérieur de ses poings, elle n'avait pas beaucoup de force et se servait habituellement de ses talents de négociatrice pour arriver à ses fins.
Enfin, sur ce bateau, elle avait des papiers validant son identité et, si celle-ci n'était pas fausse, on lui avait collé à la peau la profession de commerciale. Pour ce rôle, elle se montrait curieuse, assez franche et accro à la cigarette. Elle comptait bien arriver à ses fins.
Physique
Tamara Lagden était, selon les standards sociaux de l'époque, assez jolie. C'était du moins ce qu'elle avait compris de ses aventures dans les bars ou en boîte de nuit. Elle-même ne se considérait pas comme un top-modèle, elle était même loin de là, mais son visage présentait des traits harmonieux, elle avait un sourire agréable et était relativement bien coiffée. Son nez était droit, ses yeux étaient relativement clairs et elle rechignait régulièrement lorsqu'il s'agissait de mettre du maquillage.
Elle était blonde, mais ces dernières années, elle avait connu des colorations différentes, comme lorsqu'ils avaient infiltré la bibliothèque du Congrès il y avait un an et qu'elle avait opté pour des cheveux noir corbeau. Sur une femme, une seule coupe peut faire toute la différente.
Question taille, elle était plutôt grande et assez fine et musclée, grâce à un entraînement régulier d'escalade, depuis combien de temps pratiquait-elle ce sport, déjà ? Elle avait la peau assez blanche et devait se protéger lorsqu'elle allait au soleil, mais elle ne devenait pas non plus rouge comme une pivoine à chaque exposition.
Si vous aviez vu la garde-robe de Tamara, vous vous seriez sans doute demandé quel pouvait être son réel métier : ça allait des robes de soirées à des habits noirs permettant de se balader dans la nuit sans être vu, ou même à des déguisements pour des soirées assez fantasques dont nous ne parlerons pas ici. Dans la vie de tous les jours, elle s'achetait des habits parfaitement normaux. Elle n'aimait pas faire d'émule, et n'en avait pas intérêt d'ailleurs, aussi se contentait-elle de ressembler à Monsieur tout le monde et d'être la plus crédible possible.
Selon les personnes qui la connaissaient, Tam' avait toujours eu un caractère un peu passe-partout. Elle savait manier la langue, se montrer sociale quand il le fallait et trouver des sujets de conversation qui convenaient à tout le monde.
Tam était une fille sympathique. Elle était normale, bosseuse, aimait bien faire la fête. Elle se moulait dans une société normée de manière parfaite, sans doute parce qu'elle venait d'un milieu absolument normal.
Ce hasard qui la conduit à accepter cette place de voleuse ne fut sans doute pas un hasard. Depuis quelques mois, elle ruminait. Elle tournait en rond dans son appartement, et d'ailleurs, elle peinait à payer le loyer et les consommations de sa vie quotidienne. Elle s'ennuyait, elle avait besoin de piquant, comme lorsqu'elle était plus jeune, à fuguer pour aller visiter un musée à l'autre bout du pays.
Elle avait accepté ce boulot car pour elle, c'était une chance inestimable de sortir de la normalité...et en quelque sorte, elle réussit. Désormais, le stress et le suspens étaient ses amis. Elle aimait, bien plus qu'elle ne l'avouait, ce frisson de la découverte et se considérait intérieurement plus comme Indiana Jones que comme le membre féminin d'une bande de pillards d’œuvres d'art à la réputation internationale.
Lorsqu'elle se reposait un peu trop sur ses acquis, il arrivait à Tam d'être un peu imprudente, mais elle tâchait de corriger ce défaut. Elle pouvait également se mettre en colère, mais cela restait très factice car à l'intérieur de ses poings, elle n'avait pas beaucoup de force et se servait habituellement de ses talents de négociatrice pour arriver à ses fins.
Enfin, sur ce bateau, elle avait des papiers validant son identité et, si celle-ci n'était pas fausse, on lui avait collé à la peau la profession de commerciale. Pour ce rôle, elle se montrait curieuse, assez franche et accro à la cigarette. Elle comptait bien arriver à ses fins.
Physique
Tamara Lagden était, selon les standards sociaux de l'époque, assez jolie. C'était du moins ce qu'elle avait compris de ses aventures dans les bars ou en boîte de nuit. Elle-même ne se considérait pas comme un top-modèle, elle était même loin de là, mais son visage présentait des traits harmonieux, elle avait un sourire agréable et était relativement bien coiffée. Son nez était droit, ses yeux étaient relativement clairs et elle rechignait régulièrement lorsqu'il s'agissait de mettre du maquillage.
Elle était blonde, mais ces dernières années, elle avait connu des colorations différentes, comme lorsqu'ils avaient infiltré la bibliothèque du Congrès il y avait un an et qu'elle avait opté pour des cheveux noir corbeau. Sur une femme, une seule coupe peut faire toute la différente.
Question taille, elle était plutôt grande et assez fine et musclée, grâce à un entraînement régulier d'escalade, depuis combien de temps pratiquait-elle ce sport, déjà ? Elle avait la peau assez blanche et devait se protéger lorsqu'elle allait au soleil, mais elle ne devenait pas non plus rouge comme une pivoine à chaque exposition.
Si vous aviez vu la garde-robe de Tamara, vous vous seriez sans doute demandé quel pouvait être son réel métier : ça allait des robes de soirées à des habits noirs permettant de se balader dans la nuit sans être vu, ou même à des déguisements pour des soirées assez fantasques dont nous ne parlerons pas ici. Dans la vie de tous les jours, elle s'achetait des habits parfaitement normaux. Elle n'aimait pas faire d'émule, et n'en avait pas intérêt d'ailleurs, aussi se contentait-elle de ressembler à Monsieur tout le monde et d'être la plus crédible possible.
Quelques petites précisions sur toi : 26 ans // Marion, même si c'est pas vraiment un pseudo :) // j'ai découvert ce forum via un partenariat et je l'ai trouvé très sympathique // et euh. Longue vie au forum ! :D